Cyril Teste dépeint la perversité et la violence du management contemporain, sous la forme d’une performance filmique minutée et anxiogène réussie.
Dans «Nobody», les acteurs sont filmés derrière leur baie vitrée. Le résultat est projeté au-dessus de la scène. Photo Simon Gosselin
Nobody ne se présente pas comme une pièce classique. Entre le public et la scène se dresse une paroi de verre. Derrière, un univers de bureaux, avec des employés et leurs ordinateurs portables, une salle de réunion, une photocopieuse. Au-dessus de la baie vitrée, un écran. Dès les premières minutes, Nobody annonce la couleur.
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