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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 19 décembre 2022

Le Contrôleur des prisons recommande de "suspendre les incarcérations" à Bois-d'Arcy en raison des conditions de détention

franceinfo avec AFP  Publié 

Le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, a reconnu une situation "préoccupante".

Une photo d'une cellule de la maison d'arrêt de Bois-d'Arcy (Yvelines) transmise par le Contrôleur général des lieux de privation de liberté. (CGLPL)

"Surpopulation", "désorganisation"… Constatant des "conditions de détention indignes" à la prison de Bois-d'Arcy (Yvelines), le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) a émis une recommandation rare, vendredi 16 décembre "suspendre les incarcérations" dans cette maison d'arrêt.

Dans des recommandations en urgence publiées vendredi au Journal officiel et préalablement envoyées au ministère de la Justice, le CGLPL explique avoir constaté sur place mi-septembre un taux d'occupation de 165% et une "désorganisation générale de la détention", qui ne permettaient "de garantir ni la sécurité des personnes écrouées, ni celle des personnes qui travaillent au centre pénitentiaire".

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« Psychiatrie augmentée » : ce que le numérique va apporter à la santé mentale

20 décembre 2022

Les outils numériques, à l’image des « chatbots » et des « thérapies digitales », commencent à s’installer en psychiatrie. De quoi s’agit-il ? Comment vont-ils aider les patients et les praticiens ?

application santé mentale


Attentats, pandémie de Covid-19, guerre en Ukraine, réchauffement climatique, pénurie d’énergie, inflation – entre autres difficultés : aujourd’hui, le moral des Français est en baisse et nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir consulter un psy – psychiatre ou psychologue –, afin de nous sentir mieux ou de réussir à nous adapter et à nous épanouir dans une société en perpétuel changement.

Un manque d’humains

Mais, comme le rappelle la psychiatre parisienne Fanny Jacq, « la pénurie de professionnels de santé s’aggrave, alors même que le besoin en soin ne cesse d’augmenter ». Il faut donc trouver des solutions. « On n’a pas le choix », ajoute celle qui a créé, en 2016, le chatbot nommé Mon Sherpa – de la société Qare. « L’intelligence artificielle (IA) et les outils numériques, comme les chatbots, en santé mentale, sont une de ces solutions, sans pour autant remplacer l’offre de soin ni répondre à tous les enjeux, bien entendu. »

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Schizophrénie (diagnostic) : en quoi consiste le test du regard ?

Écrit par  Publié le 23/12/2022 

Les poètes disent que les yeux sont le miroir de l’âme. Ils ont peut-être davantage raison qu’ils ne le croient eux-mêmes : des études scientifiques récentes ont établi que certains mouvements oculaires peuvent permettre de diagnostiquer une schizophrénie.


«J'ai l'impression que tout ce que j'ai appris en master de psychanalyse est vain depuis que j'ai commencé à voir un psy»

Mardi Noir — Édité par Sophie Gindensperger — 

Cette semaine, Mardi Noir conseille Hugo, dont l'analyse entamée après une rupture met en cause les certitudes théoriques et la poursuite même de ses études.

Chère Mardi Noir,

J'adresse ce message dans l'espoir de m'aider à clarifier une situation. Voilà plus de deux ans que je suis en master de psychanalyse. Attiré de longue date par la discipline, je m'étais finalement décidé à explorer intensément son versant théorique.

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"On naît autiste, on meurt autiste"


 



Par Pierre-Yves Gaudart  Publié le 

Un tiers des parents d'autistes auraient fait l'objet de signalement abusif, regrette l'association de Saint-Malo Autiste Emeraude

Little boy sitting on sofa at home. Child autism

« Ce que l'on considèrera comme de la colère est en réalité un shutdown, un repli autistique. »  ©(Illustration stock.adobe.com)

L’association malouine Autiste Emeraude qui a défendu Melvynn et sa famille se félicite de la décision de justice. Elle fait état d’un chiffre national : « 31,5% de parents d’autistes auraient fait l’objet de signalement abusif. »

Et au niveau local ? Pas vraiment de chiffres. Simone Bernard, à l’origine, avec son mari, de cette association en 2001, relate qu’il y a cinq ans, une avocate a été saisie pour six cas en Ille-et-Vilaine.

