Depuis la mi-août 2013, les violences hospitalières – mais aussi en secteur libéral – se sont succédées à un rythme soutenu, voire infernal, dans l'hexagone. Marseille, Valenciennes, Bourgoin-Jallieu, Vénissieux, Rangueil, Saint-Denis... une bien triste énumération qui met la communauté soignante en émoi et surtout en attente de solutions face à un climat d'insécurité croissant qui fait désormais partie de leur quotidien.
Ces violences sont inacceptables. On n’est pas là pour recevoir des coups !, dit une infirmière suite à l'agression d'une de ses consoeurs dans le service d'urgences de l'hôpital Rangueil, à Toulouse.
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