Avec un ratio d’un psychiatre pour 100.000 habitants, voire plus, le Sénégal est encore très loin de l’objectif «un psychiatre pour 10.000 habitants» fixé par l’OMS en matière de prise en charge des victimes de troubles mentaux. Or, on ne peut prétendre à une bonne santé sans une bonne santé mentale car celle-ci est le bien-être au complet. C’est la conviction de Dr Souleymane Loucar, Psychiatre, interne des hôpitaux et responsable du Service psychiatrique de l’hôpital régional de Louga, interrogé par Sud FM Sen Radio hier, mercredi 10 octobre, Journée mondiale de la santé mentale. D’où la nécessité de prévenir, en agissant sur les jeunes pour détecter très tôt les problèmes et troubles mentaux. En ce sens que les maladies mentales commencent souvent à l’adolescence (14 ans) et celles graves souvent à l’âge de 15 ans.
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