Dessin Simon Bailly
L’écrivain dénonce dans son dernier ouvrage la schizophrénie d’un Maroc corseté par le conformisme social et l’inaction des politiques envers la sexualité et les femmes.
Elle veut libérer la parole. Briser le tabou autour de la sexualité au Maroc, telle est la tâche épineuse à laquelle s’attelle la lauréate du Goncourt 2016, Leïla Slimani. Son dernier ouvrage, Sexe et mensonges, la vie sexuelle au Maroc, qui fait aussi l’objet d’une adaptation en BD, Paroles d’honneur (1), livre une parole brute : des témoignages intimes de femmes écartelées entre transgression et soumission.
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