Caroline Guignot 4 juin 2023
À retenir
Selon une étude française ayant utilisé deux scores de santé cardiovasculaire différents, les femmes déclarant appartenir à une minorité sexuelle avaient des scores plus défavorables que celles se déclarant hétérosexuelles, tandis que l’inverse était observé dans la population masculine. Cette observation pourrait être liée à des différence en termes de niveaux d'exposition aux facteurs de stress -comme la discrimination- ou en termes de capacités d'adaptation et de résilience face à ces facteurs de stress, entre minorités sexuelles masculines et féminines, et entre ces minorités et leurs homologues d’orientation hétérosexuelle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire