THE ATLANTIC - WASHINGTONContre moins de 100 dollars et un peu de salive, des sociétés américaines proposent à leurs clients de partir en quête de leurs origines. Mais ces tests ADN ne sont pas sans conséquence et peuvent trahir de nombreux secrets de famille.
C’est le service clients d’Ancestry DNA qui a annoncé la nouvelle à Catherine St Clair.
Catherine pensait être confrontée à un petit problème technique. Son frère – qui, avec ses trois autres frères et sœurs, lui avait offert le test ADN pour son anniversaire – détonnait dans l’arbre généalogique. Ce n’était pas un problème technique, lui a expliqué la femme au bout du fil, avec douceur, s’il est possible qu’une telle nouvelle puisse arriver avec douceur aux oreilles de son destinataire : l’homme que Catherine pensait être son frère ne partageait avec elle qu’assez d’ADN pour être son demi-frère. En fait, elle n’avait pas les mêmes gènes qu’aucun des autres membres de sa famille paternelle. Son père biologique était quelqu’un d’autre.
“Je me suis regardée dans un miroir et j’ai fondu en larmes”, se souvient Catherine St Clair, aujourd’hui âgée de 56 ans :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire