Publié le 05/09/2021
Le service sous contrainte du pôle de psychiatrie adulte de l'hôpital Henri-Mondor à Aurillac a ouvert ses portes à La Montagne. Photos Jeremie Fulleringer © Jérémie FULLERINGER
L’hospitalisation psychiatrique sous contrainte n’est plus cet antre impénétrable, angoissant et anxiogène. À Aurillac, comme ailleurs, des actions sont menées au quotidien pour la déstigmatiser et la rendre plus facile à vivre pour le patient. Il est 9 heures. On nous ouvre les portes. Et on les referme aussitôt derrière nous. Clefs en main. Mais pas les nôtres.
Le service fermé du secteur de psychiatrie du centre hospitalier Henri-Mondor, à Aurillac, comporte deux ailes. Ce jour-là, nous intégrons l’une d’elles, pour quelques heures. La journée démarre par une réunion pluridisciplinaire en salle de repas. « C’est la seule pièce assez grande pour respecter la distanciation », précise Christophe Rigal, cadre supérieur des pôles psychiatrie infanto-juvénile et psychiatrie adulte.
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