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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 4 décembre 2017

Agir contre la stigmatisation de la maladie mentale dans les médias

27/11/2017


Il suffit de voir en quels termes les médias évoquent parfois le malade mental (« forcené », « illuminé », « possédé », « dément », etc.) pour comprendre que la réussite d’une politique de déstigmatisation doit intégrer un volet sur la réduction de cette stigmatisation chez les « leaders d’opinion » que sont les professionnels de la presse écrite ou audiovisuelle (y compris les intervenants ayant une large visibilité sur le réseau Internet). En effet, par l’impact de leurs articles ou de leurs émissions, ces personnes peuvent accroître le ressentiment collectif contre les malades mentaux en renforçant, même involontairement, des stéréotypes classiques mais préjudiciables.

Garde alternée : pourquoi le débat a cafouillé ?

04/12/2017

1ère partie

La proposition de loi MoDem sur la résidence alternée a fait l'objet de débats inachevés jeudi dernier à l'Assemblée. Si pour certains, elle garantit une plus grande égalité entre les parents, pour d'autres, elle représente un danger pour les femmes et la stabilité de l'enfant.
Un garçon entre ses deux parents. Image d'illustration.
Un garçon entre ses deux parents. Image d'illustration.  Crédits : BURGER / Phanie - AFP
Faire de la résidence alternée le principe en cas de séparation des parents : la proposition de loi MoDem, a fait l'objet de débats inachevés jeudi dernier à l'Assemblée.
[...] Pour en parler des Les Matins de France Culture, Guillaume Erner reçoit Marie-Rose Moro, psychiatre, professeure de pédopsychiatrie à Paris Descartes et chef de service de la maison de Solenn.
2ème partie
[...] Elle sera rejointe en seconde partie d'émission par Hélène Périvier, économiste à l'OFCE, Coresponsable du Programme de Recherche et d’Enseignement des SAvoirs sur le GEnre (PRESAGE)

PRATIQUES DE LA FOLIE,1993-2013.

RAPPEL

Vendredi 15 décembre, à 20h 45 à l’IPT, 83 boulevard Arago, 75014

Présentation du nouveau Site de l’Association, réalisé par Anne Chaintrier, Franck Chaumon, Alexandra de Seguin, Patrick Merot.

Le site contiendra pour l’essentiel, les « archives » de PLF, soit la quasi-totalité des thèmes et arguments des colloques annuels et des séminaires préparatoires, ainsi que des textes d’intervention que l’on peut dire expressément politiques par exemple sur la ‘’pédophilie », l’autisme’’, la ‘’psychanalyse laïque’’...

Il s’agit avec cette initiative de prendre acte du suspens des activités de l’association Pratiques de la folie, en proposant un retour sur les textes produits, leur nécessité, leur actualité … ou pas. Chacun pourra lire dans ces archives le détail de la pluralité des chemins parcourus, et s’interroger du coup sur la situation actuelle, passablement confuse.

Selon l’assistance, on montrera le site sur ordinateur, et seront exposés également des affiches et des flyers … d’époque, voire quelques photos ?

La soirée sera ouverte par une intervention de

Franck Chaumon :
Pratiques de la folie, les années Foucault. 

Il s’agira de mettre en perspective ces travaux et de s’interroger sur la situation présente et à venir.

On débattra (ou pas !), mais dans tous les cas, on se retrouvera autour d’un cocktail !

sachant que les règles de l’ IPT sont strictes : fermeture des portes à 22h 45 !

