08 avril 2011
Le débat a été riche de questions à se poser…
«LA semaine de santé mentale 2011 », organisée au niveau européen depuis 1990 pour toucher le grand public sur les questions de santé mentale au travers de manifestations propres à rassembler, communiquer et débattre, s'est terminée à Reims le jeudi 31 mars par la projection, à la médiathèque Jean Falala, du documentaire « Un monde sans fous ? » de Philippe Borrel (passé sur France 5 en avril 2010. Des séquences ont été tournées à Reims).
A suivi un échange avec le psychiatre Patrick Chemla, le Dr Jacques Barbier, président de l'ARDPF (association rémoise des psychiatres pour la formation), Françoise Gilles présidente de l'Unafam Reims (Union nationale des amis et familles de malades psychiques) et Jean-Claude Chaise qui témoignait dans le film.
La salle était comble avec un public composé de professionnels de santé, de familles, de patients et d'élus, dont la maire de Reims Adeline Hazan qui a participé activement à l'échange sur ce film bouleversant et dérangeant par les questions qu'il pose en matière de traitement, d'accompagnement, d'environnement dans une société qui « dysfonctionne » avec ses changements rapides, les exigences au travail, les méthodes de management trop musclées, les critères de sélection de ceux qui ne pourront suivre le rythme…
Patrick Chemla a lancé le débat en précisant que ce documentaire avait été tourné avant la loi qui doit maintenant passer devant le sénat concernant la psychiatrie et la santé mentale : une loi qu'il réprouve et juge déraisonnable.
A suivi un échange avec le psychiatre Patrick Chemla, le Dr Jacques Barbier, président de l'ARDPF (association rémoise des psychiatres pour la formation), Françoise Gilles présidente de l'Unafam Reims (Union nationale des amis et familles de malades psychiques) et Jean-Claude Chaise qui témoignait dans le film.
La salle était comble avec un public composé de professionnels de santé, de familles, de patients et d'élus, dont la maire de Reims Adeline Hazan qui a participé activement à l'échange sur ce film bouleversant et dérangeant par les questions qu'il pose en matière de traitement, d'accompagnement, d'environnement dans une société qui « dysfonctionne » avec ses changements rapides, les exigences au travail, les méthodes de management trop musclées, les critères de sélection de ceux qui ne pourront suivre le rythme…
Patrick Chemla a lancé le débat en précisant que ce documentaire avait été tourné avant la loi qui doit maintenant passer devant le sénat concernant la psychiatrie et la santé mentale : une loi qu'il réprouve et juge déraisonnable.
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