blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

vendredi 30 septembre 2022

A vos agendas : « Erasme : 40 ans de psychiatrie et après »

Publié le 

L’Etablissement Public de Santé Mentale (EPSM) Erasme situé à Antony, dans les Hauts-de-Seine (92), organise un événement inédit le 11 octobre prochain « Erasme : 40 ans de psychiatrie et après » à l’Espace Vasarely d’Antony. Cette journée a pour objectif d’échanger sur les évolutions de la santé mentale et de mettre en avant l’établissement et son parcours de santé depuis 40 ans. Des  scientifiques, écrivains et intellectuels échangeront et partageront leurs savoirs et leurs expériences lors de conférences et tables rondes. Des stands d’expositions seront également mis en place. Alors, à vos agendas !


Nantes : comment expliquer cette vague de suicides qui touche la prison ?


 



Par Farah Sadallah  Publié le 

La Maison d'arrêt de Nantes a connu plusieurs de vague de suicide depuis son ouverture en juin 2012.

La maison d’arrêt de Nantes a connu plusieurs vagues de suicides depuis son ouverture en juin 2012. (©Farah Sadallah / actu Nantes)

Depuis le début de l'année 2022, six personnes prévenues et issues du quartier protégé de la Maison d'arrêt de Nantes (Loire-Atlantique) se sont donné la mort. Un chiffre alarmant.

« C’est monstrueux », lâche la Contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, Dominique Simonnot, en réaction au nombre de suicides survenus ces derniers mois à la Maison d’arrêt de Nantes (Loire-Atlantique). Six personnes se sont en effet donné la mort depuis janvier 2022. Toutes les victimes étaient des prévenus, c’est-à-dire en attente de leur jugement, et issues du quartier protégé.

Lire la suite ...


Soin, privation de liberté et intimité

Publié le 

La Contrôleure générale des lieux de privation de liberté dénonce des mesures de restriction disproportionnées qui portent atteinte à l’intimité.

Dans les lieux de privation de liberté, comment concilier respect de l’intimité et obligation de surveillance ? Dans ce nouveau rapport thématique, la Contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) explore la façon dont les personnes peuvent se préserver (ou non) du regard d’autrui, via de nombreuses situations de vie quotidienne, et dénoncent des pratiques non respectueuses de l’intimité, ou disproportionnées, y compris en psychiatrie.

  • Vivre sous le regard des autres. Cette dimension est en cause par la conception même des lieux, qui facilite la visibilité des patients. Des pratiques intrusives de surveillance (caméra dans les espaces collectifs et en chambre d’isolement) sont dénoncées.
  • Se faire fouiller. En psychiatrie, la question de « la préservation de l’intimité est posée à chaque fois que plusieurs soignants restent dans la chambre d’isolement pendant que le patient est aidé à revêtir un pyjama ». Plus globalement, la « fouille » des effets personnels et des chambres ne doit pas être banalisée.
  • Être soumis à la force et à la contrainte. Le recours à la contrainte physique, quelle qu’en soit la forme, entraîne par nature le risque de violences sur les personnes. Dans ce registre, les pratiques « ne doivent intervenir qu’en dernier recours, après épuisement des autres moyens. »


L'importance des psys dans un Rwanda traumatisé par le génocide

Charlotte Thïede — Édité par Natacha Zimmermann    

Au lendemain du génocide des Tutsi, en 1994, le pays ne disposait que d'un psychiatre. Depuis, associations, animateurs psychosociaux, conseillers en traumatisme et groupes de parole fleurissent.

À Kigali (Rwanda).

«Si pendant le génocide, les tueurs voulaient qu'il n'y ait plus une vie ici, j'aimerais que la vie revienne», confesse douloureusement Emilienne Mukansoro depuis son bureau dans les collines de Mushubati, à 160 kilomètres à l'ouest de Kigali, la capitale du Rwanda. C'est là que se trouve sa maison d'enfance, celle où sa famille a été massacrée par les génocidaires.

