Sacha Goldberger, qui avait pris des clichés loufoques de sa grand-mère, en sort un best-of. Et dans une nouvelle série exposée à Paris, il met en scène les relations parents-enfants.
C’est un garçon qui a atteint son objectif en shootant sa grand-mère. A bout portant. Sans fléchir. Depuis dix années. Le nom de ce maniaque ? Sacha Goldberger, 46 ans, devenu photographe après des antécédents de créatif dans la pub chez des grands du secteur (Publicis, Scher-Lafarge…). L’identité de sa victime préférée ? Frederika, 96 ans, baronne, surnommée «Mamika» («petite mamie» en hongrois). «Quand j’étais plus jeune, j’étais très inquiet de sa disparition, raconte Sacha Goldberger. Je me demandais à qui j’allais pouvoir parler d’elle, qui se souviendrait d’elle. J’en suis à plus de 10 000 clichés de ma grand-mère. Maintenant, elle est devenue immortelle.»
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