Après les maladies cardiovasculaires, c'est la santé mentale que l'Agence régionale de la santé a décidé de mettre sur le devant de la scène.
Jeudi 6 novembre, à la mairie de Tours, professionnels, malades, citoyens lambda évoqueront le sujet à travers table ronde et atelier théâtre. Un maître mot : la destigmatisation.
En la matière, le regard sur la maladie évolue mais très lentement. Il est par ailleurs difficile de tout « quantifier ».
Déléguée territoriale de l'ARS, Myriam Sally Scanzi évoque les états dépressifs et explique, par exemple, que le taux de mortalité dû au suicide est très supérieur en Indre-et-Loire par rapport aux autres départements de la région Centre « et on sous-estime sûrement le phénomène dans la mesure où on ne prend en compte que les tentatives suivies d'une hospitalisation ».
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