La route est sinueuse, mais cela ne l'empêche pas d'organiser, une à deux fois par mois, depuis 2016, des groupes de parole pour les femmes victimes de violences sexuelles pendant le génocide. Elles se réunissent dans sa maison, qui accueille également des voyageurs de passage.

Un seul psychiatre pour une population traumatisée

Ce 10 avril, pour la 28e année de commémoration du génocide des Tutsi au Rwanda, elle retrouve un groupe d'une quarantaine de femmes. Une rencontre qu'elle décrit comme «un rendez-vous [donné] à la vie». Le regard en direction de sa fenêtre, une tasse de thé à la menthe sauvage encore brûlante dans ses mains, elle confie: «J'admire ces collines, ces paysages, ces plantes. Mais en avril, ce n'est plus la même chose. Je vois les gens qui se cachent, qui courent partout pour tuer. J'entends les bruits, les cris de gens qui viennent de découvrir quelqu'un qui se cache.»

«Si pendant le génocide, les tueurs voulaient qu'il n'y ait plus une vie ici, j'aimerais que la vie revienne», confie Emilienne Mukansoro, psychothérapeute et elle-même survivante. | Charlotte Thïede


Lire la suite ...


Le vaccin antigrippal diminue la prescription d’antibiotiques




Publié le 23/08/2022

La prescription excessive d’antibiotiques (AB) en ambulatoire contribue à l’installation de résistances bactériennes. Cette consommation augmente de plus de 20 % en saison hivernale et coïncide avec le pic d’épidémie grippale.

De surcroît, plus de 60 % des AB sont prescrits pour des infections respiratoires qui sont le plus souvent virales. Deux études récentes ont montré une baisse de la consommation des AB chez l’enfant sans explication claire malgré plusieurs hypothèses.

L’impact de la couverture vaccinale contre la grippe est très mal connu, mais pourrait y participer.

Lire la suite ...


jeudi 29 septembre 2022

À Toulouse, "Sisypolia" une performance qui interroge l’absurdité de nos comportements contemporains

Mercredi 28 septembre 2022

Provenant du podcast

Affaire à suivre

Sisypholia - Damien Bienabe

Résumé

Rencontre avec Natacha Belova, scénographe et marionnettiste à l’occasion de la création de sa performance, “Sisypholia”, inspirée du mythe de Sisyphe, dans le cadre de la Biennale des Arts Vivants de Toulouse. 


En savoir plus

Aujourd’hui, nous sommes en compagnie de Natacha Belova, metteuse en scène, scénographe et marionnettiste qui présentera sa nouvelle création, Sisypholia du 5 au 8 octobre dans le cadre de la biennale des Arts Vivants de Toulouse (qui se tiendra du 29 septembre au 15 octobre). Une performance à découvrir du 5 au 8 octobre (Rue d’Alsace Lorraine) et qui brouille les pistes de compréhension pour offrir un nouveau regard sur les effets de la surconsommation et de nos comportements absurdes.

La performance :

Sisypholia est une performance en extérieur qui consiste à évoquer une figure mythologique dans des espaces de consommation urbains afin de créer une perturbation poétique dans un mouvement commercial.

Lire la suite et écouter le podcast ...


Où sont passés les cinéphiles ?

Mercredi 28 septembre 2022

Provenant du podcast

Le Temps du débat

La difficulté des cinémas à remplir leurs salles persiste. ©AFP

Résumé

98 millions d'entrées vendues entre janvier et août 2022 dans les salles de cinéma françaises, pour 138 millions sur la même période en 2019. Covid-19, hausse prix des places ou plateformes d'abonnements vidéos : quel avenir pour les salles et la cinéphilie ?


avec :

Anne Faucon (Porteuse du projet de cinéma éco-responsable de Pont-Sainte-Marie), Rosalie Brun (Déléguée générale de la société des réalisateurs de films ), Aurélien Bosc (Président des cinémas Pathé Gaumont).


