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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 25 juillet 2019

ALÈS Le Comité de défense de l’hôpital d’Alès dénonce la triste réalité des urgences

Objectif Gard
Tony Duret   22 juillet 2019

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Avant le Tour de France demain, les membres 
du Comité de défense de l'hôpital public 
Alès-Cévennes ont déplié leur banderole 
devant la sous-préfecture à Alès. 
Photo Tony Duret / Objectif Gard

Lundi matin, en portant à bout de bras une banderole « Urgence aux urgences », le Comité de défense de l’hôpital public Alès-Cévennes a fait part de son inquiétude concernant la situation critique des urgences, mais aussi celle de la psychiatrie.

Depuis la création du comité de défense de l’hôpital d’Alès, il y a 21 ans, plusieurs combats ont été menés dont celui du maintien de l’hôpital d’Alès. « Une grande victoire. Notre pétition avait récolté 36 000 signatures », se souvient le président, Jean-Louis Fiole. Deux décennies plus tard, si le combat a changé, le président affiche toujours la même détermination quand il évoque la situation des urgences d’Alès.

Déremboursement de l’homéopathie : la science a ses raisons que la raison ignore.

En préambule, je n’ai jamais prescrit ni avalé un seul granule. Je ne suis donc qu’un observateur extérieur non directement concerné, mais soucieux du bien-être de chacun et de l’économie en général.
Loin de moi l’idée de contester les arguments scientifiques qui ont prévalu à cette décision, mais cette décision de la HAS, du Ministre, du Président n’est basée que sur la théorie scientifique, elle ignore l’humain et l’économie. Grosses erreurs dont vont pâtir certains.
On oublie qu’il y a 2 choses différentes : la maladie, et les symptômes. Si l’homéopathie n‘agit pas sur le premier, est-on sûr qu’elle n’agit pas du tout sur le second ? Et que demande le patient en premier lieu ? Etre soulagé. Le comportement du cerveau, la réaction de chacun face aux symptômes, partie visible et ressentie par le patient, ne peut être une chose scientifiquement expliquée. La science n’est pas capable de nous expliquer pourquoi dans les études en double aveugle, les placebos ont une action non négligeable. Pire comme j’ai pu le constater en faisant des études phase 3, les effets secondaires du placebo sont souvent les mêmes que ceux rencontrés avec le principe actif ! Mystère inexplicable, surtout quand les patients n’ont pas pu lire de notice décrivant ces effets les plus fréquents.

Intelligence artificielle : pourquoi le CHU de Lille mise sur l'exploitation des données massives en santé

PAR GÉRALDINE LANGLOIS  
- PUBLIÉ LE 22/07/2019

Crédit photo : S. Toubon
Le projet INCLUDE (pour « INtegration Center of the Lille University hospital for Data Exploration »), qui vise à offrir aux chercheurs et aux décideurs hospitaliers des outils de recherche, d'observation et d'analyse novateurs des données de santé, prend forme.

Pour ne plus être « corvéables à merci », des généralistes se tournent vers une appli de visites à domicile

PAR GUILLAUME BOUVY  
PUBLIÉ LE 22/07/2019

Crédit photo : Phanie
Lancée en 2018 par un anesthésiste lyonnais, le Dr Michael Loeb, l’application Docariv – comme ses concurrentes Docadom, Medadom ou Mediveille – met en relation un patient et un médecin par la géolocalisation et privilégie la visite à domicile plutôt que le passage aux urgences.

lundi 22 juillet 2019

Une revue & Un site de réflexions thématiques

pratiques



Dernier numéro
Pratique N° 86 Soigner : entre vérités et mensonges
Juillet 2019


…quel est l’objet de la psychiatrie ?

