À moins de 40 ans, les militantes féministes ont déjà subi cet épuisement physique, émotionnel et mental. La France est à la traîne sur ce sujet qui fait l'objet d'études aux États-Unis.
Anaïs Bourdet de Paye Ta Shnek d'abord, le 23 juin dernier, puis l'association Féministes contre le cyberharcèlement: elles n'en peuvent tout simplement plus.
Entre témoignages reçus, violences subies et militantisme énergivore, les militantes féministes sont confrontées à ce que l'on nomme aujourd'hui le «burn-out militant».
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