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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mardi 31 janvier 2023

Malades psychiatriques en rupture de soins : quels risques ?

 




  

La semaine dernière, un homme a mortellement poignardé son voisin, à Faa’a. L’enquête est toujours en cours. Mais le suspect, souffrant de troubles psychiatriques, aurait été en rupture de soins. C’était le cas également de l’homme abattu par des gendarmes mobiles, début janvier. Ou encore du mineur qui avait poignardé un élève du collège Henri Hiro, avant de mettre fin à ses jours en détention. Ces drames auraient-ils pu être évités si ces patients avaient poursuivi leur prise en charge médicale ? Les passages à l’acte violent de personnes atteintes de troubles psychiatriques sont en fait très rares…et elles restent majoritairement, plutôt victimes de violences.

"Je voulais savoir où c'en était pour..., en fait on l'attend", demande Ludivine Togna au téléphone, infirmière coordinatrice de soins.

Cette patiente, attendue dans le service psychiatrie pour son suivi, ne viendra pas. L’équipe médicale est préoccupée, mais ne la lâche pas pour autant.

Ludivine Togna intervient dans le dépistage précoce des pathologies psychiatriques, dès 16 ans. Changer l’image de la psychiatrie, briser les tabous, pour mieux accompagner les patients et leurs familles. Car plus la prise en charge commence tôt, moins il y a de risque chronique.

Mais les décompensations (dégradations) et les rechutes font aussi partie du quotidien de ces soignants. "Je ne dirais pas qu'on a l'habitude, bien sûr que c'est vécu comme un échec pour nous, on essaie de faire le maximum. Nous on fait de la psycho-éducation qui permet de faire prendre conscience aux patients que c'est une maladie, que ça se soigne et que c'est important d'avoir un traitement, qu'on ne peut pas s'en sortir tout seul", explique Ludivine Togn

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Chronique «Aux petits soins» Treize, slameuse : en psychiatrie, «j’ai dû me protéger pour sortir de l’emprise»

par Eric Favereau   publié le 31 janvier 2023

Dans un livre composé de courts récits et de poèmes, la slameuse, qui se définit elle-même «en situation de handicap psychique», analyse aussi ses longs séjours en psychiatrie, comme une main tendue à ses amis malades. 

Treize est son nom de scène, son nom de slam. Elle ne veut pas en donner d’autre. Elle a 38 ans, a passé près de dix ans en psychiatrie, hospitalisée longtemps et souvent. Depuis quelques années, elle a tout coupé, traitements et liens, avec le monde-là. Treize est ainsi. Elle impressionne. Cette semaine, elle sort un livre, Charge, sur cette expérience. «Je ne parle que de ce que je maîtrise aujourd’hui», nous dit-elle. «Je ne raconte pas tout, il y a des choses que je ne peux pas [évoquer]. Dès que j’en parle, je pleure.» Et pourquoi ce titre ? «Parce que c’est lourd, comme une charge. Je ne veux pas dire où j’ai été hospitalisée, je ne veux pas faire un règlement de comptes, ni vis-à-vis du lieu ni vis-à-vis de psychiatres. Il y a de mauvaises pratiques un peu partout.»

Notre cerveau est équipé pour apprendre sans oublier

Cet article a été publié dans sa version originale le 07/12/2022

THE ECONOMIST (LONDRES)

La réorganisation des connexions entre les neurones est à la base du processus de mémorisation. Mais comment apprend-on sans “écraser” ce que l’on sait déjà ? Des scientifiques ont trouvé la réponse, raconte “The Economist”.
Il est difficile d’apprendre de nouvelles choses. Il est encore plus difficile de se souvenir de ce qu’on a appris. Tout système d’apprentissage efficace, que ce soit un cerveau ou un logiciel d’intelligence artificielle, doit présenter le juste équilibre entre stabilité et flexibilité : il doit être suffisamment stable pour se rappeler les informations anciennes mais suffisamment flexible pour en apprendre de nouvelles sans détruire les traces des vieux souvenirs – de préférence aussi longtemps qu’il existe.

