blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mercredi 27 mars 2019

Valence : le personnel hospitalier annonce une grève illimitée dès aujourd'hui

Résultat de recherche d'images pour "leduaphine.com logo"
Par Anthony SOUDANI et Fabrice ANTERION | Publié le 27/03/2019 

Résultat de recherche d'images pour "Valence : le personnel hospitalier annonce une grève illimitée dès aujourd'hui"

Les aides-soignantes ont interprété en chanson leur mécontentement, lors de la manifestation organisée devant le centre hospitalier de Valence ce mardi 26 mars. 


Colloque psychiatrie citoyenne

RCF, La Joie se partage
MERCREDI 27 MARS

La psychiatrie citoyenne, rêve ou réalité? Tel est l'intitulé du deuxième colloque, organisé par l'association Les Invités Au Festin. Marie-Noëlle Besançon, psychiatre et fondatrice de l'association.


Trente ans de réformes de la psychiatrie, pour quel avenir ?

Aller à l’accueil du site de la Bpi

Image d'un écriteau de manifestation sur lequel il est inscrit :

Trente ans de réformes de la psychiatrie, pour quel avenir ?


La psychiatrie connaît une très grave crise. Elle se manifeste par des mobilisations de soignants – manifestations, grèves, voire grève de la faim - par des démissions en masse de psychiatres du secteur public et plonge souvent patients et familles dans le désarroi. Les constats de dysfonctionnements liés à la rationalisation et aux réductions budgétaires sont nombreux.

Mais la psychiatrie ne souffre pas seulement d’un manque de moyens. Quelle place pour la parole du sujet et pour la psychanalyse à l’heure de la prédominance des neurosciences dans le discours ambiant et quelles modalités de soins ?
 
Picto Player
Cette rencontre sera diffusée sur cette page en direct à partir de 19h.Elle sera prochainement disponible dans notre WebTV / WebRadio.

Accéder au site ...

Contrôleur général des lieux de privation de liberté Publication du rapport d'activité 2018

logo 

La Contrôleure générale des lieux de privation de liberté publie son rapport d’activité pour 2018.
Adeline Hazan a remis ce rapport au Président de la République (le 19 mars) ainsi qu’au Président du Sénat (le 12 mars). Il a également été adressé au Président de l’Assemblée nationale.


John, Sandra, Brian, ces Américains naufragés du système de santé



Par Stéphanie Le Bars
Publié le 27 mars 2019
Début mars à Harrisonburg, en Virginie, 601 patients ont été soignés par une association de médecins bénévoles. Ces patients, qui bénéficient d’une assurance de base, n’ont pas de quoi souscrire une complémentaire pour leur vue et leurs dents.

Un triumvirat au chevet de l’hôpital psychiatrique Pinel à Amiens

Par Gael Rivallain | 
Leur mission a débuté ce mardi. Trois administrateurs, épaulés par un psychiatre, ont été nommés par la ministre de la Santé pour prendre en main la direction du centre hospitalier à titre provisoire.

La direction provisoire de Pinel sera assurée par François Maury (à droite), en tant que directeur à plein-temps, secondé par Corinne Williams-Sossler (première à gauche) et Vincent Thomas (au fond). Le trio sera en outre appuyé par le docteur Alain Lopez, psychiatre. Tous «
des experts de terrain
», insiste Christine Vankemmelbeke, la directrice-adjointe à l’offre de soins de l’ARS.

V
u l’état du patient, un seul soignant n’y aurait pas suffi. C’est donc à un triumvirat que l’Agence régionale de santé a remis, ce mardi, les clefs du centre hospitalier psychiatrique Philippe Pinel (CHPP). Comme elle l’avait annoncé vendredi, l’ARS a lancé ce 26 mars la mise sous administration provisoire de l’établissement amiénois, pour une durée de six mois. Une décision prise parce que « cet établissement n’est pas parvenu à conduire les transformations nécessaires pour garantir de manière pérenne la qualité et la sécurité des soins », justifie l’autorité de santé des Hauts-de-France. Qui n’avait pas encore annoncé de noms. C’est désormais chose faite.


mardi 26 mars 2019

Prendre soin

LES PIEDS SUR TERRE par Sonia Kronlund

19/10/2018
28 MIN


Hella, Pauline, Farida et Murielle sont aides-soignantes dans une maison de retraite médicalisée (Ehpad) à Marseille.

