Perpignan — Photographier les atrocités des guerres ne laisse pas indemne: nombre de reporters souffrent à des degrés divers de symptômes traumatiques qu'il faut traiter sans tabou, s'accordent à dire professionnels et médecins.
"Je n'ai jamais vu un reporter de guerre sans aucun symptôme", affirme le professeur Anthony Feinstein, du département de psychiatrie de l'Université de Toronto.
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