CHRISTIAN COLLARD
Infirmier clinicien mis à pied par le gouvernement québécois
Par ces coupures, les décideurs s'attaquent aux plus petits, soit à des personnes dont la santé mentale est fragilisée par la maladie et le temps d'attente.
Le 4 juillet, j'ai perdu mon emploi d'infirmier clinicien en santé mentale en raison de coupures gouvernementales. Ces coupes visaient surtout la main-d'oeuvre indépendante. Elles sont injustes et prolongent le temps d'attente, car une infirmière, plutôt que quatre, devra s'occuper de mes dossiers et des dossiers de collègues en vacances. Cette coupure est injuste parce qu'on m'avait demandé, en février, de réserver le mois de juillet pour remplacer pendant les vacances. Je devais travailler jusqu'en septembre.
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