 Crédits : Pascale Pascariello - Radio France

En sous-effectif, avec un manque de matériel, des cadences de travail insoutenables, Hella, Pauline, Farida et Murielle ont décidé de sortir du silence et d'alerter sur leurs conditions de travail et la maltraitance dans cet établissement où résident quatre-vingt-onze retraités.
« Les gens payent la maltraitance et la mort de leurs parents. »
Pour elles, l’organisation du travail dans cet EHPAD ne peuvent conduire qu’à maltraiter des patients. Avec deux aides-soignantes de nuit pour quatre-vingt-onze résidents, elles estiment être largement en sous-effectif. Si bien que parfois des accidents arrivent. 
« Pour les dirigeants, les résidents ne sont pas des patients. Ce sont des clients ». 

Ils militent pour une psychiatrie humaniste

Publié le 


  • L'équipe de «Psy'Causent» défend une psychiatrie humaniste. / DDM
L'équipe de «Psy'Causent» défend une psychiatrie humaniste. / DDM
Dans le cadre de la semaine d'information sur la santé mentale, une projection débat sur le film «Nous les intranquilles» est ouverte au grand public, ce lundi 25 mars, à 19 h 30, au Chai des Clauzades. L'association Les Psy'Causent et l'Unafam 81 proposent cette soirée.
«Les Psy'Causent» créée il y a 10 ans par quatre soignants du centre hospitalier Pinel est un lieu de réflexion, d'échanges et de transmission pour défendre et promouvoir une psychiatrie humaniste.
«Nous prenons appui sur des soins relationnels respectueux des patients, de leur singularité, de leur citoyenneté, de leur histoire et de leur environnement social et familial», souligne Virginie Perilhou, sa présidente. «Une psychiatrie fondée sur un accueil inconditionnel de la souffrance psychique, sur l'hospitalité, sur une attention soutenue accordée à chacun», ajoute-t-elle. Du sur-mesure avec une psychiatrie artisanale celle des petits riens, des petites attentions. Des soins psychiques cousus main qui sont clairement différents d'un prêt-à-porter standardisé.

L'auteur de cette BD sur le suicide d'un enseignant se confie

Résultat de recherche d'images pour "huffpost logo"

Par Valentin Etancelin  25/03/2019

Dans "Cas d'école, l'histoire de Jean", Christophe Tardieux a voulu raconter l'histoire de Jean Willot telle qu'elle a été vécue par le corps enseignant.


L'heure est à la mobilisation. Jean Willot, un enseignant du Val-d'Oise soupçonné de violence sur l'un de ses élèves, s'est donné la mort, vendredi 15 mars, après avoir appris qu'une plainte avait été déposée contre lui. Depuis, ses collègues réagissent. Sur les réseaux sociaux, ils sont vent debout contre le silence de leur hiérarchie au sein de l'Éducation nationale.
C'est aussi sur les réseaux sociaux que Christophe Tardieux, lui-même professeur des écoles dans la ville de Tremblay-en-France en Seine-Saint-Denis, s'est informé de la suite de l'affaire, révélée au grand jour par Le Parisien peu de temps après le suicide de son confrèreSur Facebook, il est membre de plusieurs groupes privés sur lesquels il échange avec des gens de son milieu professionnel.
D'après lui, la parole et l'indignation du corps enseignant ont été muselées. "Les articles ne parlent pas de leur rapport aux parents ou à leur subordination", estime ce dernier, contacté par Le HuffPost. Cette colère, il a voulu la retranscrire. Il s'est servi des divers témoignages qu'il a récoltés sur le réseau social pour raconter le récit du côté des profs, sous la forme d'une courte bande dessinée sensible et percutante. Elle s'intitule Cas d'école, l'histoire de Jean et se consulte ci-dessous.
Depuis sa publication, vendredi 22 mars, c'est un carton. Elle a été partagée plus de 76.000 fois et compte plus de 22.000 réactions. "C'est hallucinant, je ne m'y attendais pas du tout", confie son auteur. C'est la première fois que l'une de ses bandes dessinées connaît un tel succès. Pour lui, ce n'est pas anodin.

