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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 26 août 2019

Serge Niquette: captiver et démystifier la psychothérapie

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FRANÇOIS HOUD   26 août 2019

QUEBEC
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TROIS-RIVIÈRES — Originaire de Drummondville mais Nicolétain d’adoption, Serge Niquette s’est fait connaître dans la région comme journaliste à la télé de Radio-Canada pendant quelques années avant de se réorienter vers la psychologie clinique au tournant du siècle. Il ajoute aujourd’hui une nouvelle corde à son arc en publiant un tout premier roman intitulé L’étreinte de la Vénus de Milo.


Non, mon fils n’est pas impoli, il est autiste et nous faisons de notre mieux

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Par Laura McKenna   25/08/2019 


Parce que son autisme ne se lit pas sur son visage, les inconnus le jugent rapidement et injustement et, avec lui, notre rôle de parents.



CAVAN IMAGES VIA GETTY IMAGES
Laura McKenna avec son fils, dont le handicap est invisible.

Au-dessus de l’Atlantique, sur un vol American Airlines entre Heathrow et JFK, une hôtesse, après avoir expédié nos dîners de boulettes de viande réchauffées au micro-ondes, a demandé à mon fils s’il voulait boire autre chose. Il jouait à Tetris sur l’écran individuel du siège et ne lui a prêté aucune attention. 
Je n’ai pas tout entendu mais j’ai relevé la tête et croisé le regard noir de l’hôtesse quand elle s’est exclamé à voix haute: “Tu n’es pas très poli!” 
J’ai prononcé la phrase que j’utilise à chaque fois que Ian offusque involontairement des inconnus: “Mon fils est autiste. Nous essayons d’être compréhensifs.” 

Marcel Rufo : «Lire, c’est une chance d’aller mieux»

"A l'intérieur", la bonne surprise de la rentrée sur France 2

Lundi 26 août 2019

Une série policière française servie par un casting réjouissant et des images très soignées. Enquête en six épisodes sur un meurtre commis dans une clinique psychiatrique. Avec Béatrice Dalle, Hippolyte Girardot, Noémie Schmidt.

Je me suis dit qu'on avait besoin de légèreté et de sourire pour la première de cette nouvelle saison, alors je vous propose une histoire de meurtre dans un hôpital psychiatrique. Une jeune femme a été retrouvée morte, le cœur arraché et son cœur a disparu. C'est sympa, non? Les deux premiers épisodes de "A l'intérieur" sont diffusés ce lundi 26 août sur France 2. Blague à part, cette nouvelle série policière française est une très bonne surprise. Mini-série plutôt, puisqu'il y a six épisodes au total. 

Béatrice Dalle dans la peau d'une flic

Un suspens efficace, des images très soignées (le réalisateur, Vincent Lanoo, est parvenu à installer une atmosphère singulière qui permet de s'attacher à tous les personnages). Quant au casting, il est aux petits oignons. Le formidable Hippolyte Girardot incarne le directeur de la clinique et Béatrice Dalle la commandante de police. Eh oui, Béatrice Dalle en flic ! Un choix surprenant mais franchement bien vu. 


Saint-Sever-du-Moustier fait la part belle au stylo à bille

Publié le 

Les soins psychiatriques passent à la réalité virtuelle en Chine

Des centaines d'études ont indiqué des bénéfices avec la réalité virtuelle dans le traitement de certains troubles mentaux

dolphfyn / Shutterstock.com

Actuellement, la Chine connaît de nombreuses difficultés dans le domaine des soins psychiatriques entre la pénurie de professionnels qualifiés, la saturation des services psychiatriques et la mauvaise influence culturelle encore omniprésente. Toutefois, cette situation critique pourrait bien changer grâce à la réalité virtuelle. En effet, plusieurs entreprises technologiques dans le pays suggèrent désormais des applications de soins psychiatriques utilisant la réalité virtuelle aux patients.

COMMENT ÇA MARCHE ?

Les applications de soins utilisant la réalité virtuelle vont faire immerger le cerveau des patients – leur corps étant bien en sécurité dans le cabinet d’un thérapeute – dans des simulations très réalistes pour les aider à affronter leur phobie, leur traumatisme et soigner leur addiction.
Par exemple, un ancien combattant d’Afghanistan, souffrant de stress post-traumatique, visitera virtuellement le champ de bataille en Irak ; une personne alcoolique va se retrouver dans un bar virtuel sans boire et une personne qui a peur de l’avion va faire l’expérience virtuelle d’un décollage et d’un atterrissage tout en restant fermement au sol.

Dépression : comment gérer la situation avec son enfant lorsque l’on en est atteint ?

