Mathieu, 68 ans, est tout heureux de montrer ses peintures à l'huile, exposées dans le hall de l'hôpital de Falconaja. Avec d'autres patients, il participe à une exposition artistique qui devrait voyager ces prochaines semaines. Un travail qui vise à faire entrer, enfin, la maladie mentale dans le quotidien, à la faire accepter. « Il n'y a pas que le soin médical dans la prise en charge, plaide énergiquement le docteur Nicole Graziani, chef de pôle psychiatrique et gériatrique. La loi soutient l'idée de permettre aux patients de vivre dans la cité. Il faut faire tenir les gens debout. L'art-thérapie, la musicothérapie y contribuent. »
Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.
lundi 14 octobre 2013
Journée mondiale de la santé mentale: Plus de 150 personnes à une grande conférence-débat samedi au CSM de Lomé (REPORTAGE)
10/13/2013
Togo - La journée mondiale de la santé mentale célébrée le 10 octobre de chaque année, a été marquée samedi au Centre de Santé Mentale (CSM) Paul-Louis-Renée de Lomé par une grande conférence-débat autour du thème "Sans santé mentale et sans bien être, il n’y a pas de vraie santé", a constaté une journaliste de l’Agence Savoir News.
Thierry Amouroux passe les dysfonctionnements du métier d'infirmier hospitalier à la moulinette
Invité à présenter au congrès du Syndicat national des infirmières et infirmiers libéraux les caractéristiques de l'exercice infirmier hospitalier, Thierry Amouroux, secrétaire général du Syndicat national des professionnels infirmiers a dressé un sombre portrait, avec tout de même quelques espoirs.
Devant un parterre d'infirmiers libéraux venus à Toulouse pour fêter les 40 ans de leur syndicat (le Sniil) et réfléchir aux défis et opportunités de leur exercice, Thierry Amouroux, secrétaire général du Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI) a plutôt donné de mauvaises nouvelles des infirmiers hospitaliers jeudi 10 octobre. Il a commencé son intervention en déclarant que depuis dix ans leur environnement de travail s'était profondément dégradé. Pour étayer ses propos, il a passé en revue les différents dysfonctionnements qu'il a pu observer.
samedi 12 octobre 2013
Oncologie et psychiatrie resteront dans le giron de l'Hôpital de Castellucio, à Ajaccio (Corse-du-Sud)
- Céline Aubert
- Publié le 10/10/2013
Les discussions se sont achevées après 20 heures hier mercredi 9 octobre, entre l'Agence Régionale de Santé et les délégués syndicaux de l'Hôpital de Castellucio. Il en ressort notamment que les services d'oncologie et de psychiatrie ne seront pas transférés dans le nouvel hôpital prévu en 2018.
Les employés de Castelluccio étaient inquiets surtout pour le service de traitement des cancers de l'hôpital, qu'ils craignaient voir transféré dans le nouvel hôpital prévu en 2018. A l'appel du STC, une partie des personnels du centre hospitalier départemental (une soixantaine de personnes) avait occupé hier matin les locaux de l'Agence régionale de Santé à Ajaccio. Ils dénoncent une enveloppe budgétaire en déséquilibre.
En Russie, la crainte du retour de la psychiatrie punitive
11/10/13
« Liberté pour Kosenko », lit-on sur le panneau brandi par un manifestant, le 8 octobre dernier, devant le tribunal moscovite, suite à la condamnation de l’opposant Mikhaïl Kosenko à être incarcéré dans un hôpital psychiatrique. (AP Photo/Dmitry Lovetsky)
Dans la Russie de Vladimir Poutine, il y a de nombreuses façons plus ou moins légales de faire taire les voix de l’opposition. Mais l’une de ces méthodes semble renvoyer aux tristes heures de l’Union Soviétique : la pratique de l’enfermement dans une institution psychiatrique. Un tribunal moscovite a condamné, le 8 octobre dernier, l’opposant Mikhaïl Kosenko à être incarcéré dans un hôpital psychiatrique pour suivre un traitement forcé. Aux dires de son avocat, l’homme sera privé de liberté pour une durée indéterminée.
Événements indésirables : la responsabilité des établissements de plus en plus recherchée
11/10/2013
En cas d’événement indésirable grave, les établissements sont de plus en plus poursuivis en justice, a expliqué ce vendredi le premier assureur des professionnels de santé, la MACSF, au regard du millier de cas portés à sa connaissance sur un parc de 250 structures privées.
