La plus haute juridiction administrative française avait été saisie par une femme de 35 ans conçue par insémination artificielle avec donneur, qui réclame depuis des années la levée partielle du secret de ses origines.
Elle voulait des informations sur le donneur de sperme qui a permis sa conception. Mais le Conseil d’Etat en a décidé autrement : ce jeudi, la plus haute juridiction administrative française a débouté une jeune femme de 35 ans, conçue par insémination artificielle avec donneur et qui réclamait une levée partielle du secret de ses origines.
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