Bonne nouvelle, vous pouvez, dès à présent, ouvrir le site :


www.pratiquesdelafolie.fr

Le chien, protecteur cardio-vasculaire

Selon une étude suédoise, le risque de mortalité toutes causes confondues serait réduit de 20 % chez les propriétaires de toutous, et de 23 % pour les causes cardio-vasculaires.
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | Par 

La race du chien n’est pas indifférente : les chiens de chasse sont les meilleurs gardiens du cœur de leur maître, selon l’équipe de Mwenya Mubanga, de l’université d’Uppsala, en Suède.
La race du chien n’est pas indifférente : les chiens de chasse sont les meilleurs gardiens du cœur de leur maître, selon l’équipe de Mwenya Mubanga, de l’université d’Uppsala, en Suède. DR


Dix mille pas et plus. Le chien, déjà le meilleur ami de l’homme, serait-il aussi son meilleur cardiologue ? Depuis des décennies, des chercheurs scrutent les effets de ce compagnon à quatre pattes sur la santé de son maître. Et beaucoup d’études ont retrouvé des bénéfices : sur la tension artérielle, le niveau de lipides dans le sang, le poids, ou encore la survie à un accident cardiaque. Ces bienfaits ont été attribués au support social conféré par le toutou, et à la motivation qu’il représente pour l’activité physique (les indispensables promenades quotidiennes).

En 2013, l’analyse de cette littérature médico-canine a convaincu l’Association américaine de cardiologie (AHA) de publier un avis et des recommandations scientifiques sur le sujet. « Posséder un animal de compagnie, en particulier un chien, est une option raisonnable pour réduire les risques cardio-vasculaires », conclut la société savante. Non sans humour, elle précise cependant que « l’adoption, le sauvetage ou l’achat d’un animal ne devraient pas être faits dans le but principal de réduire ces risques cardio-vasculaires ».

Domination du placebo sur toutes les médecines

HUMEURS MEDICALES Luc Perino    28 novembre 2017

Beaucoup de médicaments ont une base théorique expliquant leur action. Les bétabloquants bloquent les récepteurs béta du cœur et des artères, les antibiotiques tuent ou affaiblissent les bactéries, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) permettent un meilleur passage de la sérotonine au travers des synapses, ou encore les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) diminuent la sécrétion d’ions acides H+ dans l’estomac.

Cette base théorique se confirme souvent dans la pratique en modifiant le cours des symptômes ou des maladies. La théorie ne se confirme pas toujours, en raison de facteurs individuels du patient (génétiques, autres maladies, etc.) ou d’interactions métaboliques médicamenteuses ou alimentaires. Parfois l’action réelle concrète diffère beaucoup de l’action théorique.

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samedi 2 décembre 2017

Les Deschiens - Psycho 2000

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Les médecins doivent-ils prendre en compte un ordre de « ne pas réanimer » lorsque celui-ci est tatoué ?

Pari alcoolisé ou réelle volonté ? Un hôpital de Floride s’est retrouvé face à un cas de conscience avec un homme de 70 ans, inanimé et portant la mention « Ne pas réanimer » tatouée sur le torse.

Le Monde.fr avec AFP 

C’est un cas de conscience surprenant que relate le New England Journal of Medicine dans son édition publiée le 30 novembre. Un médecin du Jackson Memorial Hospital de Miami en Floride y explique avoir dû prendre en charge un homme de 70 ans. Arrivé inconscient, avec des problèmes respiratoires et un taux d’alcoolémie élevé, le patient n’avait pas de papiers d’identité sur lui… Le seul signe distinctif qu’il présentait était un tatouage « Ne pas réanimer » (NPR), avec le mot « pas » souligné, accompagné de sa signature.

Les médecins, fidèles à leur serment d’Hippocrate, ont initialement décidé de « ne pas respecter » la consigne gravée sur la peau de l’homme, ne souhaitant pas « s’engager dans une voie irréversible ». Ils lui ont donc administré des soins de base. Tout de même interpellés par son tatouage, ils ont également fait appel à un service d’éthique, qui leur a conseillé de prendre ce message en considération, comme s’il s’agissait d’un « véritable » NPR.