En 2012, 57 % des condamnations judiciaires effectives à la suite d’événements indésirables concernent des infections associées aux soins et 36 % un défaut d’organisation (mauvaise coordination, sorties prématurées, maltraitance, pertes de dossiers...) ou la faute d’un salarié. Les accidents par produit ou matériel ne représentent que 4 % des condamnations, les accidents d’exploitation (comme des chutes), 3 %. La pratique médicale ou chirurgicale n’est pas condamnée.
Une pétition pour la reconnaissance de la pénibilité infirmière
10|10|2013
Le syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI) appelle à mettre « la pression » sur le ministère de la Santé pour que la pénibilité du métier soit reconnue et justement compensée.
Alors que le projet de loi garantissant l’avenir et la justice du système de retraites est en cours d'examen à l'Assemblée nationale, le Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI CFE-CGC) lance une pétition pour la reconnaissance de la pénibilité du travail infirmier. Le syndicat invite les soignantes à mettre « la pression » sur le ministère de la Santé, en saturant le cabinet avec un courrier type réclamant,« pour toute infirmière salariée », une « majoration de durée d’assurance d’un an pour dix ans, au travers d’un départ anticipé à la retraite » et le bénéfice du « compte personnel de prévention de la pénibilité » créé par le projet de loi.
Baudour: polémique sur le personnel infirmier
10 Octobre 2013
Le service des soins intensifs de Baudour bénéficie désormais d’un matériel tout neuf -à découvrir dans La Province de ce vendredi. Mais si l’équipe des soins intensifs se dit ravie de son nouvel étage, Charles Reuse, le chef du service, soulève un malaise : matériel neuf oui, mais ils sont en manque de personnel.
Le service des soins intensifs de Baudour bénéficie désormais d’un matériel tout neuf -à découvrir dans La Province de ce vendredi. Mais si l’équipe des soins intensifs se dit ravie de son nouvel étage, Charles Reuse, le chef du service, soulève un malaise : matériel neuf oui, mais ils sont en manque de personnel.
A.D.
Le chef du service voudrait renforcer son équipe infirmière.
« Nous fonctionnons de jour avec quatre ou cinq infirmiers et avec trois de nuit et les week-ends. Nous faisons 12 heures par jour. L’idéal pour nous serait d’être à 20 ou 21 infirmiers, or ce n’est pas le cas. Nous avons besoin d’un renforcement de deux personnes. Nous avons fait la demande, envoyé des mails à notre direction, mais rien ne bouge ! » Et notre chef de service pointe du doigt le noyau du problème selon lui.
Les intérimaires moins compétents
« Quand on engage, ce sont des intérimaires ! Ce n’est vraiment pas l’idéal, car ils n’ont pas toujours les qualifications et les compétences requises. Et ce qui fait souvent défaut aussi, c’est la motivation. Le souci, c’est que les infirmiers ne veulent pas venir chez nous !
D’abord, on demande ceux qui ont la formation SIAMU, une année de spécialisation pour les services des soins intensifs ou les urgences. Mais ce n’est pas facile à trouver ! D’accord, il y a des quotas à respecter concernant les infirmiers SIAMU, mais ils peuvent engager d’autres personnes plus qualifiées qu’un intérimaire.
vendredi 11 octobre 2013
Psychiatrie : «une coquille vide» à Charles Perrens
C’est un service hospitalier flambant neuf qui ne pourra pas ouvrir faute de personnel pour le faire fonctionner. Selon le syndicat FO du centre hospitalier Charles Perrens, L’Agence régionale de Santé (ARS) a validé et financé en partie, la construction d’une unité de 20 lits d’hospitalisation en pédopsychiatrie mais elle n’a pas prévu le budget pour embaucher du personnel.
Marisol Touraine rassure les infirmières et prône une coordination des soins autour du patient
Après la présentation le 23 septembre dernier de la Stratégie nationale de santé (SNS), le Syndicat national des infirmières et infirmières libéraux (Sniil) était monté au créneau, s'étonnant dans un communiqué que Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé appelle dans son discours les professionnels de santé à travailler en équipe autour du médecin traitant et non du patient.