J’ai moi-même recueilli, à une époque, une cinquantaine de témoignage de familles bretonnes qui étaient menacées de se voir retirer leur enfant.

Selon elle, des professionnels de la santé et du social ne connaissent pas tous bien les troubles autistiques, « ce qui conduit des enfants vers des institutions où ils n’ont rien à faire. » 

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dimanche 18 décembre 2022

Unités mobiles de protection de l’enfance : "Agir, toujours dans l'intérêt supérieur de l'enfant"

PAR 
PUBLIÉ LE 16/12/2022

A l'hôpital Robert Debré (AP-HP), à Paris, tous les services peuvent faire appel, depuis le mois d'avril 2021, à une Unité mobile de soutien à la parentalité et de protection de l'enfance. Soupçons de maltraitance, de carence ou tout simplement nécessité d'une évaluation pour la mise en place de mesures d'aide à la parentalité : un médecin et une infirmière prennent en charge toutes ces situations au sein de l'hôpital. 

Mathilde Perdriau infirmière Hôpital Robert Debré

Mathilde Perdriau devant l'hôpital Robert Debré (AP-HP) à Paris. 


Chanter pour se libérer de la maladie mentale


 





Marine Henriot  16 décembre 2022 

ROME

LE VATICAN

La chorale des Pinsons lors de son concert de Noël à Rome, lundi 12 décembre 2022.

La chorale des Pinsons lors de son concert de Noël à Rome, lundi 12 décembre 2022.  

Faire fleurir les capacités de chacun. Dans la péninsule italienne, le système de santé fait le pari depuis les années 80, de soigner les personnes ayant des troubles psychiatriques avec une thérapie basée sur la réinsertion, limitant au maximum les séjours en hôpital. À l’occasion de Noël, le centre d’accueil de jour Vergani dans le sud de Rome, fait connaître ses talents au reste du quartier.

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La Consult’ d’Astrid Chevance : “Mon bagage en humanités me sert tous les jours en tant que médecin et chercheuse”



Video  Interview avec une psychiatre, cheffe de clinique en santé publique à l’université Paris-Cité.










Astrid Chevance est une tête. Après avoir réussi le concours de l’Ecole Normale Supérieure, elle est reçue à l’agrégation d’histoire. Mais la normalienne est attirée par la médecine et devient donc psychiatre, puis docteur en santé publique. Spécialiste de l’étude de la dépression, l’épidémiologiste de 36 ans a reçu en 2020 le Prix Jeunes Talents L’Oréal-Unesco pour les femmes et la science. 


De la nécessité de respecter la parole du patient en général, et en matière de fin de vie en particulier

par Philippe Lohéac, délégué général de l’association pour le Droit de mourir dans la dignité   publié le 16 décembre 2022

Le droit au suicide est reconnu depuis 1804, mais exercé uniquement de manière violente (puisque l’accès à certains médicaments est fortement limité) ! Il est temps de mettre fin à cette aberration.

Depuis la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, il est reconnu au patient le droit de prendre les décisions concernant sa santé. Il a également le droit – s’il le souhaite – d’être informé de son état de santé. Le patient – considéré jusqu’alors comme une sorte d’objet – devient l’acteur de son propre parcours de soins.

Certes, il n’est pas toujours simple, compte tenu de la technicité du domaine de la santé, du vocabulaire spécifique de la matière, de comprendre parfaitement sa propre situation sanitaire et donc de prendre les décisions en conséquence. Le corps médical fait alors preuve de pédagogie à l’égard du patient, réintégré dans sa qualité de citoyen qui dispose de ses droits, et notamment de sa liberté de décider pour lui-même et d’aller et venir (donc, de quitter un établissement de santé quand il le souhaite, sous réserve d’être informé des conséquences de sa décision).

