Le 27 décembre 2019
Les infirmier(e)s dorment près d'une heure et demie de moins avant un quart de travail, ce qui nuit à la qualité et à la sécurité des soins, conclut cette étude de l’Université de New York. Ces données présentées dans la revue Sleep Health de la National Sleep Foundation, confirment un manque de sommeil chronique dans la profession, qui vient s’ajouter aux horaires et conditions de travail difficiles. Un facteur de pénibilité pour les personnels avec un risque médical associé pour les patients.
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