Le LaM souffle ses 40 bougies

 

Le 30/01/2023

L’équipe de la revue MEL a rencontré Sébastien Delot, directeur-conservateur du LaM, à l’occasion des 40 ans du musée. 

« Nous invitons chacun à venir regarder, partager ».

Un anniversaire signifie regarder derrière et devant soi, pourriez-vous revenir sur une forme de bilan ? 
Le retour sur les quarante premières années du musée va se traduire de différentes manières. Et notamment via un réaccrochage des œuvres. Une salle sera notamment consacrée à l’histoire du musée et mettra en valeur les grandes acquisitions réalisées tout au long des quatre décennies, avec le soutien de la Métropole. Cette salle racontera en quelque sorte l’évolution du MaM au LaM, du musée d’art moderne au musée métropolitain. La présentation des œuvres se fera de manière chronologique. Ce choix permettra de relire l’histoire du musée, de replacer l’art moderne et l’art brut dans un contexte, et de ne pas isoler les formes d’art. Une salle dédiée aux archives embrassera 40 ans de cette histoire. La rétrospective proposera aussi des focus, notamment sur le portrait et des surprises…  

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De l'art brut à la galerie Hébert : revigorant !





Par Benjamin Bardinet  Publié Lundi 30 janvier 2023

Galerie / Trois artistes sont présentés sous l'intitulé on ne peut plus limpide de "Art brut", jusqu'au 25 février à la galerie Hébert de Grenoble.

Bonne surprise de ce début d’année frigorifique, l’exposition de la galerie Hébert nous a plutôt emballés – peut-être en partie parce que niveau couleurs, ça crache, et qu’on se les gelait sévère lorsqu’on a passé le pas de la porte... La galerie présente donc trois artistes dits d’art brut, repérés par la clinique psychiatrique de Munich qui a développé de longue date un pôle d’art thérapie (et même une galerie d’exposition financée par des entrepreneurs privés). Trois artistes que l’accrochage panaché permet de mettre mutuellement en valeur, et qui ont donc pour point commun d’être parfaitement autodidactes et de fréquenter cette institution.

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Quelqu'un à qui parler

 



Infrarouge

diffusé le 04/01/23 à 22h54  disponible jusqu'au 12/05/23

Plus de trois millions d'appels par an font retentir nuit et jour les lignes d'écoute et de soutien en santé mentale. Il y a là toujours le même espoir de secours, celui de trouver au bout du fil une voix humaine, un soutien bienveillant qui répondra, écoutera, aidera, et peut-être permettra de desserrer quelques instants l'étau d'une peine qui peut être colossale. Les écoutants sont les veilleurs consolants de notre époque, qui accueillent avec patience et altruisme toutes les peines et les tourments de notre société.

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Cancer du poumon : la survie s’améliore en France

Par   Publié le 29 janvier 2023

Une étude française menée auprès de 9 000 patients pris en charge dans des hôpitaux généraux constate, en vingt ans, une nette baisse de la mortalité à deux ans. Une évolution en lien avec des progrès thérapeutiques.

Une tumeur maligne du poumon (en rose), vue par radiographie. Le cancer bronchopulmonaire est la première cause de mortalité par cancer en France et dans le monde.

Bonne nouvelle sur le front du cancer du poumon : la mortalité à deux ans a diminué en France, passant de 79 % en 2000 à 74 % en 2010, puis à 52 % en 2020, comme l’indiquent les résultats, non encore consolidés, de l’étude KBP-2020-CPHG, présentée dimanche 29 janvier lors du Congrès de pneumologie de langue française à Marseille. La survie à un an est passée de 40 % en 2000 à 55 % en 2020.