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Le 23 août 2019 

La dépression est une maladie mentale qui touche tous les âges. Une personne sur cinq en a souffert ou en souffrira au cours de sa vie. Il existe neuf symptômes caractéristiques cités par l’Inserm. Parmi eux : une tristesse quasi-permanente, une perte d’intérêt, un sentiment de dévalorisation, des idées de mort ou de suicide, un ralentissement psychomoteur, une fatigue, une perte d’appétit, des troubles du sommeil et des difficultés d'attention.
Pour que le diagnostic de dépression puisse être posé, le patient doit présenter au moins cinq de ces signes dont obligatoirement l’un des deux premiers de la liste et ce presque tous les jours depuis au moins deux semaines. Un décès, une perte d’emploi, une séparation, des traumatismes peuvent être des facteurs de risque, bien qu’il arrive que certains patients n’aient aucun motif apparent.

Comment l’enfant ressent la dépression de son parent

Lorsqu’un parent est en dépression, il est difficile de faire bonne figure au quotidien devant son enfant. D’autant plus qu’il remarque les changements apparents : son père ou sa mère perd de la motivation, est irritable, de mauvaise humeur "Les plus jeunes sont très sensibles aux émotions. Ils sont vigilants face aux odeurs, aux mouvements, aux gestes, et ressentent quand un membre de leur entourage est triste", décrypte Dr. Stéphane Clerget*, pédopsychiatre.

samedi 24 août 2019

Chez soi ou en EHPAD : vieillir dans la dignité

GRAND REPORTAGE par Aurélie Kieffer et Maxime Fayolle
24/08/2019
54 MIN

Aujourd'hui, la part des personnes âgées de 75 ans et plus représente 9% de la population. Elle passera à 15% d'ici 2040. Le défi démographique de la vieillesse, mais aussi de la perte d'autonomie, sont immenses. A ces questions s'ajoute celle des moyens conférés à ce secteur.
Atelier de discussion dans un EHPAD proche de Montpellier
Atelier de discussion dans un EHPAD proche de Montpellier Crédits : Guillaume Bonnefont - Maxppp
La question du grand âge représente un véritable défi pour les décennies à venir. La génération du "baby boom" arrive à la retraite et se pose alors une équation mathématique complexe : en 2050, près de 5 millions de personnes auront 85 ans ou plus. C'est à cet âge en moyenne que les personnes font leur entrée en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Selon des chiffres de fin 2017, la France dispose de 7 573 établissements qui accueillent plus de 600 000 résidents. 
EHPAD : les chiffres clés
EHPAD : les chiffres clés Crédits : AFP
A cette question du grand âge s'ajoute celle de la perte d'autonomie. Si en 2017, on recensait 1,3 million de personnes dépendantes, elles seront 2,2 millions en 2050. Les besoins humains et donc financiers vont donc être d'autant plus importants.
Le rapport de Dominique Libault remis le 28 mars 2019 (consultable ici) à la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, est très clair sur l'urgence qui entoure cette question du grand âge et sur les moyens financiers qu'elle va nécessiter à l'avenir. Ainsi, Dominique Libault, qui est aussi président du Haut conseil au financement de la protection sociale, écrit dans son rapport : 
Nous n’avons pas le temps d’attendre, c’est un luxe qui ne nous est pas donné. Il faut remettre les montants nécessaires au regard de l’ensemble des masses financières de la protection sociale dont la perte d’autonomie doit être reconnue comme un risque à part entière.
Il formule 175 propositions pour permettre une meilleure qualité de vie des personnes âgées. Huit priorités se détachent : parmi elles, le libre choix du maintien à domicile est primordial.

L’acupuncture est-elle efficace ?

LES IDÉES CLAIRES par Nicolas Martin
17/08/2019
9 MIN

Les idées claires |Les bienfaits de l'acupuncture sont-ils prouvés ? C'est la question au cœur des Idées Claires, notre programme hebdomadaire produit par France Culture et Franceinfo destiné à lutter contre les désordres de l'information, des fake news aux idées reçues.
Plébiscitée par des stars comme Meghan Markle pendant sa grossesse,  l'acupuncture a commencé a franchir les portes des hôpitaux en France. Il existe aujourd’hui des formations reconnues et dispensées dans les facultés de médecine.
Cette pratique chinoise ancestrale est de plus en plus sollicitée comme médecine douce ou complémentaire, mais son efficacité a-t-elle été prouvée scientifiquement ? Et pour quelles maladies est-elle préconisée ? 
Nous avons demandé à Caroline Barry, chercheuse et méthodologiste à l’Inserm, de nous éclairer sur ces questions.