Astreintes d'infirmiers de nuit et services pour personnes âgées sont lancés en Pays de la Loire
Suite à des appels à candidatures lancés début 2013, l’ARS Pays de la Loire a lancé deux expérimentations, a-t-elle annoncé ce 9 octobre à l’occasion d’un point presse. La première concerne la mise en place d’une astreinte mutualisée d’infirmiers de nuit entre plusieurs Ehpad ; la seconde vise la création de plateformes de services médico-sociaux pour les personnes âgées en perte d’autonomie.
Un numéro vert pour les Iade en souffrance
09|10|2013
Le Collège français des anesthésistes-réanimateurs a mis en place une ligne d'écoute anonyme pour les professionnels de la spécialité, médecins et infirmières, qui rencontrent un problème d'ordre professionnel ou personnel.
Burn out, erreur médicale, harcèlement, divorce, deuil... Certains professionnels de l'anesthésie-réanimation sont en souffrance. Pour mettre fin au « déni collectif » de ce mal-être et rompre l'isolement des soignants, le Collège français des anesthésistes-réanimateurs (Cfar) vient de mettre en place un numéro vert (1). Accessible 24h/24 et 7j/7, ouverte aux médecins comme aux infirmières spécialisées (Iade) en exercice ou en formation, cette ligne d'écoute gratuite a été lancée le 1er octobre.
Auto-traitement : pourquoi certains médecins abusent des médicaments
12/10/2013
Un brillant médecin qui abuse du Vicodin pour soulager ses douleurs. C'est l'histoire du Dr House, héros de la série américaine éponyme. De la fiction à la réalité, il n'y a parfois qu'un pas. Dans la vraie vie, les médecins en viennent eux aussi à abuser des médicaments. Les conséquences peuvent être dramatiques pour leur propre santé mais aussi pour celle de leurs malades, lorsque l'excès de médicaments influence leur pratique. L'accès plus facile aux produits pharmaceutiques les expose naturellement à ce genre de dérive.
jeudi 10 octobre 2013
Google contre la mort
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | Laurent Alexandre
Google a annoncé, le 18 septembre, la création de Calico, qui poursuit le but d'allonger significativement la durée de vie humaine. De grandes ambitions nourrissent cette filiale de Google, qui vise le long terme - dix à vingt ans - et compte explorer des voies technologiques innovantes jamais envisagées pour retarder puis "tuer" la mort.
Cette création n'est pas le premier pas de Google dans la biologie, puisque sa filiale 23andMe est spécialisée dans le séquençage ADN. La naissance de Calico est lourde de conséquences pour le monde de la santé, mais aussi pour la France. Si Google investit dans la lutte contre le vieillissement, c'est bien parce que la médecine repose de plus en plus sur les technologies de l'information. Comprendre notre fonctionnement biologique suppose la manipulation d'immenses quantités de données : le séquençage ADN d'un individu représente par exemple 10 000 milliards d'informations. Seul Google semble en mesure de domestiquer ce déluge de données indispensable pour lutter de façon personnalisée contre la maladie.
Le CCNE et l'ADMD veulent booster le dispositif des directives anticipées
02/07/13
"Pour que les directives anticipées constituent un véritable outil de dialogue, toute personne atteinte d'une maladie grave ou qui intègre un EHPAD doit bénéficier le plus tôt possible dans le cours de sa maladie de l'accompagnement d'un professionnel de santé pour en rédiger si elle le souhaite", suggère le Comité national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE) dans son avis n°121 sur la fin de vie (lire aussi nos sujets du 01/07/2013 concernant la présentation de l'avis et les premières réactions). Une proposition qui part du constat que leur utilisation reste encore aujourd'hui trop confidentielle. Plus généralement, "il serait souhaitable d'inciter toute personne, malade ou pas, songeant à sa fin de vie à rédiger des "déclarations anticipées de volonté" pour exposer ses souhaits en termes de lieu de vie ou de mode de prise en charge", indique le comité qui propose aussi de réfléchir à un formulaire-type issu des expériences à l'étranger les plus probantes.
Le suicide, la 3e cause de décès chez les agriculteurs
10/10/2013
L’Institut de veille sanitaire (InVS) publie aujourd’hui les résultats de la première analyse exhaustive demortalité par suicide chez les agriculteurs exploitants, grâce à une collaboration avec la Caisse centrale de la mutualité sociale agricole (CCMSA).