Ce travail du Collège des pneumologues des hôpitaux généraux (CPHG) porte sur près de 9 000 nouveaux cas de cancer bronchique primitif (cancer du poumon), tous types de tumeurs et à tous les stades, répertoriés en 2020 par 82 centres. L’objectif est de décrire les cancers du poumon et de les comparer aux cohortes de 2010 et de 2000.

Mariage en enfer ...












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Épisode 1/4 : Pourquoi se parle-t-on à soi-même ?


 


Lundi 30 janvier 2023

Provenant du podcast

Avec philosophie

Une femme se regardant dans le miroir ©Getty - CSA-Printstock

Mais d'où peut bien venir cette voix que nous entendons dans notre tête lorsque nous nous adressons à nous-mêmes ? En quoi le langage intérieur peut-il être bénéfique ? Et comment traiter ses dysfonctionnements qui se manifestent sous la forme de ruminations ou encore d'hallucinations auditives ? 

Avec
  • Hélène Loevenbruck Linguiste et chercheuse française
  • Stéphanie Smadja Écrivaine et linguiste française

Quoi ? Mon enfant n’est pas un génie ?

 



Lundi 30 janvier 2023

Provenant du podcast

Sans oser le demander

Pourquoi persiste le mythe du talent inné ? ©Getty - CSA-Printstock

Suis-je né avec du talent ? Quel mérite a-t-on quand on est né au bon endroit ? En neurosciences, le don naturel ne peut pas se prouver, la réussite n'est pas qu'une question de gènes, mais aussi d'environnement. Alors pourquoi persiste le mythe du talent individuel et inné ?

Avec
  • Samah Karaki Docteure en neurosciences

Marcher un peu avant ses un an, faire des phrases avant ses deux ans, compter avant ses trois… tout est bon, quand on est parent, pour tenter de repérer une trace de génie chez son enfant… mais comme l'indique bien cette phrase : "quand on est parent". 
Car le génie ne tient pas tant à son enfant mais à ce qu'on veut voir en lui à tout prix.
De là à dire que le génie n'existe pas ? Que le talent serait une pure fiction ? Que l'idée d'un don naturel est un non-sens ? Eh bien, pourquoi pas…

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lundi 30 janvier 2023

Les signes avant-coureurs de troubles anxieux identifiés chez les adolescents

Mercredi 1 février 2023

Provenant du podcast

Le Journal des sciences

On estime qu'un adolescent sur trois présente des troubles anxieux. ©Getty - Maskot

Au menu du journal des sciences : les signes prédictifs des troubles anxieux détectés avec une intelligence artificielle, le retard d’apprentissage des enfants depuis la pandémie, une comparaison de l’âge de procréation entre hommes et femmes et une étude des récifs coralliens grâce à Instagram.

Les signes prédictifs des troubles anxieux détectés avec une intelligence artificielle

Les troubles anxieux sont répandus à l'adolescence, on estime que près d’un ado sur trois est concerné. Et chez certains de ces individus, cette angoisse peut s’accentuer et prendre la forme de troubles anxieux généralisés à l’âge adulte… d’où l’importance d’en détecter les prémisses le plus tôt possible.

Pour cela, des scientifiques ont suivi un groupe de 2000 adolescents européens pendant près de 10 ans. Les volontaires ont renseigné leur état de santé psychologique via des questionnaires en ligne… Au moment de leur recrutement, lorsqu’ils avaient autour de 14 ans… Et ont rempli les mêmes questionnaires à 18 ans puis finalement à 23 ans… Ils ont aussi passé des tests neuropsychologiques et des examens d’imagerie cérébrale.

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TRIBUNE Retraites : l’épuisement professionnel, on en parle ?

par Thomas Coutrot et Coralie Perez, Economistes  publié le 29 janvier 2023 

Le système de compensation de la pénibilité serait juste et efficace s’il prenait en compte à la fois le mal-être physique et psychique. Le débat devrait aussi porter sur le pouvoir d’agir des salariés sur leur travail, estiment les économistes Thomas Coutrot et Coralie Perez.

