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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 9 avril 2018

Aller chez le psy : un rendez-vous avec soi-même

Accueil
05/04/2018

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Nombreux sont ceux qui traînent leur mal-être depuis des années comme un boulet accroché à la cheville. Alors pourquoi ne pas entamer une thérapie ? ... Il n’est jamais trop tard pour se sentir plus léger !
 
« De toutes façons, à mon âge, je ne changerai pas », annonce catégoriquement Françoise. Elle n’est pas la seule à le penser. Nombreux sont ceux qui, arrivés à l’âge de la retraite, auraient le temps de suivre une thérapie mais n’en trouvent pas nécessairement l’utilité.


Hypnose au bloc opératoire : comment ça marche ?

Medscape Logo

Dr Marc Galy  22 mars 2018


Le Dr Marc Galy explique comment les outils hypnotiques peuvent être utilisés lors d’une chirurgie avec incision ou d’une exploration médicale.

TRANSCRIPTION

Je suis le Dr Marc Galy, je travaille dans le groupe hospitalier Paris Saint-Joseph, à Paris, et je vais vous parler de l’utilisation de l’hypnose dans la chirurgie [et les explorations]. J’ai commencé cette expérience il y a plus de 10 ans, en particulier dans la chirurgie carotidienne.

Fuite de 26 000 incidents internes au CHU de Toulouse, la direction s'explique

04.04.2018


chu toulouse
Crédit Photo : S. Toubon

Un défibrillateur qui ne reconnaît pas le signal au moment de choquer un patient lors d’une urgence vitale ; une chute de peinture sur un champ opératoire ; une coupure d’électricité au bloc ; 7 à 8 minutes pour rallumer les machines…: entre septembre 2013 et mars 2017, plus de 26 000 fiches d’incidents plus ou moins graves ont été enregistrées par le CHU de Toulouse – dysfonctionnements techniques, pannes de matériel, défaut de personnel, risques divers pour les patients…
Ces documents confidentiels ont été rendus publics ce mercredi par Médiacités, éclairant une situation peu reluisante pour le CHU. 

Les infirmiers interpellent Anas Doukkali

Le Site Info
4 Avril 2018

MAROC


La Fédération marocaine des professions infirmière et techniques de santé a adressé une correspondance au ministre de tutelle à propos des postes budgétaires alloués à ce secteur et concernant le recrutement du personnel paramédical au CHU Ibn Sina de Casablanca.


Série : vivre avec la schizophrénie

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© France 3 Hauts-de-France
© France 3 Hauts-de-France

Par MM   05/04/2018
L'hopital de jour Georges Daumezon à Amiens accueille des patients atteints de schizophrénie et les accompagne vers la réinsertion. L'équipe soignante utilise des activités thérapeutiques afin de responsabiliser les patients et ouvrir le dialogue et la confiance avec eux.
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Lire la suite et voir les vidéos des reportages ...

"Ils ont dit à mes filles que j'étais suicidaire": le témoignage déchirant de Paule-Andrée, privée de ses enfants après un divorce

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PAR J. P.   03/04/2018

Paule-Andrée, 50 ans, en instance de divorce avec un Allemand, se dit victime des agissements de la justice d'outre-Rhin, qui voudrait la priver de ses enfants.

Un mandat d'arrêt européen pour enlèvement d'enfants émis par l'Allemagne.

Munis de cet inquiétant document, des fonctionnaires de la police judiciaire de Toulon se sont présentés à Paule-Andrée il y a quelques jours, alors qu'elle se trouvait chez ses parents, à Sanary, avec deux de ses filles, de 14 et 8 ans.

Une épreuve de plus dans le "cauchemar éveillé" que cette quinquagénaire dit vivre depuis de nombreux mois.

Normandie : la psychiatrie pète les plombs

Boris MASLARD Thomas DUBOIS   
08/04/2018


 

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Opération « die-in » des salariés du 
centre hospitalier du Rouvray, organisée 
il y a quelques jours à Rouen 
(photo Boris Maslard)

Un long silence de dix minutes, des corps allongés sur le trottoir, dont certains enveloppés dans une simulation de sac mortuaire... Des dizaines d’agents du centre hospitalier du Rouvray ont adopté le concept du « die-in » il y a quelques jours, en plein centre-ville de Rouen, pour dénoncer « la mort » progressive de leurs métiers. Ces mêmes salariés qui ont manifesté devant le CHU de Rouen à l’occasion de la venue d’Emmanuel Macron, jeudi dernier. Ces mêmes salariés qui ont acté la poursuite illimitée d’un mouvement de grève entamé il y a plus de deux semaines dans l’hôpital psychiatrique de Sotteville-lès-Rouen. « Cela fait des mois qu’on dit à notre direction que ça va craquer », lâche Jean-Yves Herment, délégué CFDT, alors

Suroccupation des lits, effectifs insuffisants, manque global de moyens : « on tue le sens de notre métier », se désole Julie, qui pointe « la dégradation abyssale » constatée pour sa part à l’échelle de ses onze années de présence au Rouvray. Les mouvements sociaux n’ont certes rien d’inhabituel dans l’établissement. Celui-ci dégage néanmoins une impression de ras-le-bol inédite, caractérisée par la constitution spontanée d’un collectif fédérant les mécontentements au-delà du traditionnel champ syndical : celui des Blouses noires, dont les rangs grossissent peu à peu. « À l’origine, on a choisi ce métier pour son aspect relationnel, résume Hugo, l’un de ses fondateurs. Mais maintenant, on gère uniquement l’administratif, nous sommes devenus des distributeurs à médicaments. »

Interview - Agnès Buzyn : «Chaque hôpital doit se poser la question de sa réorganisation»

Par Eric Favereau, Photo Jérôme Bonnet — 

A Paris, le 29 mars.
A Paris, le 29 mars. Photo Jérôme Bonnet

La ministre des Solidarités et de la Santé, s’insurge contre le «discours catastrophiste» sur les établissements hospitaliers mais relève un «dysfonctionnement». Un numéro d’équilibriste avant l’annonce, en mai, d’un plan de réformes «conséquent».