Si un excès de suicide avait été mis en évidence par le passé dans de nombreux travaux nationaux et internationaux, les indicateurs de mortalité obtenus confirment cet état de fait. Sur la période 2007-2009, le suicide arrivait en 3e cause de décès parmi les exploitants agricoles ayant exercé pendant au moins l’une des trois années d’études. Le suicide se positionne après les décès par cancer et par maladies cardiovasculaires.
Des cours d'auto-défense à l'hôpital de Limoges
Comment gérer l'hostilité et l'agressivité de certains patients ? Les personnels du CHU de Limoges sont formés par leur établissement à gérer ce type de situations. La radio Europe 1, qui se fait aujourd'hui l'écho de ces formations, a interrogé plusieurs médecins de l'hôpital.
L'Argument infirmier peut-il exister par lui-même ?
La science infirmière fonde son discours sur le fait qu’il existe une autonomie et un argument qui seraient purement infirmiers. Si tel est le cas, quel est cette autonomie ? L’argument infirmier est-il si différent de l’argument médical pour qu’il ait besoin d’exister par lui-même et qu’il puisse être recevable par tous en tant que tel ? Quelle forme a-t-il ? Comment le reconnaître ?
Stratégie nationale de santé : les usagers veulent avoir voix au chapitre
08/10/2013
Claude Rambaud, présidente du Collectif interassociatif sur la santé (CISS, usagers), a précisé ce mardi la place active que les patients souhaitaient prendre dans l’application de la stratégie nationale de santé, mais aussi leurs principales attentes, à l’occasion d’une rencontre des Amphis de la Santé*.
Signataire du manifeste « Pour un débat public sur la santé » sur le financement des soins, Claude Rambaud fonde en particulier beaucoup d’espoirs dans le volet consacré à la prévention primaire, « tête de pont » de la feuille de route du gouvernement.
Le syndicat des psychiatres des hôpitaux milite pour des partenariats entre sanitaire et médico-social
C'est lors de la dernière assemblée générale du Syndicat des psychiatres des hôpitaux (SPH), le 2 octobre dernier, qu'une résolution sur le rapprochement entre sanitaire et médico-social a été adoptée. "Les psychiatres hospitaliers font le constat de l'intérêt majeur pour le patient d'un partenariat du travail sanitaire et médico-social", énonce la motion. Les praticiens hospitaliers pourraient ainsi intervenir "dans le cadre de partenariats communs sanitaire et médico-social sous forme de conventions inter-établissements". Ces conventions seraient validées par l'ARS, et ces partenariats devraient strictement respecter les dispositions statutaires et déontologiques, tout en étant reconnus comme mission de service public.
Le SPH s'est aussi attardé sur la psychiatrie en milieu pénitentiaire, en réclamant une première évaluation du fonctionnement de la première tranche des Unités hospitalières spécialement aménagées (UHSA). Aussi, le SPH souhaite que les personnes souffrant de troubles mentaux, prévenues comme condamnées, puissent bénéficier d'une suspension de peine, de la même manière que les personnes souffrant de troubles somatiques.
Au sujet de la loi n° 2013-869 du 27 septembre 2013, si le syndicat salue certaines dispositions favorables comme la généralisation des audiences à l'hôpital, l'abandon de la visioconférence, les rétablissements des sorties de courte durée, il n'en est pas moins critique sur l'esprit de la loi : "Le SPH déplore surtout le manque de volonté et de courage politique qui a conduit au maintien d'une loi de chicanes." Pour ce qui est de l'autisme, le SPH demande la renégociation du troisième plan Autisme afin de prendre en compte les missions des différentes structures (CAMPS, CMPP, Sessad, CMP), l'absence de financement pour développer le secteur de la psychiatrie infanto-juvénile.
Au sujet des questions financières et statutaires, les motions se corsent. Ainsi le SPH dénonce "un glissement de moyens vers le médico-social", la tarification des chambres individuelles, la suppression de postes... Il demande instamment la réouverture des travaux sur la Valorisation à l'activité de la psychiatrie (Vap) et"déplore les blocages de la DGOS". Le SPH demande à ce que le temps de travail des PH soit clairement défini, à savoir 10 demi-journées, soit 93 heures hebdomadaires. Mais aussi une rénovation du droit syndical, la création d'un compte personnel de pénibilité dans le cadre de la réforme des retraites, la fin de l'obligation de la participation à la permanence des soins pour les plus de 60 ans, la prise en compte intégrale du temps de travail lors des astreintes, l'indemnisation des jours de Compte épargne temps (CET).