Le rejet massif de la réforme des retraites s’enracine dans le sentiment largement partagé que le travail est, pour beaucoup, déjà devenu insoutenable bien avant 60 ans.

A la question «Vous sentez-vous capable de faire le même travail qu’actuellement jusqu’à votre retraite ?» : 44 % des salariés interrogés répondent par la négative (1). Leur réponse dépend beaucoup du temps qui les sépare de la retraite : les jeunes se voient bien plus souvent incapables (58 % pour les moins de 30 ans) que les seniors (26 % pour les plus de 50 ans). Au-delà de l’âge, jouent la classe sociale et le genre : les ouvriers sont moins optimistes (48 %) que les cadres (38 %), les femmes (48 %) que les hommes (40 %).

"Je prends des antidépresseurs" : Fabrice Luchini évoque avec franchise son anxiété

Écrit par  Publié le 29/01/2023  

Dimanche 29 janvier 2023, Fabrice Luchini s'est confié dans les colonnes du Parisien au sujet de son anxiété. S'il suit une analyse depuis de longues années, l'acteur de renom ne le cache pas : il ressent le besoin de prendre des antidépresseurs.












Fabrice Luchini peut être "hystérique" quand il veut, comme il le revendique dans un entretien accordé au Parisien, dimanche 29 janvier 2023. Cet amoureux de littérature et de théâtre aime faire le show sur les plateaux télé. Mais, il se laisse aussi aller à des confidences sur son tempérament anxieux. Quand les journalistes du quotidien évoquent avec lui la notion de bonheur, il répond : "Ce n’est plus un but. Quarante ans d’analyse m’ont montré que ce n’est pas pour moi, je n’ai pas une nature heureuse mais anxieuse, je prends des antidépresseurs, je dors très mal. Mais c’est un moteur pour mon métier". Face à ce qu'il nomme une "souffrance", Fabrice Luchini est loin de vouloir se lamenter.


Les « écospirituels » ou la tentative de se réconcilier avec la Terre par la spiritualité

Par  Publié le 28 janvier 2023 

ENQUÊTE Pour affronter l’écoanxiété qui les assaille, un nombre croissant d’écologistes se tournent vers divers rituels de reconnexion à la nature, parfois ancestraux, souvent ésotériques. Et se bricolent une spiritualité sur mesure, censée les aider à transformer le monde, ou du moins leur rapport à celui-ci.

« Eyes as Big as Plates » #Andreas (Norvège, 2019).

Elle a d’abord été infirmière, puis aiguilleuse du ciel, pilote d’avions privés, analyste en sécurité pour l’aérien. Ensuite, à 41 ans, Florence-Marie Jégoux a vécu ce qu’elle appelle « un bel effondrement intérieur » : une prise de conscience écologique, suivie d’une autre, « collapso ». Face à cette angoisse de fin du monde, elle s’est sentie seule. « Je me suis rendu compte qu’il n’y avait personne autour de moi à qui en parler. Et, en lisant Pablo Servigne, j’ai découvert l’écopsychologie et le “travail qui relie”. »

Plusieurs sites consacrés au « travail qui relie » énoncent ainsi la problématique à laquelle ce « TQR » entend répondre :« Comment aller à la rencontre de notre découragement et de notre impuissance face à l’ampleur de la crise écologique et sociale, pour les transformer en engagement créatif ? Comment renforcer nos racines pour nous soutenir nous-mêmes, les autres et la Terre ? »

Cinq façons de sortir du « Dry January »... et de changer son rapport à l’alcool

CHRONIQUE

Ophélie Neiman

Trente et un jours sans alcool. Plus d’un Français sur trois envisageait, au début du mois de janvier, de relever ce défi bénéfique pour la santé. Alors que février approche, comment prolonger l’effort, ou renouer en toute modération avec le ballon ou le demi ?