Lire la suite et écouter le podcast ...


En Italie, « nous avons cru que le droit d’avorter était acquis. Nous avons eu tort »

Par    Publié le 29 septembre 2022

Après la victoire électorale de la coalition emmenée par par la très conservatrice Giorgia Meloni, des manifestants ont défendu un droit déjà fragile.

Manifestation à l’occasion de la Journée mondiale du droit à l’avortement, à Rome, le 28 septembre 2022.

La pancarte est très simple, un bête morceau de carton, mais les mots tracés au feutre semblent d’une autre époque : « C’est mon corps, c’est moi qui décide. » Brandi par une très jeune fille, mercredi 28 septembre à Rome, le panneau renvoie pourtant à une inquiétude bien réelle, dans l’Italie d’aujourd’hui. Comme les autres manifestants autour d’elle, hommes et surtout femmes de tous âges, celle qui le tient au-dessus de sa tête estime que le droit d’avorter n’est plus vraiment respecté dans son pays.

Violences sexuelles: «Où est la justice, madame Badinter ?»

par Jeanne Bazelaire, Comédienne  publié le 29 septembre 2022

Sur France Inter, la philosophe a déclaré que la justice est méprisée dans les affaires de violences envers les femmes. C’est comme se faire «cracher à la gueule» pour une auditrice victime de viol dont la plainte a été, comme tant d’autres, classée sans suite.

Ce matin, je pars de chez moi avec dans mes écouteurs la voix d’Elisabeth Badinter, invitée dans la matinale de France Inter. J’écoute cette femme, brillante, savante, parler des manifestations contre le régime iranien suite à la mort de Mahsa Amini, et dériver sur le féminisme.

L’entretien s’oriente vers la question du voile, puis vers ce qu’on appelle le «néoféminisme» arrivé avec le mouvement MeToo, vers les affaires Quatennens et Bayou, les violences envers les femmes, les agressions sexuelles, les viols, les histoires de prescription, de présomption d’innocence.

Plus j’avance, plus j’ai le vertige. J’entends : «Où on en est ? Où sommes-nous pour mépriser la justice ?» Mon corps est traversé d’un frisson. J’entends : «On ne peut pas à ce point mépriser les principes démocratiques.» J’ai mal au cœur. J’entends encore : «Je crois que cette femme [Sandrine Rousseau, ndlr] est dans la toute-puissance et se permet de contrer la justice. Mettre quelqu’un au pilori publiquement sans que nous sachions ce qui s’est passé… On livre des hommes, en particulier, à la vindicte publique sans passer par un minimum de justice.»

Et j’ai comme l’impression qu’on me crache à la gueule, qu’on nous crache à la gueule.

Alzheimère & fils Et si l’imagination était le seul moyen pour dialoguer avec Alzheimer ?


 

En touchant la mémoire de notre mère, Alzheimer touche également notre mémoire d’enfance, notre compréhension du monde, de la vie et de ce que nous sommes. Nous avons décidé d’en faire un spectacle où le comique le dispute au tragique. À la fois sensible et grinçant, ALZHEIMÈRE & FILS est une fantaisie burlesque qui convoque le music-hall, le théâtre et le cabaret. Les deux fils que nous sommes se servent de la musique et de la lumière comme arme pour saisir l’insaisissable.


Lire la suite ...



Rapport Covid, manque de personnel, médecine ambulatoire… Plus de 4 300 lits d’hôpital ont été fermés en 2021

par LIBERATION et AFP  publié le 28 septembre 2022 

Ce chiffre encore provisoire est en léger repli par rapport à 2020 (-4 900) mais encore supérieur aux baisses constatées avant la crise sanitaire.

