Dans un récent article pour la revue Psychology Today, Samuel Veissière (qui a déjà écrit dans nos colonnes) présente les travaux de ses collègues de son laboratoire de l’université McGill sur le « neuroenchantement » : comment le prestige associé aux neurosciences peut exercer une influence sur les croyances et les comportements de chacun.
Amir Raz et son équipe ont donc fabriqué un pseudo « scanner cérébral » à partir de bric et de broc (et notamment une chaise de coiffeur !) et ont convaincu leurs sujets (et cela comprenait des étudiants en psychologie) que l’appareillage était susceptible de lire leurs pensées…
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