James McAvoy a 23 identités différentes dans Split.
Après The Visit, M. Night Shyamalan reviendra bientôt au cinéma avec Split, un thriller où James McAvoy joue un homme ayant développé 23 personnalités différentes : un dessinateur de mode, un enfant, une femme sévère etc. "La 24e est sur le point de surgir", prévient l’affiche. Comment porter à l’écran un cas d’extrême schizophrénie comme celui-ci ? Cela a évidemment demandé pas mal de travail à l’acteur de X-Men, qui doit passer d’une personnalité à l’autre en un instant au cours d’une même scène.
Pierrette Estingoy : Psychiatre, Médecin–chef du Pôle Intersectoriel de Soins et de Réhabilitation
PISR, centre hospitalier Saint-Jean-de-Dieu, 290, route de Vienne, 69008 Lyon, France
Résumé
Le traitement du malade mental dans l’institution psychiatrique interroge la condition humaine au sein du corps social. Or, si les cinéastes peuvent user de raccourcis ou de caricatures, s’ils véhiculent ainsi mythes et préjugés, ils peuvent aussi dénoncer certaines réalités… Trois films occidentaux soulèvent la question des impasses de la psychiatrie et des enjeux associés : Mommy, de Xavier Dolan (Québec 2014) ; Vol au-dessus d’un nid de coucou (One Flew Over the Cuckoo's Nest), de Miloš Forman (États-Unis 1975) ; Shutter Island, de Martin Scorsese (États-Unis 2010).
Jean-Luc Mélenchon est favorable au suicide assisté et à la PMA pour les couples de femmes, mais reste fermement opposé à la GPA (gestation pour autrui).
"Je veux introduire dans le débat le droit à être maître de soi-même. Il y a un lien direct entre le droit à l'avortement et le droit au suicide assisté", a déclaré le candidat de la France insoumise, dans un entretien au Journal du Dimanche.Il propose "que ces deux droits soient inscrits dans la Constitution".
Anatol Nacu : psychiatre, Jana Chihai : psychiatre, Igor Nastas : psychiatre, Mircea Blajin : psychiatre, praticien hospitalier
Université d’État de Médecine et Pharmacie « Nicolae Testemitanu », 165, boulevard Stefan cel Mare, 2004 Chisinau, République de Moldova
Centre Hospitalier Philippe-Pinel, Route de Paris, CS 74410, 80044 Amiens, France
Résumé
Objectifs
Dans cet article est décrite l’évolution des soins psychiatriques sur l’actuel territoire de la République de Moldavie, faisant autre fois partie de l’État Moldave, puis province russe de 1812 à 1918, qui appartiendra ensuite à la Roumanie pour devenir soviétique de 1940 à 1991 et qui depuis est devenue République indépendante.
«Le rire pourrait être une excellente arme pour combattre les clichés absurdes qui entourent la souffrance psychique et la psychiatrie» estime le Dr David Gourion. La psychiatrie est une chose trop sérieuse pour ne pas en rire. Les idées reçues, les dénis de ceux qui souffrent de pathologies graves, parfois mortelles, le Dr David Gourion les bat en brèche dans Cinquante puissantes raisons de ne pas aller chez le psy, un livre drolatique, en apparence léger, et illustré par le talent de l’illustrateur Muzo. Ce dernier n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai en matière de psychiatrie – si l’on peut dire -, puisqu’il a déjà accompagné un autre médecin, Christophe André, pour l’ouvrage Petites angoisses et grosses phobies.
Il s’agit d’une question rarement posée à laquelle nous ne pensons pas vraiment. Mais en quelle langue les personnes atteintes de surdité pensent-elles ? La réponse est n’est pas si...
Il s’agit d’une question rarement posée à laquelle nous ne pensons pas vraiment. Mais en quelle langue les personnes atteintes de surdité pensent-elles ? La réponse est n’est pas si évidente.
Afin de répondre à cette question, il faut premièrement distinguer les personnes qui sont devenues sourdes et celles qui sont nées avec ce handicap. Une personne qui devient sourde tardivement a logiquement tendance à penser dans la langue apprise durant l’enfance, la réponse à la première partie de la question est donc simple.
Qui de Jean-Luc Bennahmias, François de Rugy, Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon, Sylvia Pinel et Manuel Valls sera à son avantage ce dimanche dans les urnes ? À gauche, le premier tour de la primaire du PS et de ses alliés fera un premier ménage parmi tous ces prétendants. Petit rappel des projets santé égrenés ces derniers mois.