Au sujet du Développement professionnel continu (DPC), le SPH a voté une motion qui demande le maintien des formations hors DPC, l'adhésion partielle à l'Association nationale pour la formation permanente du personnel hospitalier (ANFH), une régulation directe de la formation des médecins par les médecins eux-mêmes, une équivalence de financement des formations des PH et des libéraux.
Jean-Bernard Gervais
Expérience humaine et santé mentale : où en sommes-nous?
QUEBEC
- Caroline Boisclair
- Publié le 30 septembre 2013
L’histoire Guy Turcotte, la publication controversée du DSM 5 et l’augmentation en flèche de l’usage de psychotropes et de ritalin ont alimenté plusieurs conversations ces derniers mois. C’est pourquoi l’Association des alternatives en santé mentale de la Montérégie ouvrira les portes de son colloque d’automne «Expérience humaine et santé mentale : où en sommes-nous ?» au public, le 9 octobre, à l’Auberge Bromont. Trois conférenciers reconnus prendront la parole, et la comédienne Pascale Bussières sera la marraine de l’événement.
Salle de shoot : l'ouverture prévue à Paris remise en cause
Le Monde.fr | Par Laetitia Clavreul
Mauvaise nouvelle pour le gouvernement du côté des salles de consommation de drogue à moindre risque. Le ministère de la santé a dû informer, jeudi 10 octobre, que le Conseil d'Etat "recommande d'inscrire le dispositif dans la loi". Autrement dit, que la position de l'institution remet en cause la stratégie adoptée pour expérimenter ce que ses opposants appellent une "salle de shoot". Celle-ci devait ouvrir, en novembre, dans le 10e arrondissement de Paris. Jeudi matin, France Inter a dévoilé la position du Conseil d'Etat.
L'hôpital de Castelluccio à Ajaccio, "parent pauvre" de la santé selon le STC
10 octobre 2013
Les personnels STC du centre hospitalier départemental de Castelluccio, « inquiets » sur la situation de l'établissement, étaient hier matin devant les locaux de l'ARS.Pierre-Antoine Fournil
Une délégation du syndicat a été reçue durant plusieurs heures, hier, par le directeur de l’ARS, afin d’évoquer les différents problèmes que rencontre l’établissement hospitalier. Et trouver des réponses…
Pas content du tout, le STC. Les personnels du syndicat travaillant à l'hôpital de Castelluccio estiment en effet que l'établissement est le « parent pauvre» du système sanitaire ajaccien et réclament un rééquilibrage dans l'attribution de l'enveloppe régionale de santé. Le centre hospitalier départemental de Castelluccio participe au service public hospitalier et est spécialisé en psychiatrie, en cancérologie et soins de suite et réadaptation. Hier matin, une soixantaine de membres du personnel et de sympathisants a envahi dans le calme les locaux de l'Agence régionale de santé (ARS). Et une délégation a été reçue par Jean-Jacques Coiplet, son directeur.
Le douloureux calcul de la valeur de la vie
19/10/2012
Les Britanniques ont inventé Qaly. C’est un outil qui permet de mesurer la valeur d’une année d’existence humaine. La France se refuse encore à l’utiliser pour décider du remboursement ou non de certains médicaments.
Le théâtre entre en psychiatrie
Publié le 10/10/2013
Par Julie Martinez
Par Julie Martinez
Après avoir travaillé en 2007 au centre de détention de Mauzac, les comédiens de Cette compagnie-Là ont posé leurs valises depuis le 23 septembre au centre hospitalier spécialisé de Vauclaire, à Montpon-Ménestérol, pour un atelier de trois semaines.
Patients et soignants se retrouvent en dehors du service pour « travailler sur le quotidien » et « l’altérité » avec Antony Quenet et Maïa Nicolas, les deux comédiens qui les guident en vue d’une restitution finale qui aura lieu demain et samedi 12 octobre (1)
Le suicide en Chine, véritable fléau
Cela pourrait être une blague morbide mais ce n’en ai pas une. Le 29 septembre dernier à Shantou dans la province chinoise du Guangdong, un jeune homme a tenté de se suicider du 5e étage d’un immeuble en slip, mais a échoué, emportant la vie d’un cycliste de 56 ans en contrebas. Loin d’être choqué par ce qui venait de se passer et sans se soucier du malheureux, il se relève, indemne et court vers un autre bâtiment pour renouveler l’opération comme le montre une vidéo. C’était sans compter sur des sapeurs-pompiers présents qui mirent fin à ses pulsions morbides en le remettant à la police locale.
