« Liberté pour Kosenko », lit-on sur le panneau brandi par un manifestant, le 8 octobre dernier, devant le tribunal moscovite, suite à la condamnation de l’opposant Mikhaïl Kosenko à être incarcéré dans un hôpital psychiatrique. (AP Photo/Dmitry Lovetsky)
Dans la Russie de Vladimir Poutine, il y a de nombreuses façons plus ou moins légales de faire taire les voix de l’opposition. Mais l’une de ces méthodes semble renvoyer aux tristes heures de l’Union Soviétique : la pratique de l’enfermement dans une institution psychiatrique. Un tribunal moscovite a condamné, le 8 octobre dernier, l’opposant Mikhaïl Kosenko à être incarcéré dans un hôpital psychiatrique pour suivre un traitement forcé. Aux dires de son avocat, l’homme sera privé de liberté pour une durée indéterminée.
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