M. et Mme F. ont loué un appartement au bailleur social Noisy-le-Sec Habitat, en novembre 1997.
Le 7 juillet 2003, Mme F. décide se séparer de son époux: elle quitte les lieux avec sa fille. Les loyers ne sont plus honorés régulièrement, alors que le bail prévoit une résiliation automatique, dans ce cas.
En 2009, après avoir constaté un arriéré de 2 800 euros, la Société d’économie mixte Noisy-le-Sec Habitat assigne M. F. devant le juge des référés du tribunal d’instance de Bobigny (Seine-Saint-Denis), afin que celui-ci constate l’acquisition de la clause résolutoire.
Mais le tribunal accorde à M. F. des délais pour payer l’arriéré, et suspend les effets de la clause résolutoire, par ordonnance du 10 mars 2009. Le 8 juillet 2010, le tribunal d’instance de Bobigny place M. F sous curatelle renforcée, et désigne l‘Association Tutélaire Raincéenne en qualité de curateur : c’est elle qui perçoit ses revenus et assure le règlement de ses dépenses.
Les loyers sont donc payés, mais M. F. continue de se faire remarquer de son bailleur, en troublant la jouissance paisible des autres occupants de l’immeuble: « M. Nadir F. frappe aux portes de ses voisins, notamment le soir ou la nuit, pour leur demander de l’argent ou des cigarettes, circule à moitié dévêtu dans l’immeuble, fume dans les parties communes de la résidence avant de se débarrasser de ses mégots mal éteints sur les paillassons alentour et dans l’ascenseur, au risque de provoquer un incendie ».
Le taux de pensions alimentaires non versées atteindrait entre 30 % et 40 %. L’agence aidera en priorité les mères s’occupant seules de leurs enfants.
LE MONDE | | Par Gaëlle Dupont
La mesure trouvera sans doute une bonne place dans le bilan social du gouvernement, qui ne rate pas une occasion de la mettre en avant. Vendredi 20 janvier, la ministre des familles, Laurence Rossignol, devait lancer officiellement l’Agence de recouvrement des impayés de pensions alimentaires (Aripa). Le public visé est composé en très grande majorité de femmes.
Des mères qui s’occupent seules de leurs enfants, et qui représentent aujourd’hui une famille sur cinq. Les pensions alimentaires représentent un cinquième de leurs revenus. Or, le taux de pensions impayées atteindrait entre 30 % et 40 %.
L’Aripa s’adresse « à celles qui rencontrent un problème dans le versement de la pension, mais aussi à tous les parents séparés ou en cours de séparation », indique-t-on au ministère. Un numéro unique est ouvert (0821 22 22 22), ainsi qu’un site Internet (www.pension-alimentaire.caf.fr). Environ 300 agents spécialisés, répartis dans 22 caisses d’allocations familiales (et une mutualité sociale agricole) auront pour mission de récupérer les pensions impayées, de soutenir financièrement les familles les plus fragiles, d’aider à fixer le montant des pensions (un barème sera disponible sur le site) et d’informer les parents sur leurs droits, la médiation familiale, etc.
L’Aripa achève un processus commencé avec le vote de la loi du 4 août 2014 sur l’égalité entre les femmes et les hommes, qui lançait l’expérimentation de la garantie contre les impayés de pensions alimentaires (GIPA) dans 20 départements. Le recouvrement des pensions alimentaires auprès des mauvais payeurs, afin de les reverser aux bénéficiaires, faisait partie des missions des CAF depuis deux décennies, mais leurs moyens d’action étaient limités.
La GIPA leur a permis d’agir dès le premier mois d’impayés et de récupérer vingt-quatre mois d’arriérés, au lieu de six auparavant. Leurs moyens d’investigation (auprès des employeurs, de Pôle emploi, des banques du débiteur…) ont été renforcés.
Passer de l'attente de la mort à donner du temps de vie aux familles. Une association, qui regroupe parents et professionnels de santé, porte cette nouvelle approche des soins palliatifs en néonatologie. Elle développe ainsi des outils et une formation. En France, 1 800 décès néonataux ont lieu chaque année.