Quand des jeunes partagent leur expérience de la maladie mentale

Julia EL-KALLASSI 08/04/2018

LIBAN


TÉMOIGNAGES
Devant une salle comble à l’AUB, trois personnes racontent leur parcours avec sincérité.

Jeudi 22 mars, 17 heures, à l’AUB. Raja, Nadine et Myriam se présentent en quelques phrases au début de la conférence organisée par l’ONG Embrace, le Club Mental Health de l’AUB, et la société des étudiants en psychologie de l’AUB. Le public, jeune et demandeur, anime le débat d’une heure trente, en posant des questions pertinentes aux jeunes venus témoigner de leur expérience avec la maladie mentale. Le trio n’hésite pas à se livrer et répond aux interrogations avec une grande sincérité.

« Facebook n’a jamais essayé de donner à ses utilisateurs un réel contrôle de leurs données »

Pour l’anthropologue Sherry Turkle qui a étudié nos relations avec les nouvelles technologies, nous sommes aveuglés par une passion pour ce réseau social.

LE MONDE  | Par 

Tribune. J’étudie l’attitude des Américains envers les réseaux sociaux depuis leur apparition. Dès le début, un fort lien s’est noué entre les réseaux sociaux et les Américains qui avaient soif de relations sans engagement. Grâce à ces technologies, nous sommes toujours ensemble, mais seuls, protégés par la distance qui nous sépare des autres.

Avec le temps, ce lien a donné lieu à une véritable histoire d’amour : quand ce que les réseaux sociaux réclamaient était contraire aux valeurs défendues de longue date par le peuple américain – le droit à la vie privée et au contrôle des informations nous concernant –, nous avons fermé les yeux.

A ses débuts, Facebook projetait une image remarquablement américaine. Avec « Je partage donc je suis » pour doctrine, Facebook collait parfaitement au désir qu’ont les Américains de se présenter aux autres tels qu’ils voudraient paraître, et qui s’efforcent ensuite du mieux qu’ils peuvent de devenir ces personnes-là. Nous prêchons l’authenticité, mais nous contrôlons étroitement notre image.

Le syndrome de Noé : qu’est-ce que cette maladie mentale qui consiste à accumuler trop d’animaux ?

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04 AVRIL 2018

Il existe une forme de maltraitance animale largement sous-estimée : elle consiste à accumuler des animaux sans se rendre compte qu’on ne peut subvenir à leurs besoins. Souvent, les associations de protection animale doivent saisir les animaux détenus dans de mauvaises conditions chez des personnes souffrant de ce syndrome de Noé. Le Dr Sarah Jeannin, psychologue clinicienne et Docteur en éthologie, nous explique ce qu’est cette maladie psychiatrique.


dimanche 8 avril 2018

En séance, étapes d’une psychanalyse (4 émissions)

LSD, LA SÉRIE DOCUMENTAIRE par Perrine Kervran
05/04/2018


Pourquoi s'allonger sur le divan ? (1/4)


Pourquoi un jour prendre la décision de consulter « quelqu’un » ?

Crédits : Horst P. Horst - Getty


Pourquoi décider de consulter « quelqu’un » ? C’est parfois moins un choc qu’une tristesse ou une angoisse anciennes et familières qui incitent à rencontrer un psychanalyste. « L’angoisse », dit ici le psychanalyste Patrick Guyomard, « ça prend au corps ». «Avoir des parents ou ne pas en avoir ; la violence de la sexualité masculine ; la violence du corps à corps féminin », voici quelques raisons parmi d’autres, qui incitent à consulter. 



Choisir son analyste (2/4)



Comment sait-on que cela collera entre le psychanalyste et soi ? Opter pour un homme ou pour une femme ? Pour un bavard ou pour un taiseux ? Il y a autant d’analystes que de patients.

En analyse
En analyse Crédits : Home Box Office (HBO)

« Les “Huguette”, un exemple des prodiges réalisés, en matière de bien vieillir, dans les Ehpad »

Dans sa chronique, Frédéric Potet, journaliste au « Monde », évoque une chorale de seniors originaires de la Mayenne, Huguette the Power, qui vient de se produire sur la scène du Grand Rex, à Paris, dans le cadre de la Silver Night.

LE MONDE  | Par 

Chronique. Il a beaucoup été question des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), ces derniers temps. Des cadences infernales qui y ont cours, de l’épuisement des personnels soignants, des coupes budgétaires auxquels ils sont soumis… Mais assez peu, finalement, des prodiges réalisés, notamment en matière de bien vieillir, à l’intérieur de ces établissements médico-sociaux.

Lancé dans cinq maisons de retraite de la Mayenne, un projet vivifiant – le mot n’est pas usurpé – a fait halte, il y a une semaine, au Grand Rex, à Paris, à l’occasion de la Silver Night, soirée de remise des trophées de l’économie des seniors (également appelée « silver économie »). Sur scène : une chorale de cinquante résidents âgés de 70 à 96 ans, interprétant du rock et du hip-hop. Son nom : Huguette the Power, allusion à une remuante chanson de James Brown (You’ve Got the Power, 1960).

samedi 7 avril 2018

Contre le numérique à l’école

Par un collectif d'enseignants — 

Les technologies dites «innovantes» ne sont pas des solutions miracles à tous les maux de l’enseignement.