Le mois de janvier s’achève et, avec lui, le Dry January, ou « janvier sec ». L’initiative, apparue au Royaume-Uni il y a dix ans, a essaimé par la force des réseaux sociaux et l’ardent soutien des associations anticancer et antialcool. Le site officiel, qui promeut le #ledéfidejanvier, annonce que, selon un sondage BVA, 35 % des Français interrogés pensaient y participer. Que vous ayez fait partie de ceux-là ou non, comment aborder le mois de février sous les meilleurs auspices ?

À quoi sert le silence en psychothérapie ?

Interview de Serge Hefez







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LES INTERSTICES

FRÉDÉRIC STUCIN

  • EXPOSITION

20.01 - 15.04.2023

  • STRASBOURG



    ENTRÉE LIBRE

    DU MERCREDI AU SAMEDI

    14H – 18H30

    DOSSIER DE PRESSE

    L’exposition et le livre de photographies de Frédéric Stucin, Les Interstices, accompagnés d’un texte d’Ondine Millot, ont pu voir le jour grâce au dispositif Capsule du ministère de la Culture.

    Projet soutenu par la DRAC Nouvelle-Aquitaine, l’Agence Régionale de Santé de la Nouvelle-Aquitaine dans le cadre de l’appel à projet Culture et Santé, le Centre hospitalier de Niort, l’association PEPPSY (Prêts et Externalisation pour la PSYchiatrie), la Radio Pinpon et Stimultania Pôle de photographie.

    Projet initié et piloté par la Villa Pérochon avec l’étroit partenariat et la co-construction du service psychiatrique de l’hôpital de Niort : La P’tite Cafète.

    Pendant un an, le photographe Frédéric Stucin s’est installé dans la cafétéria accolée au service psychiatrique de l’hôpital de Niort pour y observer les « interstices », photographiant patients et soignants : en résulte un doux ensemble de quatre-vingt-deux photographies sur ces lieux de soin souvent stigmatisés.


dimanche 29 janvier 2023

Je pars sans moi & Isabelle Lafon, folle à relier [Gill Sgambato]

 





Je pars sans moi


 TTT   Très Bien










La Colline - Théâtre national
15 rue Malte-Brun, 75020 Paris
Du 17/01/2023 au 12/02/2023

Isabelle Lafon et Johanna Korthals Altes ne travaillent pas sur la folie. Elles font de la folie un état, une vérité, une réalité, qu’il leur revient de traverser, sur une scène de théâtre où seule une porte blanche, posée là dans l’espace nu, indique que (peut-être) un sas séparerait normalité et anormalité. Les deux actrices s’échangent les mots comme on se repasse les symptômes. Hallucinations, confusions identitaires, trouble des personnalités : les dérèglements de la raison circulent de l’une à l’autre ; les récits surgissent pour s’évanouir dans des suspens, des clairs-obscurs. Le texte se découd à mesure qu’il se coud. Si des réflexions de psychiatres (Gaëtan de Clérambault et Fernand Deligny) inspirent le spectacle, celui-ci doit sa cohérence à la présence affirmative de ces deux corps féminins qui forment une entité : le théâtre. Un bien curieux phénomène dont on sait la joyeuse duplicité et la capacité à frapper son public de palinopsie.


Sceneweb

Isabelle Lafon, folle à relier

Dans Je pars sans moi, Isabelle Lafon emmène avec elle sa complice Johanna Korthals Altes aux frontières d’un monde à la fois proche et inconnu, peuplé de dangers : celui de la folie. À partir des mots d’une femme internée à la fin du XIXème siècle à Sainte-Anne, elles se fraient un chemin passionnant, délicat vers leurs propres vertiges.



La ferme à Gégé

 


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De : De Florent Verdet

Synopsis

Gérard Coutances, dit «Gégé» vit depuis 3 générations en fermage dans le bocage normand. Dans les années 90, endetté, il transforme son exploitation en un lieu unique d’accueil pour enfants.