"Avant, les soignants étaient dans la posture de l'attente de la mort. Les parents se calent derrière la posture des soignants alors qu'ils ont envie d'un bonus en plus", résume Isabelle de Mézerac, présidente de l'association Soins palliatifs et accompagnement en maternité (Spama). Cette association, créée à Lille (Nord), porte sur l'accompagnement en soins palliatifs en néonatologie. Une situation délicate à appréhender mais qui n'est pas anecdotique. Selon les calculs de l'association, 1 800 décès néonataux ont lieu chaque année en France. Dans les départements du Nord et du Pas-de-Calais, 120 nouveau-nés font l'objet d'une réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) chaque année, rappelle Laurent Storme, pédiatre néonatologue et responsable du service de réanimation néonatale du CHU de Lille.
Dans un contexte de forte hausse d'activité en psychiatrie, le CH de Montfavet à Avignon travaille à enrichir son offre, notamment médico-sociale. Bien que titulaire d'une dérogation à un GHT, l'établissement contribue "activement" au projet médical du GHT du Vaucluse et travaille par ailleurs à créer une communauté psychiatrique de territoire.
Reparler de la souffrance des soignants. Une fois encore, rappeler combien la dégradation de leurs conditions de travail, à l'hôpital et sur tous les terrains d'exercice, ne cesse de croître. Souligner combien les valeurs de soin et de relation se heurtent toujours plus à des objectifs comptables, créant un hiatus très douloureux pour les soignants. Espérer un regard et une oreille attentive du côté de l'Avenue de Ségur et des solutions qui se font toujours attendre. Continuer à dire, à crier leur mal-être et battre le pavé. Espérer des jours meilleurs et les ressources qui vont avec car le besoin d'écoute et de soutien des soignants est aujourd'hui une urgence absolue, vitale.
ÉCRIT PAR FACULTÉ DE MÉDECINE PIERRE ET MARIE CURIE | 14 JANVIER 2017
La formation diplômante des patients : l’émergence de nouveaux métiers dans la santé
Mardi 17 janvier 2017, de 11h30 à 12h45, Faculté de médecine Pierre et Marie Curie, Amphithéâtre A (rez-de-chaussée), 91, boulevard de l’hôpital, 75013 Paris
Paris, le 13 janvier 2017. Le professeur Catherine Tourette-Turgis, fondatrice de l’université des patients prononcera solennellement, mardi 17 janvier prochain, en présence de ses pairs et d’un large public, sa leçon inaugurale sur la formation diplômante des patients-experts.
Abritée à la faculté de médecine Pierre et Marie Curie, le développement de l’université des patients est soutenu par la fondation partenariale de l’université Pierre et Marie Curie (UPMC), grâce au mécénat du fonds de dotation MSDAVENIR.
«J’ai envie de dire: qui est-on après un tel drame? Je suis une maman, sans en être une vraiment, et je ne suis pas une maman, tout en étant une quand même. Je me sens amputée “de ce que j’étais avec cet enfant”».
(Maman de Louis, mort-né à 5 mois 3/4 de grossesse).
e fœtus, avec l’avènement de nouvelles techniques en médecine néonatale, est devenu un véritable patient pour les professionnels de santé qui gravitent autour de lui. L’obstétricien peut actuellement, suivre le bien-être fœtal et même, soigner certaines des pathologies du fœtus dans le ventre de la mère, avant même sa venue au monde. Quand le décès fœtal se produitin uteroou juste après la naissance, le fœtus cesse brusquement d’être le centre d’intérêt de nombreux soignants. Confié au fœtopathologiste, son corps devient une “pièce opératoire” à examiner pour rechercher les causes du décès.
Cependant lors des échographies prénatales, la visualisation du fœtus et de ses mouvements contribuent à lui donner une réalité aux yeux de ses parents. Ainsi, bien avant sa naissance, ce “fœtus” est déjà pour eux un véritable enfant. Quand la mort survient, avant ou au moment de la naissance, le fœtus n’en demeure pas moins un enfant pour le couple qui l’a conçu et reste un patient pour les équipes soignantes de maternité qui l’ont pris en charge.
La mort d’un nouveau-né n’est pas un événement normal, attendu et pourtant, dans nos grands centres hospitaliers, des femmes ont à se rendre en service maternité pour accoucher d’un enfant mort ou qui va rapidement mourir (3 à 4 cas par semaine en moyenne au C.H.R.U. de Lille où se produisent environ 4500 accouchements/an).
