Le débat lancé durant l’été sur les « violences obstétricales », comme l’émergence récente de maisons de naissance constituent une timide remise en cause d’une médicalisation croissante des accouchements.
LE MONDE |
Touchers vaginaux inutiles, épisiotomies à vif, obligation d’accoucher sur le dos... ces gestes médicaux réalisés quotidiennement dans les maternités françaises sont désormais considérées par certaines partientes comme des « violences obstétricales ». Combien, pourquoi ? Un rapport commandé durant l’été par la secrétaire d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, devrait éclairer ce sujet longtemps tabou.
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