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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

vendredi 4 septembre 2020

COVID-19 : impact sur le stress de femmes enceintes

Univadis

Par Nathalie Barrès   31 août 2020

À retenir
Un peu plus de cent femmes françaises ayant eu un transfert d’embryon ou une insémination intra-utérine ont été suivies durant le premier trimestre 2020, période d’épidémie de COVID-19. L’objectif de cette étude était de mesurer l’évolution de leurs stress. Globalement très peu de femmes ont décalé leurs consultations à cause de l’épidémie de SARS-CoV-2. La pandémie n’a créé que peu de stress supplémentaire, voire pas du tout. 

Dans l’enfer des TOC: «J’ai cru que j’étais un alien»

L'illustré logo

Publié jeudi 3 septembre 2020

SUISSE

Les troubles obsessionnels compulsifs sont une affection psychique méconnue, invalidante et difficilement curable. Témoignage de Zack, 14 ans, qui souffre de TOC invisibles.

On s’est tous livré, gamin, à ce petit jeu: si j’arrive à l’école sans marcher sur une seule ligne du trottoir, j’aurai une bonne note à mon dernier contrôle, ou Isabelle tombera amoureuse de moi, ou il y aura du poulet-­frites à la cantine… Ces pensées magiques appartiennent au délicieux monde de l’enfance. Mais lorsque c’est un adulte qui décide un beau jour de ne plus sortir de chez lui parce qu’il est persuadé que s’il marche sur une de ces lignes, il tombera gravement malade, on parle alors de TOC, trois lettres qui sont l’abréviation de «trouble obsessionnel compulsif».
Et, contrairement à ce que l’on pense souvent, être affligé d’un TOC ne se résume pas à adopter des comportements bizarres prêtant à sourire. Dans sa forme sévère, ce trouble psychologique, qui plonge ses victimes dans des souffrances insondables, s’avère extrêmement invalidant. Jusqu’à, parfois, détruire des vies entières. Car les perspectives de guérison demeurent, encore aujourd’hui, très aléatoires.
1. C’est quoi un TOC?
Pour Guido Bondolfi, médecin-­chef du Service de psychiatrie de liaison et d’intervention de crise aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), «nous avons tous des obsessions, moi comme vous. Mais sans la fréquence, l’intensité et la récurrence de pensées obsédantes des personnes qui souffrent d’un TOC. Celles-ci sont sujettes de manière impromptue à des pensées intrusives souvent contraires à la morale ou pouvant entraîner des conséquences graves, ce qui provoque chez elles de l’anxiété. Elles sont alors obligées de mettre en place des dispositifs compulsifs pour faire diminuer cette anxiété: se laver les mains 50 fois par jour par crainte des microbes, retourner dix fois chez soi pour s’assurer qu’on a bien fermé la porte à clé, déserter tous les lieux publics de crainte d’agresser quelqu’un, etc.»




jeudi 3 septembre 2020

A la prison d’Arles, évasion par la fiction

Le Monde  

Caroline Guiela Nguyen tourne un conte fantastique dans la maison centrale, joué par sept hommes qui y sont détenus.
Par  Publié le 2 septembre 2020
La metteuse en scène Caroline Guiela Nguyen fait répéter Nino et Jean Ruimi, à la maison centrale d’Arles (Bouches-du-Rhône), le 17 juillet.
Le bâtiment bas, ceint de murs de béton d’une couleur indéfinissable, s’étale, presque invisible dans la campagne arlésienne. La prison est une des six maisons centrales de France, destinées à accueillir les détenus condamnés à de longues, voire de très longues, peines et/ou considérés comme ayant peu de chances de réinsertion sociale.
Ce jour-là de juillet, pourtant, la centrale d’Arles (Bouches-du-Rhône) accueille des visiteurs un peu particuliers : une équipe de tournage, avec ses comédiens et ses techniciens, sous la houlette de la jeune metteuse en scène Caroline Guiela Nguyen.

SÁNDOR FERENCZI, L’ESPRIT DIVAN

Par Virginie Bloch-Lainé  — 

La biographie par Benoît Peeters du disciple et ami de Freud met en lumière ses théories progressistes et son rôle sous-estimé dans la psychanalyse naissante.