Non merci, pas d’enfant


 


© Radio France

À propos de la série


Pour LSD, Manon Prigent donne à entendre des personnes qui ont fait le choix d’une vie sans enfant, en situant leur parole dans une histoire longue : celle des renoncements à l’engendrement, des premiers chrétiens à nos jours. 


À voir le nombre de livres qui paraissent sur le sujet et les titres de la presse, tout porte à croire que nous serions face à un moment inédit de baisse du désir de procréer. Comme si nous assistions à une révolution anthropologique qui ferait de la vie sans enfant un nouveau choix possible et audible.


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Ehpad : cinq informations obligatoires à transmettre aux familles dès l’an prochain

Capital 

Par Adeline Lorence   Publié le 

A partir du 1er janvier 2023, les Établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) devront obligatoirement publier cinq indicateurs. Parmi eux, le type de chambres proposées ou encore la présence d’un infirmier de nuit.

Aller vers plus de transparence. Un arrêté, publié au Journal officiel du 13 décembre, définit les cinq indicateurs qui devront être rendus publics par les Ehpad à compter du 1er janvier 2023. Il s’agit de la composition du plateau technique, le profil des chambres, le nombre de places habilitées à l’aide sociale à l’hébergement (ASH), la présence d’un infirmier de nuit et d’un médecin coordonnateur, et enfin le partenariat avec un ou plusieurs dispositifs d’appui à la coordination des parcours de santé. Ces cinq indicateurs devront être transmis par les établissements à la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) pour être ensuite consultables par les résidents et les familles sur le site pour-les-personnes-agees.gouv.fr.


Billet Le Père Noël aurait dû être une femme

par Marlène Thomas   publié le 16 décembre 2022

Cadeaux, repas, déco : alors que les femmes œuvrent sans relâche pour maintenir la magie de Noël, que font réellement les hommes ? Il serait temps d’interroger nos mythes.

Cet article est issu de L, la newsletter féminisme et sexualités publiée le samedi. 

Il berce l’imaginaire des enfants, s’affiche tout sourire des chocolats aux chaussettes, constelle les balcons de son habit rouge et blanc : vous aurez reconnu le Père Noël. Ce vieil homme barbu est pour tous l’artisan de la magie de Noël. Mais n’en déplaise au mythe construit depuis des siècles, le Père Noël aurait dû être une femme ! Pour l’heure, elles restent reléguées au rôle de figurantes, incarnées par la Mère Noël. Il est facile d’imaginer cette fête comme une entreprise : le père en serait le fier PDG quand la mère serait reléguée au rôle de secrétaire, chargée d’apporter les sablés tout droit sortis du four aux réunions de lutins.

CE QUE VAUT UNE FEMME : LES DOUZE HEURES DU JOUR ET DE LA NUIT

 THE

EYE

S

ELSA & JOHANNA

 

NOTE DES EDITEUR·ICES

 

L’origine de ce projet est la découverte d’un livre, dans le grenier de la maison familiale, intitulé « Ce que vaut une femme : Un traité sur l’éducation morale et pratique des jeunes filles », publié en 1893 avec le soutien du ministère de l’Instruction publique. Son contenu nous a paru à la fois édifiant et comique.