Psychologues sous contraintes: laissez-nous faire notre travail !

Résultat de recherche d'images pour "huffpost logo"
QUEBEC

25/03/2019

Il faut prévenir l’instauration d’une approche «quick fix» ou industrialisée et d’une vision naïve des problèmes de santé mentale.


Pour ceux qui auront accès à la psychothérapie, le plafond de 15 entrevues semble le score à la mode actuellement.
MASKOT VIA GETTY IMAGES
Pour ceux qui auront accès à la psychothérapie, le plafond de 15 entrevues semble le score à la mode actuellement.

Conte à délirer

Imaginez le scénario. On demande dorénavant aux chirurgiens cardiaques de limiter leurs interventions en termes de durée. Après un court délai fixe et préétabli, ils doivent recoudre le patient, fini, pas fini. S'il y a trois pontages à faire, il ne faut faire que le plus urgent, voire ne faire qu'une partie de celui-ci.
On peut imaginer les réactions de ces professionnels et de la population si ce scénario était vrai. Et bien, c'est pourtant ce qu'on demande aux psychologues. Par ignorance de la nature réelle de l'acte professionnel qui s'appelle «psychothérapie», ramenant le tout à de la simple jasette, ou un petit «quick fix», on peut comprendre que nombre de gestionnaires et de décideurs publics aient facilement le réflexe de réduire la jasette. Signes d'ignorance. Et de conception réductrice et mécanisée de l'être humain.

Les séquelles des compressions sauvages

Les psychologues du réseau public se voient de plus en plus contraints à réduire leurs durées de suivi comme solution au problème des listes d'attente qui s'allongent. Je crois sincèrement que les psychologues sont victimes de leur «popularité», soit de la solide réputation qu'ils se sont taillée en première ligne publique au fil des ans.

Il y a une trentaine d'années, dans la foulée de la désinstitutionnalisation et des nouvelles politiques de santé mentale, les premières équipes de santé mentale se mettaient en place dans les CLSC. Depuis ce temps, la population qui a pu profiter des services psychologiques là où ils étaient implantés a été à même d'en constater les bienfaits et de répandre la nouvelle.

Obésité, alcool, nutrition : comment le gouvernement veut faire de la prévention

Les mesures, notamment pour favoriser une activité physique et une alimentation plus saine, restent assez floues.
Par Pascale Santi et Mathilde Gérard Publié le 26 mars 2019
Prévenir le surpoids et l’obésité, favoriser l’activité physique des Français et une alimentation plus saine : le premier ministre, Edouard Philippe, réunissait, lundi 25 mars, un comité interministériel sur la santé, à l’issue duquel ont été présentées quelques dizaines de mesures de prévention. Alors que l’obésité touche 17 % de la population adulte, un pourcentage qui masque des disparités sociales et territoriales très fortes, le gouvernement énonce pour la première fois des objectifs chiffrés de réduction de la prévalence de cette maladie chronique : d’ici à 2023, celle-ci devra avoir diminué de 15 % chez les adultes et de 20 % chez les enfants et adolescents.
Ces objectifs, jugés très ambitieux par plusieurs spécialistes, sont surtout l’occasion pour l’exécutif de définir une nouvelle feuille de route, neuf ans après le précédent « plan obésité 2010-2013 ». « L’obésité paraît comme une fatalité, alors que c’est une porte d’entrée pour beaucoup de pathologies, note le professeur Olivier Ziegler, coordinateur du Centre spécialisé de l’obésité de Nancy. C’est une maladie complexe, qui nécessite une approche globale, dont on peut tirer des enseignements pour les cancers, les diabètes… »