Sigmund Freud with Sandor Ferenczi (left) at his holiday house in Scorbato, Hungary, 1917
Sigmund Freud with Sandor Ferenczi (left) at his holiday house in Scorbato, Hungary, 1917

Est-ce fantastique ou épuisant de s’aimer ainsi, de s’aimer autant, lorsqu’on est amis ? En voyage aux Etats-Unis avec Jung en 1908, ou en Italie en tête-à-tête l’année d’après, Sigmund Freud et son disciple Sándor Ferenczi s’analysent mutuellement, tout le temps. Ferenczi, surtout, qui désire être aimé à sa «juste valeur» par le père de la psychanalyse et ne lâche pas l’affaire. Si bien qu’au retour de la Ville éternelle, Freud confie à Jung, avec lequel il n’a pas encore rompu, son agacement devant la position «infantile» de son disciple : «Il m’admire sans discontinuer, ce que je n’aime pas, et me critique sans doute âprement dans l’inconscient si je me laisse aller.» Freud en a aussi après sa «passivité» «Il a tout laissé faire pour lui comme une femme, et mon homosexualité ne va quand même pas jusqu’à l’accepter comme tel […]. La nostalgie d’une vraie femme augmente considérablement dans de tels voyages.» L’une des vertus de la biographie que Benoît Peeters consacre à Sándor Ferenczi est de mettre en valeur les attentes affectives qui s’ajoutent aux liens intellectuels reliant Freud, ses disciples et ses collègues.

Ces jeunes qui refusent d’avoir des enfants, entre acte écologique et angoisse de l’avenir

S’il peut s’expliquer par des raisons environnementales, le choix de ne pas procréer recouvre souvent des considérations diverses.
Par  Publié le 2 septembre 2020
Diminuer sa consommation de viande, éviter l’avion, renoncer à une voiture… Autant de mesures individuelles fortes pour réduire son empreinte carbone et lutter contre le réchauffement climatique.
Mais le changement de comportement le plus efficace, selon des chercheurs de l’université de Lund (Suède) et de l’université de la Colombie-Britannique (Canada), reste encore de faire moins d’enfants. Un bébé pèserait en effet 58 tonnes de CO2 par an, tandis que le cumul d’un régime végétarien (en moyenne 0,8 tonne par an), de l’arrêt des voyages en avion (1,6 tonne) et de l’usage d’une voiture (2,4 tonnes) permettrait d’économiser au total 4,8 tonnes par an.

Premiers choix d'internat : la chirurgie plastique fait le plein, l'ophtalmologie très prisée

PAR 
PUBLIÉ LE 02/09/2020

Crédit photo : PHANIE
La procédure des choix de postes d'internes est chaque année un indicateur précieux de l'attractivité des différentes spécialités. Et 2020 ne déroge pas à la règle ! 
Les 28 postes offerts pour suivre un troisième cycle dans la spécialité de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique étaient déjà épuisés ce mercredi, au lendemain du début de la procédure d'affectation, selon les données issues du centre national de gestion (CNG). Le dernier étudiant à opter pour cette spécialité est classé 948e dans la subdivision de Reims.

Il paraît que les femmes ont une histoire (mais pas depuis longtemps)

Par Chloé Leprince    02/09/2020

Manque d'archives ou regard viriliste : longtemps en France, les femmes n'ont pas été un sujet d'étude en histoire. Féminisme, féminisation de la discipline, et travaux pionniers ont tiré dans le même sens pour que ça change.
Histoire des femmes, combat féministe et féminisation de la discipline à la fac ont joué ensemble pour qu'on se mette soudain à envisager les femmes
Histoire des femmes, combat féministe et féminisation de la discipline à la fac ont joué ensemble pour qu'on se mette soudain à envisager les femmes Crédits : François Lochon / Gamma - Rapho - Getty
Deux actualités se croisent en cette rentrée 2020, dans l’espace de la cause des femmes. La première est éditoriale : c’est la parution, aux éditions La Découverte, d’un travail important, sous la forme d’un livre de plus de cinq cents pages, signé de trois historiennes Bibia Pavard, Florence Rochefort et Michelle Zancarini-Fournel. Ce livre, accessible et en même temps précis, est très pédagogique : plusieurs figures saillantes sont documentées pour chaque mobilisation féministe éclairée par les trois autrices qui animent, ensemble, depuis sept ans, un séminaire d’histoire des féminismes à l’EHESS, à Paris. Il est aussi rehaussé d’un titre formidable : Ne nous libérez pas, on s’en charge et consiste en une sociohistoire des féminismes qui court, depuis la séquence de la révolution française, sur plus de deux siècles. "Féminismes" s’écrivant au pluriel, pour renouveler l’histoire des stratégies déployées depuis plus de deux siècles pour penser et abolir les inégalités entre les sexes - y compris les frictions et les angles morts.

A quand un nouveau contrôleur des lieux de privation de liberté ?