Triste ou dépressif, turbulent ou hyperactif ? Pourquoi le normal devient pathologique

ÉCOLE NORMALE SUPÉRIEURE
CONFÉRENCES

Des phénomènes considérés comme normaux finissent par se retrouver dans le registre du pathologique et être traités comme tels. Le deuil ou les colères enfantines en témoignent. La tristesse devient dépression, l’enfant turbulent souffre d’hyperactivité. Les bords flous du normal et du pathologique.
Pourquoi le normal devient pathologique
Pourquoi le normal devient pathologique Crédits : Jessica Neuwerth Photography - Getty

La ligne de démarcation entre normal et pathologique paraît facile à tracer lorsqu’elle repose sur des indications physiologiques. Mais dans le domaine psycho-cognitif où n’existent ni norme, ni mesure malgré le développement de multiples échelles, la ligne de démarcation est difficile à tracer ; il y a de nouvelles entités pathologiques et de nouveaux critères diagnostiques.
[...] Une conférence enregistrée en 2016.
Ali Benmakhlouf, professeur de philosophie arabe et de philosophie de la logique. Il enseigne actuellement à l’Université de Paris Est Créteil Val de Marne et à Sciences Po Paris. Spécialiste de logique et des œuvres de Frege, Russell et Whitehead, il organise par ailleurs des colloques au Maroc dans le cadre de la convention entre le Collège international de philosophie et la Fondation du roi Abdul Aziz pour les sciences humaines et les études islamiques.

Maman d'un fils psychotique

E
n tant que maman d’un fils psychotique, il m’a été demandé de parler des psychiatres, de dire ce que je pense des psychiatres !

2
Il est vrai que j’ai beaucoup à dire puisque, malheureusement, je les fréquente en raison de la maladie de mon fils qui a déclaré une schizophrénie en 1994 à l’âge de 22 ans. Il a maintenant 33 ans. J’ai retrouvé dans mon ordinateur la lettre que j’ai adressée à son psychiatre, son soignant de 1994 à 1996, pour lui exprimer tout mon ressentiment à son égard. Je ne lui pardonnerai jamais ce gâchis de deux ans !

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Il est vrai que la psychiatrie évolue toujours. Que les psychiatres ces dernières années se sont remis en question. Mais pas tous, loin de là ! C’est ainsi qu’il existe toujours le psychiatre qui refuse de rencontrer les parents de malade psychique. Je répète les paroles d’un excellent psychiatre lors d’un congrès : « Si un psychiatre ne veut pas rencontrer les parents, quittez-le, ce n’est pas un bon psychiatre ! » Toutes les revues qui traitent de psychiatrie parlent d’« alliance thérapeutique patient-psychiatre-parents ». Bien sûr qu’en premier, l’alliance doit exister entre le patient et son psychiatre. N’est-ce pas au psychiatre de donner les explications sur la maladie à son patient ? Quelle qu’elle soit et même si ce n’est pas facile à dire. Surtout quand elle s’appelle « schizophrénie » ou « maniaco-dépression ». Certains patients sont soignés pendant des années sans que le nom de la maladie soit prononcé ; on tourne autour du pot en évoquant « psychose », « délire », « bouffées délirantes »… N’est-ce pas au psychiatre de donner le nom de la maladie à son patient ? Comment respecter un psychiatre qui n’ose pas expliquer une pathologie, qui se contente de distribuer des neuroleptiques à chaque consultation qui ne dure que cinq à dix minutes ? N’est-ce pas au psychiatre d’expliquer la raison du changement de traitement si le patient doit changer de neuroleptiques ou s’il doit augmenter ou baisser la dose ? N’est-ce pas au psychiatre de l’avertir des effets secondaires des médicaments indispensables ? N’est-ce pas à lui d’expliquer que s’il arrête les médicaments, même quand il va bien, il va rechuter dans les mois qui suivent ? Et ne pas hésiter à le répéter « n » fois ? Répéter. Répéter. Le patient manipulateur comprend mais sait aussi faire semblant de ne pas comprendre et au premier effet secondaire il arrête son traitement pour replonger dans ses délires. Ou tout simplement, il n’ira pas à la consultation en disant qu’il a « oublié » le rendez-vous. Or tous nos malades sont tout à fait capables de comprendre. Ne sont-ils pas tous intelligents, voire très intelligents ? Les effets secondaires des neuroleptiques (qui existent dans n’importe quel médicament : on le sait, aucun médicament n’est parfait puisqu’il détraque une autre partie du corps) sont importants ; entre autres, les effets parkinsoniens et la prise de poids sont des causes de non-prise de médicaments. Ces problèmes ont été largement soumis à tous les laboratoires qui doivent travailler sur l’amélioration des effets secondaires. Mais ce n’est pas l’objet du débat ici. Ce n’est pas à notre niveau que nous réglerons les enjeux économiques des laboratoires !


