Pour elle, durant de telles crises, les gens ne peuvent pas nier leurs émotions négatives. Elles deviennent si puissantes que la raison ne peut les bloquer. Nous avons la possibilité de populariser l’hygiène émotionnelle et d’ancrer sa pratique. Il est vital de tenir compte de ses émotions, même après être sorti d’une grave crise psychologique.
S’il faut certes s’occuper de sa santé émotionnelle, les technologies sont-elles le meilleur moyen pour le faire ? Des études scientifiques ont démontré que les technologies pouvaient provoquer des dépendances ; une nouvelle application devient une raison de plus de consulter son téléphone.
“Je suggérerais de se demander lequel des deux ‘maux’ est le pire : passer une demi-heure devant un écran à converser avec un psychologue ou ruminer ses émotions toute la nuit ?” rétorque Ieva Vaitkeviciute en guise de conclusion.