Jacqueline Tiarti, mère d’une enfant autiste, souhaite obtenir des soins adaptés pour sa fille de 7 ans. Elle refuse la méthode psychanalytique.
8 jours déjà que Jacqueline Tiarti, de Clamart (Hauts-de-Seine), a cessé de s’alimenter. C’est le seul moyen qu’elle a trouvé pour être entendue. Elle se bat pour que Mélissa, sa fille autiste de 7 ans, obtienne un Sessad (Service d’éducation spéciale et de soins à domicile), un éducateur à domicile. Elle est sur liste d’attente depuis deux ans et demi, sans succès.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire