Parfois avec audace ou ambition, mais toujours sans prétention, Marie-Claude Vallejo, cadre infirmier engagée aux côtés de son équipe de réanimation, fait discuter la réalité du soin avec les pensées philosophiques. Son objectif est de rendre visible ce qui se vit dans l’ombre, de montrer et de comprendre la rugosité mais aussi et surtout la richesse du soin qui se dévoile dans les « petites choses » du quotidien.
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Certains vous racontent leurs rêves quasiment tous les jours au saut du lit. D’autres en sont incapables, et sont persuadés de ne presque jamais rêver. Pour les chercheurs en onirologie, ces deux catégories d’individus sont de bons sujets d’étude, car comparer l’activité cérébrale des premiers (dits « grands » rêveurs) à celle des seconds (« petits » rêveurs) est l’un des moyens d’explorer cette terra encore assez incognita.
DEUX ZONES CÉRÉBRALES PARTICULIÈRES
Grâce à cette stratégie, l’équipe de Jean-Baptiste Eichenlaub et Perrine Ruby (Centre de recherche en neurosciences de Lyon, Inserm) vient de confirmer le rôle clé de deux zones cérébrales particulières dans l’activité onirique. Leur étude, qui a fait appel à des examens par tomographie par émission de positons (TEP), a été publiée sur le site de la revue Neuropsychopharmacology, le 16 janvier.