Plus de 4 300 lits d’hospitalisation complète ont été fermés en 2021 dans les établissements de santé français, qui ont créé dans le même temps 2 700 places d’hospitalisation partielle, selon une étude du ministère de la Santé publiée mardi.

Au total, plus de 21 000 lits ont été supprimés sur la période fin 2016-fin 2021 correspondant en majeure partie au premier quinquennat d’Emmanuel Macron. Soit deux fois plus que sous son prédécesseur François Hollande (-10 000) mais nettement moins que durant le mandat de Nicolas Sarkozy (-37 000).

Travail. Surcharge de travail et excès de zèle sont en train de devenir la norme

Publié le 28 septembre 2022

La “BBC” revient sur les causes qui ont conduit les employeurs à en demander toujours plus à leurs salariés. Cette évolution est très récente et ne touche pas tous les employés de la même manière.

Le débat autour du quiet quitting (“démission silencieuse”), le fait de faire le strict minimum au travail, a ravivé le débat autour de la place qu’occupent nos emplois dans nos vies. Notamment sur le fait qu’il est devenu normal d’attendre des travailleurs qu’ils en fassent toujours plus, note le site de la BBC.


Suicide des jeunes : "j'avais l'impression de ne pas être assez bien. De n'être à ma place nulle part"


 



Écrit par Sébastien Bonifay  Publié le 

Le suicide, en France, constitue la deuxième cause de mortalité chez les 15-24 ans, après les accidents de la route. La Corse, où 4,3 % des décès dans cette tranche d'âge sont dus au suicide, n'est pas épargnée. Nous avons recueilli le témoignage d'Eric, 39 ans. A l'âge de 16 ans, il avait tenté de mettre fin à ses jours en avalant une surdose de médicaments.

"Je ne m'aimais pas. Voilà tout". Eric ajuste le bracelet de la montre qu'il porte à son bras droit. L'enlève, l'examine comme s'il la voyait pour la première fois, puis la remet. Il reprend. "C'est pour cela que j'ai tenté d'en finir. Et puis je suis parvenu à comprendre pourquoi je ne m'aimais pas. C'est grâce à cela que j'ai pu m'en sortir". Un autre silence, plus long, s'installe. "Mais ça a pris un sacré bout de temps".

Le trentenaire n'a pas de mal à parler sa tentative de suicide, mais, pour être sûr de tout dire, sans rien dissimuler de cette douloureuse expérience, il nous demande de ne pas donner son nom. Et même de modifier son prénom. "Ma famille, mes proches, n'apprendront rien, bien sûr. Ils ont tout vécu. Mais c'était il y a vingt-trois ans. Et mes collègues, mes clients, et la plupart des amis que je me suis faits depuis cette époque n'en savent rien. Je n'en ai pas honte. Mais je n'ai pas envie d'en parler. Et de prendre le risque de ne plus être réduit pour eux qu'à celui qui a voulu mourir". 

Eric sourit, du sourire qu'arborent celles et ceux qui redoutent de mettre mal à l'aise leur interlocuteur. "Encore aujourd'hui, je ne sais pas si je le voulais vraiment, ou pas, d'ailleurs...

Téléguidé

C'était en 1999. Eric avait 16 ans quand il a avalé tous les cachets qu'il a trouvés dans l'armoire à pharmacie familiale. "Je me suis réveillé, et je savais que le jour était venu. Je pourrais pas expliquer pourquoi. En me couchant, la veille, j'avais rien prémédité. Ce matin-là, j'ai attendu dans ma chambre que mes parents partent au boulot. Ils ne pouvaient se douter de rien, je n'avais cours qu'à partir de 9 heures"

Lire la suite ...


IVG médicamenteuse ou instrumentale : les femmes n’ont pas toujours le choix de la méthode


 



Par   Publié le 28 septembre 2022

En 2021, 76 % des interruptions volontaires de grossesse étaient réalisées sous forme médicamenteuse, un chiffre en progression pour une pratique parfois hors des délais recommandés par la Haute Autorité de santé.