Urgence pour les hôpitaux psychiatriques

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PAR JEAN-MARCEL BOUGUEREAU, PUBLIÉ LE 

L’hôpital, havre de soins, laisse se perpétrer et se perpétuer des pratiques qui s’apparentent, dans certaines conditions, à des traitements inhumains et dégradants.

Inspecter les prisons, c’est parfois découvrir des conditions de détention dégradantes. Il y a un mois, 30 députés se sont rendus dans 26 établissements pénitentiaires : lors de visites surprises, à Bois d’Arcy ou encore aux Beaumettes, à Marseille, ils ont vu des cellules, des douches, « dans un état de délabrement malheureusement assez avancé », selon la députée LREM du Val-d’Oise, Yaël Braun-Pivet. À la même période, le député François Ruffin alertait sans succès la ministre de la Santé « sur la situation de l’hôpital psychiatrique Philippe-Pinel à Amiens et sur la psychiatrie en général : chambres sur-occupées, soins réduits au minimum, détresse des soignants ». Une autre députée LREM, Barbara Pompili, s’y est rendue aussi : « Je savais, on me l’avait dit. Mais je n’avais pas vu. Maintenant j’ai vu. Et je ne pourrai plus oublier. »

vendredi 1 décembre 2017

Luttons contre la contagion suicidaire

Etre confronté de près ou de loin à un suicide engendrerait un risque d’imitation chez les personnes les plus vulnérables. Pour pallier ce phénomène, le programme Papageno fait de la prévention une responsabilité collective.

LE MONDE | 

C’est le plus souvent à l’occasion de faits divers tragiques que le suicide apparaît sur le devant de la scène. Mais, au-delà des émois de circonstance, difficile de mobiliser de façon durable l’action politique et citoyenne pour une problématique dont on voudrait qu’elle ne nous concerne jamais. Or, en France, chaque année, ce sont près de 10 000 personnes qui mettent fin à leurs jours. Trois fois plus de morts que sur les routes.


Il arrive cependant que la récurrence vaille symptôme et fasse de ­l’actualité un signal d’alarme impérieux. Après le suicide de 44 policiers et 16 gendarmes depuis le début de l’année, le ministre de l’intérieur, ­Gérard Collomb, demandait, le 12 novembre, une évaluation des mesures de prévention menées auprès des forces de l’ordre. La prise de conscience quant à la nécessité d’une action résolue pour éviter que d’autres morts ne surviennent est à reconnaître. Toutefois, la prévention ne saurait se dispenser d’un examen préalable rigoureux des déterminants à l’œuvre dans les suicides. Surtout lorsque ceux-ci surviennent en série.

Alcool, cannabis, cocaïne… la prise de substances pour tenir au travail concerne tous les métiers

Face à une mutation des organisations du travail, où « les objectifs intenables deviennent la norme », la prise de produits psychoactifs apparaît comme « une nécessité ».

LE MONDE | 29.11.2017 | Par Cécile Bouanchaud


Esplanade de la Défense, le quartier financier de Paris, le 3 octobre.
Esplanade de la Défense, le quartier financier de Paris, le 3 octobre. LUDOVIC MARIN / AFP


Au travail, il y a les drogues que François (le prénom a été changé) administre à ses patients, et il y a celles qu’il prend. Evoquant les somnifères pour« ne pas perdre une minute à ne pas dormir », les injections de glucide « pour tenir une journée sans pause déjeuner », et la cocaïne pour, cette fois, « ne pas dormir pendant les douze heures de garde », l’infirmier anesthésiste tient à faire sa mise au point : « Je ne suis pas un cas isolé. »

Dans les réponses à l’appel à témoignages lancé par LeMonde.fr au sujet du recours à des substances licites et illicites au travail, les professionnels de la santé sont légion. Il y a, par exemple, cette stagiaire qui « piochait dans la pharmacie de l’hôpital ». Et ce médecin « retrouvé faisant un malaise sur son lieu de travail parce qu’il était shooté au Diprivan », un anesthésiant puissant, dont l’usage est réservé au personnel médical.