La Drees publie 20 indicateurs pour mesurer l’efficacité des politiques de santé

Amandine Le Blanc
| 26.03.2019


comité interministériel
GARO/PHANIE

Au lendemain de la réunion du Comité interministériel pour la Santé(CIS) qui a présenté les 25 mesures phares de sa politique de prévention, c'était au tour, ce mercredi, de la Drees de dévoiler 20 indicateurs pour mesurer l’efficacité des politiques publiques dans le cadre de la Stratégie nationale de santé (SNS) 2018-2022. « Le suivi de cette sélection restreinte d’indicateurs permettra à tous d'apprécier, de manière transparente, leurs évolutions, sur les axes prioritaires des politiques de santé », promet la Direction du ministère de la Santé.

L’INSPECTION DU TRAVAIL ATTEINTE PAR UNE VAGUE DE SUICIDES

Loan Nguyen    25 Mars 2019

Les syndicats et le ministère du Travail ont recensé douze suicides ou tentatives de suicide en moins de deux ans dans les services de l’inspection. Des enquêtes sont en cours pour établir un éventuel lien avec les conditions de travail.

La loi de santé adoptée par les députés, ce que vous devez retenir





vote loi sante
Crédit Photo : S. Toubon

Après une semaine de débat acharné et l'examen de plus 2 000 amendements déposés, les députés ont adopté − avec 349 voix pour et 172 voix contre − ce mardi après-midi en première lecture le projet de loi de santé. Le Sénat prendra le relais mi-mai, précise la direction générale de l'offre de soins (DGOS, ministère). Florilège des mesures phares pour les médecins.

La réalité virtuelle pour comprendre la schizophrénie

Sophie Coisne
| 18.03.2019




  • schizolab
Dans la nouvelle version du schizolab, le praticien s’entraîne à la...
Crédit Photo : DR

À la veille des Journées de la schizophrénie, le laboratoire Janssen a présenté la nouvelle version de son expérience de réalité virtuelle Schizolab. Elaborée en partenariat avec le psychiatre rennais David Travers et l’Union nationale de familles et amis de personnes malades (Unafam), cette expérience vécue à l’aide d’un casque de réalité virtuelle a été conçue pour deux cibles : le grand public et le psychiatre.

Manifestation "Les psys en ont assez" : grève le mardi 26 mars, au centre hospitalier Daumézon, à Fleury-les-Aubrais

La Republique de Centre

Publié le 25/03/2019

"Les psys en ont assez" : grève le mardi 26 mars, au centre hospitalier Daumézon, à Fleury-les-Aubrais
En mai 2018, à Orléans, manifestation "pour donner un avenir à la fonction publique". Photo d'archives

Ses revendications portent sur les conditions de travail : une intersyndicale CGT et Sud de l'établissement public de santé mentale Georges-Daumézon, à Fleury-les-Aubrais, a adressé un préavis de grève. Il est valable à partir de minuit, mardi 26 mars. "Les psys en ont assez de cette maltraitance institutionnelle" : au titre de la section Sud et du syndicat CGT, un préavis de grève allant du mardi 26 mars (minuit), au lendemain (7 heures), a été adressé au directeur de l'établissement public de santé mentale (EPSM) Georges-Daumézon, à Fleury-les-Aubrais.

Schizophrénie : une maladie au quotidien

Résultat de recherche d'images pour "france info logo"
publié le 

Schizophrénie : trois infos indispensables pour comprendre

Résultat de recherche d'images pour "france info logo"

publié le