Par Julie Brafman — 
Depuis le 17 juillet, date du départ d’Adeline Hazan, la chaise est vide. Plus de Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL), c’est-à-dire plus de vigie des droits fondamentaux dans les endroits à l’abri des regards, comme les prisons, les hôpitaux psychiatriques, les centres de rétention administrative, les locaux de garde à vue ou les centres éducatifs fermés. Après six ans à ce poste, celle qui prit la suite de Jean-Marie Delarue a plié bagage à la fin de son mandat non renouvelable, et son successeur, qui doit être nommé par décret présidentiel, se fait attendre. «A chaque Conseil des ministres, j’épluche les comptes rendus, mais toujours rien, aucun nom, s’agace François Bès, coordinateur du pôle «enquête» à l’Observatoire international des prisons (OIP). C’est au mieux de l’impréparation, au pire de l’indifférence.»

mercredi 2 septembre 2020

Maël, 18 ans : Après une tentative de suicide, «le service psychiatrique m’a redonné goût à la vie»

Mercredi 02 septembre 2020

photo « cette hospitalisation m’a rendu plus fort et m’a appris qu’il ne fallait pas forcément garder ses problèmes pour soi. »2
« Cette hospitalisation m’a rendu plus fort et m’a appris qu’il ne fallait pas forcément garder ses problèmes pour soi. » © Illustration d’après une photo Fotolia

Maël a 18 ans. Il est étudiant à Brest. Après une tentative de suicide, son témoignage a été recueilli par les journalistes de la Zone d’expression prioritaire, lors d’ateliers avec des jeunes.

La Zone d’expression prioritaire (Zep) collecte la parole des jeunes de 14 à 28 ans lors d’ateliers d’écriture encadrés par des journalistes. Ces témoignages sont ensuite publiés par des médias. Ouest-France a choisi d’être l’un d’eux. Tous les mois, le premier mardi, dans le journal et sur ouest-france.fr, on peut lire ces récits de vie, comme celui de Maël, étudiant à Brest, qui a fait une tentative de suicide.
«Dix-sept : c’est le nombre de médicaments que j’ai ingérés le jour où j’ai tenté de me suicider. Un mois : c’est la durée de mon hospitalisation. C’était il y a trois ans, en seconde. À cette époque, rien n’allait malgré le sourire sur mon visage. L’envie de quitter ce monde, et mes problèmes familiaux.
J’ai ingéré ces médicaments au lycée et je me suis réveillé le lendemain à l’hôpital. Un médecin m’a expliqué que j’avais deux possibilités : me faire hospitaliser dans un hôpital spécialisé en psychiatrie, ou intégrer un service spécifique au CHU de Brest, réservé aux personnes de 15 à 25 ans ayant commis des gestes suicidaires.
Je ne voulais qu’une seule chose : rentrer chez moi. Mais ce choix ne m’était pas proposé. J’ai choisi le « moins pire » : mon hospitalisation dans le service spécialisé pour les jeunes.

Mort d’un irrécupérable de l’art

 

Mort d’un irrécupérable de l’art

Celui qui fut longtemps diagnostiqué : « résidu asilaire irrécupérable » est mort ce dimanche 30 août à l'âge de 75 ans. L’œuvre de Franco Bellucci compte parmi les plus fortes de l'art brut.
Franco Bellucci, l’irrécupérable de l’art brut
Les sculptures hybrides que produisait Franco Bellucci sont constituées d’objets hétéroclites dont les destins sont inexorablement liés. Elles ont été présentées dans plusieurs grandes expositions comme la monographie qui lui a été consacrée au MADmusée de Liège, Banditi dell’arte (Halle Saint Pierre) et art brut, collection abcd/ Bruno Decharme (La maison rouge) à Paris ainsi qu’à la galerie Christian Berst en 2015. « Ces œuvres sont douées d’une puissance symbolique que bien des artistes ‘professionnels’ sont incapables d’atteindre. » (Philippe Dagen, Le Monde). On reconnaît le style de Bellucci comme on identifie immédiatement celui d’un autre géant de l’art brut Michel Nedjar. Et, cette reconnaissance est sans aucun doute due à la force immédiate que ses œuvres inspirent. A l’instar des célèbres poupées de Nedjar, les assemblages « néo vaudous » confectionnés par Bellucci suscitent, d’ailleurs, un étrange mélange d’attirance et de répulsion. L’artiste associe dans son travail déchets et objets hétéroclites, souvent issus de l’univers de l’enfance (jouets, poupées, figurines, etc.), qu’il enserre fermement dans de subtils imbroglios de cordages. Tout y passe et semble pouvoir faire office de nouage : chambres à air, chaussettes, tuyaux d’arrosage, fils électriques, bandages, bas de femme, câbles USB, etc. Il serait vain d’énumérer et de vouloir décrire toutes les figures qui naissent de ces enchevêtrements, tant leurs formes sont variées et inattendues.
De ces rencontres improbables naissent parfois des accouplements monstrueux entre un dinosaure et une poupée Barbie, une chaussure drag queen et un câble HDMI, ou des copulations plus prosaïques entre animaux de ferme. Parmi les pièces les plus intéressantes se trouvent celles dont les objets insérés ont été les plus démembrés. On peine, alors, à distinguer dans l’enchevêtrement des morceaux de tissus, de plastiques et des corps désarticulés, une figure familière. On pense parfois à certaines poupées de Bellmer, ou pour les assemblages plus abstraits à ceux de Pascal Tassini.
sans titre, sans date, technique mixte, 13 x 52 x 21 cm
Quelquefois, ces assortiments de jouets et de déchets sont carrément enchainés avec des tiges de fer comme si elles avaient été torsadées par la poigne d’un géant. On mesure ainsi la force hors du commun de leur auteur. Bellucci était dit-on capable d’arracher radiateurs et robinets lors de ses accès de violence. Ce qui lui causait de graves blessures aux mains, et justifiait, alors, sa contention lors de ses premières hospitalisations.
Toutefois cette brutalité, présente dans les assemblages, est nuancée par le choix des objets, et de leurs coloris. Bellucci affectionne tout autant les jouets en peluche que le chromatisme clinquant des T Rex et autres dinosaures qu’il se fait un malin plaisir d’étrangler.