Sarreguemines : mieux appréhender les méthodes de travail du voisin

01/12/2017


Une rencontre avec les partenaires allemands de la clinique de Völklingen s’est déroulée hier à l’IFSI. Les étudiants infirmiers allemands et français ont échangé sur le thème de la psychiatrie.

L’évolution de la psychiatrie en France a été présentée aux étudiants sarrois.  Photo Thierry NICOLAS.
Photo HD
L’évolution de la psychiatrie en France a été présentée aux étudiants sarrois. Photo Thierry NICOLAS.

La psychiatrie était le thème de la journée de rencontre entre des étudiants de l’Institut en soins infirmiers de Sarreguemines, qui suivent l’option transfrontalière, et leurs camarades de la clinique de Völklingen en Sarre. Cet échange, qui a eu lieu hier, s’inscrit dans le cadre du programme Interreg Grande Région, qui permet d’obtenir des financements pouvant servir à la rémunération d’intervenants, d’interprètes. « Nous sommes éligibles à ce dispositif depuis 2005 » rappelle Nathalie Bouring, directrice de l’IFSI.


Fin de la grève à l’EHPAD de l’hôpital d’Auch, 16 postes créés





Par Martin Vanlaton
© Martin Vanlaton, France 3 Occitanie
 Martin Vanlaton, France 3 Occitanie

La mobilisation d’une partie des salariés de l’EHPAD Robert-Barguisseau s’est terminée mercredi 29 novembre. Après plusieurs réunions avec la direction, l’ARS (agence régionale de santé) et le Conseil Départemental du Gers, une solution a été trouvée : 16 postes vont être créés dès janvier 2018, sur les 25 demandés par le personnel.

"Il fallait trouver un équilibre"


"Il fallait trouver un équilibre" explique Christophe Dukobek, secrétaire départemental du syndicat CGT santé et action sociale du Gers. Les 16 postes seront répartis entre des aides-soignants, un infirmier et des agents de service hospitalier (ASH).


Brest. Grève aux urgences de la Cavale : six agents témoignent au CHS-CT

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30 novembre 2017


Les grévistes se sont réunis dans le hall de La Cavale-Blanche avant qu'une délégation de six membres des personnels des urgences ne soit invitée à témoigner devant le CHS-CT.
Les grévistes se sont réunis dans le hall de La Cavale-Blanche avant qu'une délégation de six membres des personnels des urgences ne soit invitée à témoigner devant le CHS-CT.

Une quarantaine de manifestants était réunie, ce mercredi après-midi, dans le hall de l'hôpital de La Cavale-Blanche. Un mouvement unitaire des syndicats pour défendre, devant le CHS-CT, les conditions de travail au service des urgences.


A Nice, des cours pour apprendre à gérer le stress des examens

L’université de Nice organise depuis sept ans des ateliers pour aider les étudiants à se relaxer. Les facultés de Lorraine, Tours, Poitiers, Bordeaux s’y sont également mises.

LE MONDE  | Par 


SIMON LANDREIN


Deux petites heures de répit dans le tumulte d’une vie d’étudiants stressés. C’est un cours un peu particulier qui se tenait ce mercredi matin sur le campus ensoleillé de l’université de Nice-Sophia-Antipolis. Allongées sur des tapis de sol, sous des couvertures, dans une salle épurée et silencieuse où seul le bruit de la ventilation peut perturber leur relaxation, sept étudiantes écoutent, les yeux fermés, les mots de Sophie Bereny. « Imaginez maintenant que c’est le jour d’un examen important pour vous… Assis sur votre chaise, vous attendez que l’examinateur distribue les copies… Devant le sujet, tout ce que vous avez appris pendant l’année vous revient spontanément… ». La psychologue du service de santé universitaire les invite à visualiser la scène mentalement, presque en chuchotant. Troisième et dernière séance de cet atelier de « gestion du stress et relaxation ». Trois autres suivront, consacrées à la « gestion du stress à l’oral ».