Ce fait divers n’est pas un cas isolé en Chine, pour preuve les suicides dans l’usine Foxconn à Shenzhen en 2010 (qui assemble les smartphones de la célèbre marque à la pomme). Pour y remédier, les dirigeants avaient installé des filets autour des bâtiments pour éviter que les employés ne se jettent des toits. Plus récemment, c’est l’initiative d’une université chinoise qui a fait l’actualité. La City College of Dongguan University of Technology fait signer à ses étudiants un « contrat suicide » pour se décharger de toute responsabilité en cas de suicide au sein de son établissement.
Quelques chiffres : La Chine est l’un des pays le plus touché au monde par les suicides, on compte quatre tentatives par minute et près de 287,000 personnes y parviennent chaque année, ce qui représente le quart des suicides recensés mondialement par an par l’OMS. Le suicide est la cause principale de décès chez les 15-34 ans dans ce pays.
Journée mondiale de la santé mentale : une épidémie de suicides dévaste les Guarani
9 Octobre 2013
Attention : contient des images choquantes
A la veille de la journée mondiale de la santé mentale, le 10 octobre, Survival International révèle de nouvelles données sur le suicide qui affecte les Guarani du Brésil. Face à la perte de leurs terres ancestrales et aux attaques constantes des hommes de main armés, les Indiens affrontent un taux de suicide au moins 34 fois plus élevé que la moyenne nationale.
Les chiffres montrent qu’en moyenne, au moins un Guarani s’est suicidé chaque semaine depuis le début de ce siècle. Selon le ministère brésilien de la Santé, 56 Indiens guarani se sont suicidé en 2012 (les chiffres réels sont probablement plus élevés en raison du manque d’information). La majorité des victimes avaient entre 15 et 29 ans, et la plus jeune n’avait que 9 ans.
Casting : Bon Rétablissement avec Gérard Lanvin cherche des figurants infirmiers à Lyon
Le réalisateur Jean Becker, qui va réaliser son prochain film dans les studios de Rhône-Alpes Cinéma, est à la recherche de figurants appartenant au corps médical. Sont notamment recherchés des infirmier(e)s ou des élèves en école d'infirmier.
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Seulement 5 % d’hommes à l'école d'infirmiers
MONTCEAU / LE CREUSOT
04/09/2013
04/09/2013
Les 240 élèves infirmier(e)s et aides soignant(e)s ont fait leur rentrée à l'IFSI en début de semaine sur le site Jean Bouveri.
mardi 8 octobre 2013
France 2 : un téléfilm sur la psychiatrie d’aujourd’hui
15 jours ailleurs
mercredi 09/10/2013 à 20:45 sur France 2
SYNOPSIS DE 15 JOURS AILLEURS
En pleine réunion, Vincent fait un «burn out». L'homme craque face à la pression et à la concurrence déloyale d'une jeune adjointe. Compte tenu de la situation, sa femme accepte son internement en psychiatrie. Dans la structure hospitalière, Vincent se retrouve délaissé. Le personnel soignant est débordé. Au fil du temps, il se rapproche de Hélène, une jeune femme psychotique. Cette dernière fait sortir Vincent de sa coquille et l'aide à se détendre. Elle lui avoue qu'elle espère sortir pour retrouver son fils, Lucas. Tandis que le juge des libertés lui refuse sa sortie d'essai, Hélène fuit en profitant du départ de Vincent. Elle le supplie de l'aider...
LA CRITIQUE TV DE TÉLÉRAMA DU 05/10/2013
Mis sous pression, puis sur la touche, par sa hiérarchie, Vincent, cadre dans la grande distribution, fait irruption dans une réunion, hurle, se cogne la tête sur une table... « Burn-out », diagnostique un psychiatre, qui recommande un internement d'office. Vincent se retrouve en hôpital psychiatrique, assommé de médicaments, seul face à un personnel débordé. Hélène, jeune femme psychotique, prête à tout pour revoir son fils, vient à sa rencontre.
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