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L'épigénétique, la nouvelle biologie de l'histoire individuelle ?

Dans Revue française des affaires sociales 2013/1-2, pages 21 à 31




L
es auteurs, respectivement neurobiologiste et neuroendocrinologue, proposent ici des éléments de réponses aux questions que posent les travaux qui impliquent l’épigénétique.


Depuis le milieu du xixe siècle, la biologie est convoquée pour expliquer la transmission d’une génération à l’autre des traits de caractères et des pathologies mentales. 
Le célèbre aliéniste Bénedict Augustin Morel développa en 1857 la théorie de la dégénérescence. Pour lui, par exemple, un « crétin des Alpes » était le dernier rejeton d’une longue lignée d’individus de plus en plus dégénérés. Confronté à l’hypothèse (correcte) selon laquelle cette débilité serait due à un manque d’iode, il la rejeta comme absurde. L’avènement de la biologie moléculaire il y a une trentaine d’années, puis le séquençage du génome humain, ont suscité de grands espoirs pour l’identification des facteurs génétiques influençant les pathologies mentales. Les découvertes initiales ont souvent été relayées de façon exagérée par certains médias. En réalité, les études de génétique quantitative montrent maintenant que l’influence des gènes varie de faible à modérée selon les pathologies mentales et les familles. 
De plus, la plupart des troubles mentaux sont hétérogènes et de multiples gènes ainsi que de nombreux facteurs environnementaux sont impliqués dans leur étiologie. Ceci se traduit par un effet faible de chaque gène pris individuellement et par une interaction forte entre gènes et environnement (Sonuga-Barke, 2010). Tant du point de vue du diagnostic que de la recherche de nouveaux traitements, ces observations sont donc d’une portée limitée (Evans et al., 2011 ; Gonon, 2011), mais elles pourraient tout de même permettre de préciser certains mécanismes neurobiologiques impliqués dans ces pathologies.

Modalités d’attribution de mesures nouvelles en psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent pour l’année 2020

Logo et charte graphique de l'ARS Ile-de-France | Agence régionale de santé  Ile-de-France
31 août 2020
Enfants en classe
Accroche

Un renforcement des ressources allouées à la psychiatrie périnatale, de l’enfant et de l’adolescent a été réalisé en 2019. Ce dispositif est reconduit en 2020 pour un montant national de 20 M€.

Corps de texte
Les crédits nouveaux alloués en 2019 ont permis de financer 35 projets qui portaient notamment sur la création ou le renforcement de lits d’hospitalisation temps plein dans les territoires sous-dotés, de places de crise ou post-crise, de places d’hospitalisation de jour ou de nuit et de dispositifs de soins conjoints parents-bébé. Les projets ont également concerné le développement de l’ambulatoire à travers le renforcement des CMP et la création d’équipes mobiles.
Cette disposition est reconduite en 2020. Une instruction en date du 23 aout 2020 fixe ainsi les modalités d’attribution des mesures nouvelles en psychiatrie de l’enfant et l’adolescent pour l’année 2020.

Appel à projets - Fonds d’innovation organisationnelle en psychiatrie 2020 (FIOP 2020)

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31 août 2020
Image appels à projets
Accroche
Le fonds d’innovation organisationnelle en psychiatrie a vocation à permettre de financer ou d’amorcer de nouveaux projets innovants de prise en charge ou de transformation de l’offre de soins en psychiatrie.

Corps de texte
Dans une optique de financement de projets innovants de prise en charge ou de transformation de l’offre de soins en psychiatrie, les projets peuvent relever d’accompagnements ponctuels pour faciliter la transition vers de nouvelles pratiques organisationnelles, ou d’une démarche d’initiation du changement dans la durée, en lien avec les dynamiques territoriales des projets territoriaux de santé mentale (PTSM).