Ces dernières décennies, les travaux de nombreux psychiatres et psychanalystes ont montré que le décès d’un nouveau-né en maternité entraîne la nécessité d’un véritable travail de deuil. Pour engager ce travail de deuil, les parents, la famille mais aussi l’équipe soignante doit prendre conscience de la perte d’un enfant que souvent ni la Loi ni la société ne reconnaissent. Il va de soi que, donner une réalité au nouveau-né décédé, implique pour les soignants de s’occuper du corps de cet enfant et de son devenir.
A l’hôpital, dans un contexte de restrictions budgétaires et de réorganisations, des initiatives tentent d’améliorer la qualité de vie au travail du personnel de santé et la prise en charge des patients.
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO| |Par Nathalie Picard
Mardi, 9 heures. Au centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Tours, une vingtaine de blouses blanches se rassemblent dans une salle de réunion du service d’hématologie et de thérapie cellulaire, spécialisé dans les maladies du sang. Si le staff hebdomadaire n’a pas encore débuté, les discussions vont déjà bon train entre aides-soignantes, médecins, internes, infirmières et art-thérapeute. Les professionnels s’apprêtent à faire le point sur les personnes hospitalisées. Le but ? Les accompagner dans leur globalité, en croisant les regards des différentes professions sur l’évolution de la maladie et du traitement, mais aussi l’état psychologique, les situations familiales et financières ou les besoins en soins de support (art-thérapie, hypnose…).
Lorsque le professeur Emmanuel Gyan, chef de service, lance la réunion, il donne d’abord la parole aux aides-soignantes.
Londres, le samedi 21 janvier 2017 - James Beavis, un étudiant en médecine britannique a vécu le mois de décembre dernier dans les rues londoniennes en mendiant, afin de mieux comprendre la vie des marginaux…La conclusion de son "étude" est sans appel : « la société à déshumanisé les sans abris ». Il a fait part de son expérience au quotidien The Guardian.
Il y raconte le froid et les deux heures qui séparent souvent deux regards de badaud, les passants qui renversent accidentellement votre sébile et s’écartent sans piper mot, ces piétons qui tirent leurs enfants par le bras pour les éloigner de votre pestilence et cette méfiance envers le genre humain qui vous étreint chaque jour un peu plus…
Une méta-analyse de l’Université de Calgary (Canada) a cherché à estimer la prévalence de la dépression chez les patients présentant une déficience cognitive légère (MCI). Les gériatres ont en effet constaté une incidence élevée de la dépression chez les patients âgés, atteints de troubles cognitifs légers. Selon cette revue de la littérature médicale, près d’un patient sur 3 qui est atteint de déclin cognitif serait aussi dépressif.
La schizophrénie reste un trouble déroutant qui touche 600.000 personnes en France et les chercheurs tentent de comprendre pourquoi certains malades répondent moins bien que d’autres aux traitements.
L'équipe du Professeur Nicolas Glaichenhaus, immunologiste à l’Institut de pharmacologie moléculaire et cellulaire à Nice (Inserm, CNRS), travaille sur les liens entre la schizophrénie et le système immunitaire. Son projet de recherche a été récompensé récemment par une bourse de 300.000 euros remise à l’occasion de la cinquième édition du prix Marcel Dassault pour la recherche sur les maladies mentales.
Le chercheur et son équipe travaillent à la mise au point d’un algorithme, un programme informatique qui, à partir des résultats d’analyses de sang de patients schizophrènes, pourrait prédire l’efficacité des antipsychotiques qui leur sont prescrits. En effet, il existe un lien entre certaines maladies psychiatriques et les cytokines - messagers moléculaires permettant la mobilisation des cellules du système immunitaire lors de l’attaque par un pathogène. De nouvelles études ont révélé que des dysfonctionnements de la réponse immunitaire et inflammatoire pourraient participer au développement de troubles psychotiques.
Le Pr Guy Vallancien, 71 ans, est un habitué des positions iconoclastes sur la médecine et le système de santé. Invité à s'exprimer sur l'humanisme numérique, lors d'une rencontre organisée par l'agence Nile, l'urologue de l'institut mutualiste Montsouris s'en est donné à cœur joie.
Le Pr Vallancien a appelé ses confrères à faire confiance à la médecine robotisée plutôt qu'à la craindre. La « précision diabolique » des robots infirmiers et la pertinence des robots aides-soignants « capables de donner à boire ou de ramasser le livre tombé au sol de la personne alité » permettront aux médecins et aux soignants de « récupérer du temps médical pour mieux exercer leurs métiers », a plaidé l'académicien.