Le ton est donné dès l’introduction sous la plume de son autrice Éline Roch, lauréate du Prix Doyen-Doublié (en 1893) : « Qu’adviendrait-il de notre pays le jour où la femme se trouverait détournée de sa destination naturelle, où la jeune fille pourrait supposer qu’il existe autre chose pour elle que la mission noble et sainte d’être épouse, d’être mère ? « .


samedi 17 décembre 2022

Le gouvernement fixera la tarification de la psychothérapie

 LUXEMBOURG

Le ministère de la Sécurité sociale compte présenter d’ici la fin de la semaine un avant-projet de règlement grand-ducal pour fixer la tarification de la psychothérapie. (Photo: Christophe Lemaire/Maison Moderne/Archives)

Le ministère de la Sécurité sociale compte présenter d’ici la fin de la semaine un avant-projet de règlement grand-ducal pour fixer la tarification de la psychothérapie. (Photo: Christophe Lemaire/Maison Moderne/Archives)

Après l’échec des négociations et du processus de médiation entre la CNS et la Fapsylux, le ministère de la Sécurité sociale va fixer lui-même, par un avant-projet de règlement grand-ducal, la tarification des actes de psychothérapie


Le Congrès du Sommeil 2022 - Mouvements périodiques des membres et comorbidités : clinique du syndrome des jambes sans repos

Caroline Guignot     6 déc. 2022

Le syndrome des jambes sans repos (SJSR) est un syndrome sensitivomoteur dont les conséquences peuvent être lourdes, mais méconnues. Une meilleure connaissance du cadre diagnostique et des comorbidités qui lui sont les plus fréquemment associés peut aider à optimiser la prise en charge. Le congrès du sommeil qui s’est tenu à Lille du 23 au 25 novembre 2022 a consacré une session à cette question.

Le SJSR peut être idiopathique ou lié à des comorbidités. De fait, étant donné les interactions entre la prédisposition génétique et environnementale, il existe un continuum depuis les cas diagnostiqués chez les sujets jeunes, qui ont souvent une prédisposition génétique et sont de sexe masculin jusqu’aux cas diagnostiqués au fil du temps, au sein desquels la proportion du sexe féminin augmente pour prédominer (rapport H/F 1/2), et la présence et le nombre de comorbidités augmentent.

Les données cliniques et épidémiologiques relatives au SJSR suggèrent un certain nombre d’associations entre le SJSR et des comorbidités : les liens avec la carence martiale et l’insuffisance rénale chronique (IRC) dialysée sont clairement établis, les associations avec l’HTA, le diabète, la maladie de Parkinson (MP) ou la migraine étant moins robustement établis.



La jeune fille et l’innocent, histoire d’une accusation de viol qui a duré près de vingt ans

Par  Publié le 06 décembre 2022

La cour de révision examine, jeudi 8 décembre, la demande de réhabilitation de Farid E., condamné en 2003 par la cour d’assises des mineurs pour « agressions sexuelles » et « viol ». L’adolescente de 15 ans qui l’avait accusé en 1998 a reconnu, en 2017, avoir menti.

Le mardi 15 décembre 1998, dans une petite ville du Nord, une gendarme se présente au domicile de Julie D., lycéenne de 15 ans. L’enquêtrice, saisie par le procureur de la République d’une affaire d’agressions sexuelles et de viol en réunion, veut entendre l’adolescente. Sa mère et un ami psychologue auquel elle s’est confiée assistent à l’entretien. Julie D. raconte.

Prix Goncourt des détenus : "Les rendre actifs et acteurs d'une sélection"

Par  Publié le 

Co-créateur du Goncourt des détenus, le Centre national du livre est un partenaire historique de l'Administration pénitentiaire. Pour Édith Girard, responsable du "Pôle bibliothèques et action territoriale", la promotion du développement de la lecture dans les prisons est un chantier prioritaire. 

Le premier Goncourt des détenus, prix associé à la plus prestigieuse des récompenses littéraires françaises, sera décerné le 15 décembre, après le sacre le mois dernier au restaurant Drouant de Brigitte Giraud pour Vivre vite et la proclamation ce jeudi 24 novembre du 35e Goncourt des lycéens.

Quelque 500 détenus, dans 31 établissements pénitentiaires, se sont portés volontaires pour devenir “jurés”, en participant à des ateliers et à des rencontres exceptionnelles, en prison, avec des autrices et auteurs en lice.

