LES LIVRES DE LA PSYCHANALYSE
Vous avez dit dépression ?
La clinique lacanienne Numéro 17 - revue semestrielle – 2010
La clinique lacanienne Numéro 17 - revue semestrielle – 2010
Editons Erès – Prix : 25 €
Si le monde actuel connaît une forte augmentation des pathologies dépressives - ou dites dépressives - la question du statut que le psychanalyste leur donne n'est pas simple. Il peut en effet être tenté d'analyser ce phénomène « de l'extérieur », en dénonçant la généralisation d'un diagnostic qui en dirait plus long sur le discours médical contemporain que sur le sujet qui se dit déprimé. Il peut aussi distinguer de façon très marquée la mélancolie d'un côté, et de l'autre des troubles névrotiques de l'humeur, qui seraient nettement moins bien caractérisés. Mais il ne peut éviter cependant d'aller un peu plus loin : à supposer que la généralisation du diagnostic de dépression n'aille pas de soi, ce qu'il faut, pour le moins, c'est tenter de l'éclairer. Or dès lors qu'on tente de le faire on s'aperçoit selon les mots d'un des articles du dossier que « le dépressif est celui qui est le mieux à même de nous apprendre quelque chose de notre monde ».
Ont participé à ce numéro : Marika BERGES-BOUNES - Gorana BULAT-MANENTI - Isabelle FLOC'H - Helene GODEFROY - Francoise GOROG - Jean-jacques GOROG - Rosa GUITARD-PONT - Christian HOFFMANN - Christiane LACOTE-DESTRIBATS - Jean-pierre LEHMANN - Martine LERUDE - Gerard POMMIER - Jean-jacques TYSZLER - Bernard VANDERMERSCH - Alain VANIER -
Si le monde actuel connaît une forte augmentation des pathologies dépressives - ou dites dépressives - la question du statut que le psychanalyste leur donne n'est pas simple. Il peut en effet être tenté d'analyser ce phénomène « de l'extérieur », en dénonçant la généralisation d'un diagnostic qui en dirait plus long sur le discours médical contemporain que sur le sujet qui se dit déprimé. Il peut aussi distinguer de façon très marquée la mélancolie d'un côté, et de l'autre des troubles névrotiques de l'humeur, qui seraient nettement moins bien caractérisés. Mais il ne peut éviter cependant d'aller un peu plus loin : à supposer que la généralisation du diagnostic de dépression n'aille pas de soi, ce qu'il faut, pour le moins, c'est tenter de l'éclairer. Or dès lors qu'on tente de le faire on s'aperçoit selon les mots d'un des articles du dossier que « le dépressif est celui qui est le mieux à même de nous apprendre quelque chose de notre monde ».
Ont participé à ce numéro : Marika BERGES-BOUNES - Gorana BULAT-MANENTI - Isabelle FLOC'H - Helene GODEFROY - Francoise GOROG - Jean-jacques GOROG - Rosa GUITARD-PONT - Christian HOFFMANN - Christiane LACOTE-DESTRIBATS - Jean-pierre LEHMANN - Martine LERUDE - Gerard POMMIER - Jean-jacques TYSZLER - Bernard VANDERMERSCH - Alain VANIER -
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