Une jeune femme venue pour un avortement médicamenteux remplit la fiche de liaison nécessaire, au planning familial du 2e arrondissement de Paris, en septembre 2021.

A l’heure où le droit à l’IVG est menacé dans le monde, comme aux Etats-Unis, où la Cour suprême a annulé l’arrêt Roe vs Wade – qui garantissait le droit à l’avortement au niveau fédéral – a lieu, mercredi 28 septembre, la Journée internationale pour le droit à l’avortement. En France, les députés se pencheront, fin novembre, sur la proposition de loi de la majorité, visant à inscrire ce droit dans la Constitution. Mais, en dépit de récentes avancées, comme l’allongement du délai légal à quatorze semaines de grossesse, depuis la loi du 2 mars, des inégalités d’accès à l’IVG demeurent, selon le profil des femmes ou encore leur lieu de résidence. Moins connu, un autre enjeu fait débat : la préservation du choix de la méthode d’avortement. Un élément qui figure pourtant en préambule des recommandations de bonne pratique de la Haute Autorité de santé (HAS).

L'amour toujours Vie intime des personnes âgées: 94% se disent toujours amoureux, 52% ont encore des relations sexuelles

par Cassandre Leray  publié le 29 septembre 2022

Dans son rapport sur la vie affective, intime et sexuelle des personnes âgées, l’association des Petits frères des pauvres révèle des données à rebours des clichés sur nos aînés. La majorité des 60 ans et plus sont toujours amoureux, et plus de la moitié d’entre eux ont encore des relations sexuelles.

L’amour dure parfois toute une vie. Le rapport annuel des Petits frères des pauvres sur l’isolement et la solitude des personnes âgées, publié ce jeudi, vient le rappeler, en se penchant sur la vie affective, intime et sexuelle des têtes blanches. Dans son étude, l’association s’attache notamment à désarticuler les clichés. La rareté des représentations de vieilles et vieux s’embrassant ou se tenant tout simplement la main est révélatrice de la «façon caricaturale» dont le sujet est abordé dans la société, comme le rapporte l’association : «Passé un certain âge, la vie affective et sexuelle n’existe plus, elle s’éteint ou alors pour exister, il faut qu’elle soit performante voire extravagante. Dans tous les cas, une vision peu respectueuse.» Pourtant, ils sont nombreux à vivre âgés et en couple : 59% des 60 ans et plus, soit plus de 10 millions de personnes.

HLM : les bailleurs sociaux font l’état des lieux

par Eve Szeftel, Envoyée spéciale à Lyon (Rhône) publié le 27 septembre 2022 

Réunis en congrès à Lyon jusqu’à jeudi, les organismes tentent de trouver des solutions de rénovation pour faire face à la crise énergétique, ainsi que des moyens d’aider les classes moyennes à trouver des logements plus abordables.

Repartir sur de bonnes bases, à défaut de tourner la page : telle est l’ambition, modeste, du grand raout annuel du mouvement HLM, qui se tient jusqu’à jeudi à Lyon (Rhône). Sobrement intitulé «Réussir», c’est le premier du nouveau quinquennat. Entre baisse des APL, ponction sur la trésorerie des bailleurs et discours dénigrant le logement social, le précédent a laissé un goût amer aux bailleurs sociaux, qui logent 11 millions de personnes, soit 17 % des ménages français. Le choix de nommer Olivier Klein, qui a vécu en HLM et présidé l’Agence nationale de la rénovation urbaine, comme ministre délégué au Logement, a cependant été bien accueilli. L’ancien maire de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) a tenu d’ailleurs à être présent dès l’ouverture du congrès mardi, dont il prononcera le discours de clôture jeudi. Son ministre de tutelle, Christophe Béchu (Transition écologique et Cohésion des territoires), est, lui, attendu ce mercredi.