Talons au travail : la haute lutte des femmes

Emblème d’une féminité et d’une élégance stéréotypées, accessoires inconfortables, voire douloureux, les talons hauts sont encore fréquemment imposés aux femmes sur leur lieu de travail. Une injonction qu’elles sont de plus en plus nombreuses à dénoncer.
Par   Publié le 23 août 2019
Dans un quartier d’affaires de Tokyo, en juin.
Dans un quartier d’affaires de Tokyo, en juin. KIM KYUNG HOON / REUTERS
C’est un rituel de fin d’été : troquer tongs, nu-pieds et autres spartiates pour ce que Mélanie (la plupart des femmes interrogées ont requis l’anonymat), Parisienne de 37 ans, appelle ses « chaussures de boulot ». Dans un ballet bien ordonné, sandales à talons, escarpins perchés, boots surélevées regagnent les premiers rangs des placards. « Je triche un peu en m’autorisant du compensé pendant les dernières semaines d’août, où on est encore en mode relax au boulot, avoue cette cadre commerciale d’une grande banque d’affaires. Le vrai signal de la rentrée, c’est quand je renfile mes souliers fins. Dans mon métier, ma crédibilité passe beaucoup par le look, les talons en font partie. »

Pourquoi les médecins doivent-ils faire le deuil de leurs patients

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Shelly Reese    2 août 2019

Chicago, Etats-Unis Le Dr Whitney Yougynécologue-obstétricienne (Northwestern University's Feinberg School of Medicine, Chicago) se rappelle qu’elle fixait du regard la petite fille allongée sur la table de réanimation de l’unité néonatale de soins intensifs. « Elle n'était plus en vie et je ne pouvais pas m’arrêter de pleurer ». Pour la première et unique fois de sa carrière, elle n'a pas pu finir sa visite.
Bien qu'elle ait perdu des bébés auparavant et que l'expérience ait été invariablement déchirante, cette perte était plus profonde, plus personnelle. Le Dr You avait été proche de la famille durant la grossesse à haut risque de la mère et elle avait elle-même accouché récemment. Elle comprenait les espoirs et rêves perdus de la famille et son immense douleur. « Une assistante sociale est entrée et m'a dit : « Je pense qu'émotionnellement, la situation est trop sensible pour vous pour l'instant, » se souvient Whitney You.

vendredi 23 août 2019

Traitée pour schizophrénie, Thérèse souffrait en réalité d’une maladie rare

 :

publié le 

Thérèse Fournier a subi huit ans d’errance diagnostique avant de se voir diagnostiquer une maladie de Cushing. Dans un livre, elle raconte son calvaire.

Traitée pour schizophrénie, Thérèse souffrait en réalité d’une maladie rare

"Quand on m’a finalement diagnostiqué une maladie de Cushing, je pense que ma durée de vie se comptait en semaines" se rappelle Thérèse Fournier. La chanteuse et compositrice, qui a notamment fait les premières parties de Sansévérino et d'Anaïs, ressent les premiers symptômes de la maladie en 2011. Mais ils sont très vite confondus avec une dépression délirante par les psychiatres. S’ensuivent huit ans d’errance diagnostique, pendant lesquels la maladie et les traitements inadaptés ruinent sa santé physique et mentale.


Alzheimer : une nouvelle théorie pour expliquer la maladie

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  Julien Hernandez    Publié le 23/08/2019

La théorie dominante actuelle pour expliquer la maladie d'Alzheimer est que l'accumulation de protéines Tau et amyloïdes, que l'on observe dans le cerveau chez tous les malades, est la cause de la dégénérescence progressive et de la mort des neurones. Mais depuis quelques années, cette théorie en tant qu'explication exhaustive du mécanisme de la maladie est remise en question. Une nouvelle théorie vient peut-être aider à la compréhension de la pathogenèse complexe de cette maladie, malheureusement si fréquente.

[...] Une histoire de chimie invisible

Les scientifiques de l'université de Californie Riverside, à l'origine de l'étude, partent de ce constat d'échec de la théorie dominante pour expliquer Alzheimer. « La théorie dominante, basée sur l'accumulation de protéines bêta-amyloïde existe depuis des décennies et des dizaines d'essais cliniques fondés sur cette théorie ont été tentés, mais ils ont tous échoué », rappelle Ryan R. Julian, professeur de chimie qui a dirigé l'équipe de recherche.

Illustration du processus nommé autophagie. © Kateryna_Kon, Fotolia
Illustration du processus nommé autophagie. 
© Kateryna_Kon, Fotolia 

Cette équipe de chercheurs s'est donc concentrée sur un phénomène qui précède l'accumulation des protéines amyloïdes : l'obsolescence et l'accumulation des lysosomes (nos « centrales de recyclage » cellulaires). « Les neurones - des cellules fragiles qui ne subissent pas de division cellulaire - sont sensibles aux problèmes lysosomaux, notamment au stockage lysosomal, que nous rapportons être une cause probable de la maladie d'Alzheimer », affirme Ryan R. Julian.