4 janvier 2018 |Andréanne Chevalier
Photo: Jacques Nadeau Le Devoir
Mené par la professeure en psychiatrie Suzanne King,
le Projet Verglas étudie les conséquences du stress
vécu par les femmes enceintes au moment de la crise
du verglas de janvier 1998.
Il y a 20 ans, le Québec faisait face à l’une des plus grandes catastrophes naturelles de son histoire. Entre le 4 et le 10 janvier 1998, la tempête de verglas a laissé jusqu’à 100 millimètres de pluie verglaçante sur son passage, plongeant dans le noir plus d’un million d’abonnés d’Hydro-Québec au pire de la crise. Premier texte d’une série à lire jusqu’à samedi sur cet épisode marquant.
Un grand stress vécu par une mère enceinte peut accroître des facteurs de risques chez l’enfant à naître.
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