Ces « cours », comme tout le monde les appelle ici (bien qu’ils soient facultatifs, sur la base du volontariat, et ne donnent lieu ni à une évaluation ni à l’attribution de points dans les études), sont proposés deux fois par an, à l’automne et au printemps, avant les examens. « Le stress et l’anxiété des étudiants sont l’un des principaux motifs de consultation d’aide psychologique dans notre service de médecine préventive », rappelle la psychologue et sophrologue pour expliquer la raison d’être de ces ateliers. « Notre société véhicule une idée de perfection et de réussite immédiate », analyse-t-elle, soulignant que certains étudiants vivent moins bien cette exhortation « à la réussite, tout de suite », qui atteint son apogée au moment des examens.

Bye la santé mentale négligée

Le Soleil
QUEBEC
2 décembre 2017 

ÉDITORIAL / Le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, se montre paraît-il ébranlé dans le documentaire «Bye», portant sur le suicide du fils de 14 ans d’Alexandre Taillefer et de Debbie Zakaib, Thomas. Ça tombe bien. Le ministre aura sous peu sur son bureau un rapport de l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) sur l’impact d’une couverture plus étendue des services de psychothérapie dans le panier de services publics. Une occasion pour Québec, espérons-le, de donner un coup de barre significatif en santé mentale et d’éviter des drames à d’autres familles.


Les familles de patients hospitalisés pour schizophrénie sont plus touchées par la dépression que les autres

53% d'entre elles estiment avoir été très mal pris en charge par l'hôpital public.

 29/11/2017

Ce sont des résultats inédits et inquiétants que le docteur Yann Hodé présentera au congrès français de psychiatrie, qui se tient à Lyon ce mercredi 29 novembre, jusqu'au 2 décembre. Selon le psychiatre, la dernière étude qu'il a menée sur 2147 personnes montre que les familles de patients schizophrènes présentent à 52% des troubles dépressifs.
Pourquoi le monde de la schizophrénie enregistre des résultats aussi élevés ?

Le conseil local de santé mentale rapproche les compétences

La Gazette Santé Social - Site d’information destiné aux acteurs sanitaires et médico sociaux
30/11/2017


À Rennes, une vaste dynamique partenariale locale se construit autour des questions de santé mentale. Elle s’illustre notamment au sein du conseil local de santé mentale dont la ville a impulsé la création en 2010.


La norme contraceptive française en déclin

Univadis
29 nov. 2017

Le paysage contraceptif français est très particulier. Dans le monde, les méthodes les plus utilisées sont, par ordre d'importance décroissante, la stérilisation féminine, le stérilet, la pilule, l'injection hormonale et enfin les méthodes « masculines » (stérilisation, préservatif, retrait). En France, c’est la pilule qui occupe largement la première place (environ 36,5% des méthodes utilisées en 2016), suivie par le stérilet, puis le préservatif masculin, les autres méthodes occupant une place marginale. Ces trois méthodes privilégiées se combinent dans ce que des sociologues ont appelé une « norme contraceptive française » : préservatif en début de vie sexuelle, pilule dès l'instauration d'une relation stable, stérilet une fois le nombre d'enfants souhaités atteint.


Le refus des demandes des patients par les cliniciens a-t-il un impact sur la satisfaction des patients ?

Univadis
28 nov. 2017

Même si l’on peut s’attendre à ce que l’acceptation ou le refus par les cliniciens des demandes des patients ait une influence sur la satisfaction des patients, peu d’études se sont intéressées à cette question. 
Une nouvelle étude ayant entrepris d’examiner le lien entre le refus de certaines demandes des patients et la satisfaction des patients a révélé que le refus des demandes d’orientation, de médicaments antidouleurs ou d’autres médicaments et de tests de laboratoire est associé à une moindre satisfaction.