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Effets secondaires


 



Deux psys et une patiente à bout : de traque médicale en intrigue financière et amoureuse, un Soderbergh brillant et ludique.

Il a tout pour lui : le physique (celui de Jude Law), le mental et la notoriété. Jonathan Banks est un psy ambitieux, inventif, reconnu par ses pairs. Mais il prescrit un jour, à une dépressive (Rooney Mara, découverte dans Millénium, version américaine), un nouveau médicament dont il assure, moyennant fortes finances, la promotion. Quelques jours plus tard, la jeune femme, dans un état d’hébétude totale, tue son mari…

Les histoires policières à rebondissements nécessitent du réalisateur qui les porte à l’écran un petit côté élégant et voyou : « Je vous piégerai malgré tout »… Steven Soderbergh, qui a abordé tous les genres — c’est le caméléon de Hollywood —, se lance, d’abord, dans un pamphlet anti-industrie pharmaceutique : une sorte d’Erin Brockovich 2013. Piège, piège, piège ! Car à la traque médicale succède vite une suite de machinations financières et amoureuses où chacun, bien sûr, a l’air de ce qu’il n’est pas…

Soderbergh filme New York comme seul Sidney Lumet savait le faire dans Serpico ou A la recherche de Garbo : familièrement et mystérieusement. Il parsème son exercice de style de références cinématographiques : moins Hitchcock que Robert Siodmak, réalisateur en pleine réhabilitation, qui aimait le rythme et les psychopathes. A force de cadrages savants, il parvient, aussi, à rendre presque carrée — comme celle des grands de jadis — la mâchoire de Jude Law. Un vrai magicien…

Synopsis

Dépressive chronique et suicidaire, Emily Taylor demande de l'aide à Jonathan Banks, un psychiatre réputé et ambitieux. Celui-ci lui recommande un traitement expérimental, qui fait peu à peu son effet. Si la jeune femme se sent bien mieux, elle souffre parfois de crises de somnambulisme. Mais un matin, Emily est retrouvée couverte de sang, un couteau dans la main, près du corps sans vie de son mari. La jeune femme, qui dit ne se souvenir de rien, blâme publiquement les méthodes controversées de son médecin. Jonathan Banks, lui, refuse d'assumer la responsabilité de la tragédie. Pour laver sa réputation et regagner la confiance de ses patients, le médecin décide de mener sa propre enquête...






Le chien de Bergson Dialogue autour de l'art du rire


 




Le chien de Bergson

Christophe Schaeffer & Jos Houben

 « À mon humble avis, il faut croire ce chien. » Daniel Pennac

Depuis de nombreuses années, le Belge Jos Houben arpente les scènes du monde entier avec L’Art du rire, un spectacle fondé sur le jeu et le geste, qui explore ce moment fugace où le rire se déclenche. Christophe Schaeffer, philosophe et écrivain français, est également créateur lumière pour le théâtre. La complicité artistique des deux hommes dure depuis plus de vingt ans. Ensemble, suivis par un mystérieux chien et tenant fermement le lecteur par la main, ils se lancent ici, trébuchants et facétieux, à la poursuite du rire.

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144 euros la séance de psychothérapie

16.12.2022

LUXEMBOURG

Suite à la non-conciliation entre la Caisse nationale de santé (CNS) et la Fédération des associations représentant des psychothérapeutes au Grand-Duché de Luxembourg (Fapsylux), actée par le médiateur en date du 12 décembre 2022, le ministre de la Sécurité sociale, Claude Haagen, a soumis au Conseil de gouvernement un avant-projet de règlement grand-ducal qui a été adopté en ce jour.

Ce règlement détermine la valeur de la lettre-clé, qui correspondra à 144 euros pour une séance de psychothérapie de 50 à 60 minutes (pour un coefficient 1). Le règlement sera maintenant transmis dans la procédure réglementaire.

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