Pour la plateforme téléphonique de SPS (Soins aux professionnels de santé), c'est déjà l'heure du premier bilan. Lancé le 28 novembre dernier pour répondre aux appels des professionnels de santé en situation de souffrance au travail, le numéro vert recense déjà plus de 250 appels à la mi-janvier, selon ses animateurs. Au bout du fil, les psychologues de "Pros-Consulte" répondent aux appels à l'aide des personnels de santé. La conversation dure en moyenne 20 minutes mais dépasse parfois l'heure.
Les premiers chiffres enregistrés par SPS montrent qu'un tiers des appelants sont des femmes et que les professions les plus représentées sont les infirmiers, les aides-soignants, les médecins et les pharmaciens. "60 % pourcent sont des hospitaliers et 40 % des libéraux. Les appels ont souvent lieu le lundi ou en fin de semaine, mais très peu le week-end ce qui montre qu'ils sont émis depuis le lieu de travail", précise de Dr Éric Henry, ancien président du SML et fondateur de l'association SPS.
Le Finistère, Paris et le Rhône sont pour l'instant les départements émetteurs de la majorité des appels. Les motifs d'appel sont divers mais l'épuisement professionnel arrive en tête (un quart des conversations téléphoniques), suivi par les demandes d'orientation (10 %), les conflits avec la hiérarchie (8 %), les dénonciations des conditions de travail (6 %) et les ressentis de harcèlement (6 %). "Le bilan d'activité de cette plateforme en un peu plus d'un mois démontre bien l'importance de la mise à disposition d'une structure d'écoute, d'orientation et de soutien des professionnels de santé en souffrance", estime SPS.
DocumentairesLes Pieds sur terre Sonia Kronlund 18.01.2017
Quelques minutes après avoir mis au monde sa petite fille, Estelle a subi une révision utérine sans anesthésie. Elle raconte la douleur et dénonce les violences obstétricales.
"J'étais une truie qu'on était en train de saigner."
Retour sur quelques grandes mobilisations féministes qui ont marqué l'Histoire française et occidentale, alors que les femmes sont appelées à manifester pour leurs droits à Washington ce 21 janvier, au lendemain de l'investiture de Donald Trump.
La marche n'est pas un mode de manifestation classique pour les femmes. Il faut dire que l'appropriation de l'espace public par ces dernières n'est que très récente. Alors qu'un grand rassemblement pour défendre les droits des femmes est prévu le samedi 21 janvier à Washington, au lendemain de l'investiture de Donald Trump, nous revenons ici sur les quelques grandes mobilisations féministes qui ont marqué l'Histoire occidentale, et surtout l'histoire de France. Un voyage le poing levé, à travers quelques archives.
Octobre 1789 : Révolution française, les femmes marchent sur Versailles
"Toute révolution, à partir de celle-là, conduira les femmes sur la scène publique ; l’étonnant eut été qu’elles ne furent pas là. Ce qui est aussi étonnant, c’est que les historiens, pendant des siècles, ont fait comme si elles n’étaient pas là." Yannick Ripa
Journée spéciale "Ecrire le monde moderne « La longue marche des femmes » sur france Culture et dans les Chemins de la philosophie avec la philosophe Geneviève Fraisse !
Vendredi 20 janvier, à l’occasion de la Women’s March sur Washington mais aussi celles de Los Angeles, Londres, Paris… programmées le 21 janvier en réaction à l’investiture de Donald Trump, France Culture consacre son antenne à la condition des femmes dans le monde.
Christophe Verduzier accompagné du Dr Sylvie Péron (à gauche) et de la conseillère départementale Anne-Florence Bourat, présidente du conseil de surveillance.
Le centre hospitalier spécialisé de Poitiers a présenté une demande de dérogation d’adhésion au groupement hospitalier de territoire de la Vienne.
Non au groupement hospitalier de territoire (GHT). Lors des vœux du centre hospitalier Henri-Laborit de Poitiers présentés par le directeur Christophe Verduzier à l'ensemble du personnel, aux partenaires, aux élus et aux associations du secteur médico-social, le message est clair. « La demande de dérogation d'adhésion au groupement hospitalier de territoire n'est pas une position de repli » explique le directeur. Rappelons que l'objectif d'un GHT est d'intensifier la coopération entre les établissements pour optimiser le parcours de soins du patient.