pratiques


N°84 - janvier 2019

        1. Où va la psychiatrie ? Soit. Mais d’abord, c’est quoi, la psychiatrie ? Il faut bien commencer par s’entendre sur ce dont on parle.
          Ou, dit autrement…
          …quel est l’objet de la psychiatrie ?
Quand j’ai commencé à travailler en psychiatrie, le 1er avril 1975, successivement dans trois secteurs de psychiatrie générale gérés par un hôpital général, les deux premiers de grande banlieue parisienne, le troisième de moyenne banlieue parisienne, les patients étaient plus souvent adressés qu’ils ne s’adressaient, et présentaient, dans un ordre quantitativement décroissant, pathologies psychotiques, névrotiques dans un contexte social défavorisé, troubles de la personnalité sévères, troubles du comportement liés à l’usage de substances toxiques (addictions) et/ou bousculant l’ordre social (psychopathies ; au passage, on n’entend plus guère parler de ce diagnostic, ce serait intéressant de revenir là-dessus). Il y avait moins de psychiatres dans les hôpitaux et en libéral – d’autant moins à mesure que l’on s’éloignait des villes universitaires, ça, ça n’a pas beaucoup changé –, et moins de cliniques privées, qu’aujourd’hui. Devenu praticien hospitalier, j’ai émigré dans le territoire le moins peuplé de France – où ont vécu la Bête, dans le Nord, et les camisards, dans le Sud –, avec deux brèves oscillations dans un département pyrénéen et « oriental », pour finir dans le Quercy. Mais malgré l’éloignement de la ville, et après tout peut-être du fait de celui-ci peu propice à l’augmentation du nombre des praticiens hospitaliers, des libéraux et des cliniques (exception faite pour ces deux dernières catégories du département méditerranéen, dont l’héliotropisme ne parvenait toutefois pas à compenser le faible niveau de revenus de la population), la file active (le nombre de patients suivis) augmentait continûment, et la palette des pathologies s’élargissait des états dépressifs névrotiques, et surtout des « souffrances psychosociales », voire des affaires se résumant à une plainte atypique ou à l’impossibilité pour les médecins somaticiens de la penser.
Même si mon orientation, enfin celle qu’on m’avait apprise, était de considérer que le travail du psychiatre est de proposer des soins aux fous, et, psychiatre public, aux plus damnés d’entre eux – par la misère, le sort, la malédiction, les sorts –, c’est-à-dire les malades mentaux, force m’a été faite ensuite de considérer d’autres souffrances, plus raisonnables qu’insensées, voire plus sociales que mentales, chez ces personnes qui prenaient rendez-vous au centre médico-psychologique ou m’étaient présentées aux urgences. Alors, comme le secteur psychiatrique se rapprochait de la population, la « santé mentale » s’imposait, la nosographie psychiatrique se modifiait, les troubles ont pris le dessus sur les maladies. Maladie et/ou trouble, mental ? Qu’on pourrait aussi formuler : maladie mentale et/ou trouble psychique ?
Mais c’est quoi, ces maladies mentales ? Quel organe en est atteint ? Le cerveau ? Ou l’intestin ? Voire maintenant les chromosomes ? À moins qu’il ne s’agisse d’une intoxication au chlore (ou à n’importe quel autre produit, il n’en manque pas) ? Bon, celui qui voit des entités le menacer, ou qui entend des voix malfaisantes, c’est peut-être le cerveau – celui-ci est bien sûr impliqué dans la perception –, mais n’est-il pas un peu court de limiter la production d’une interprétation, c’est-à-dire une pensée du monde, de ce qui survient, et par exemple d’une perception, à des réactions chimiques ? Et celui qui pense qu’on veut sa peau, ou celui qui est triste et veut mourir ? Les idées, les sentiments, c’est génétique ? Bien entendu, puisque c’est un être qui les produit, et un être, c’est construit à partir des chromosomes. Mais ce que produit un homme n’est pas déterminé par ses gènes.

Pratiques N°85 Réhumaniser le soin en psychiatrie et ailleurs...

pratiques

N°85 - avril 2019


Après un constat plutôt douloureux de la situation de la psychiatrie en France, comme dans tous les secteurs de la santé, nous avons essayé d’imaginer différentes façons de réhumaniser les conditions de soin, niées par une idéologie managériale et budgétaire démobilisatrice. 

Comment retrouver le souffle et le courage de résister à ce qui opprime comme jamais les soignants et, par conséquent, compromet gravement la qualité des soins qu’ils doivent aux patients ?


Il ne s’agit pas de tout réinventer, il y a déjà de belles initiatives à défendre et à faire connaître, mais peut-être est-il nécessaire de retrouver l’essence même du soin, d’aller un peu plus loin, voire ailleurs, et oser l’utopie bienfaisante et créatrice sans laquelle il ne saurait y avoir de progrès. Au point où nous en sommes, il n’y a qu’en sortant des barbelés mortifères que nous pouvons espérer réenchanter les métiers du soin et répondre à leurs missions qui, elles, n’ont pas disparu.

Comment décloisonner, recomposer l’organisation et les pratiques du soin, mais aussi de tous les champs annexes (éducation, social…), et repartir des réalités des personnes, du présupposé de leur intégrité corps psyché ? Comment tenir compte des contraintes qu’elles subissent et de la souffrance qu’elles expriment, dont personne ne se soucie sauf lorsqu’elles la décompensent et qu’elle devient un diagnostic digne d’intérêt, voire d’intérêts, pour la machine à soigner ?

En ces temps de saucissonnage à l’extrême de l’individu en pathologies d’organes, handicaps, dysfonctions, désadaptations, déstructurations et autres inadaptations à la folie du monde, la question de l’affirmation de nos différences et la reprise en main de nos destins se pose comme jamais.

Face aux rêves de maîtrise de certains croyants de la neuroscience-fiction, des partisans de la performance de nos cerveaux « augmentés » et de ceux qui espèrent en tirer profit, nous ne pouvons continuer à taire nos aspirations. Nous voulons vivre selon nos propres idéaux et retrouver des manières de « faire société » qui aident les personnes à tenir face à l’adversité au lieu de les exclure.

La destruction de pans entiers de la psychiatrie, mais aussi la transformation forcée des lieux de soin en systèmes de réparation organique ambulatoires, sans accompagnement ni suivi sérieux, provoque la démobilisation, voire la démission des professionnels les plus engagés. Usés, dégoûtés ou encore pire… complices, les acteurs du soin répondent de moins en moins aux besoins.



Des femmes brutes



Anna Zemankova, Fleur électrique, 1960-65
Plusieurs expositions autour de l’art brut vues en ce début d’été; j’écrirai plus tard sur Dubuffet à Marseille et sur Photo Brut à Arles. Mais d’abord une exposition vue à Vienne(finie depuis le 23 juin) sur les femmes artistes brutes. Dès l’entrée, la question est posée : y a-t-il une spécificité féminine dans l’art brut ? Y a-t-il une histoire différente, un style différent, des méthodes différentes ? Quand on sort de l’exposition, force est de répondre non à ces questions (à une exception près, que je vais analyser plus bas) : au-delà des histoires personnelles, guère de différences, ni dans les pathologies créatrices et les mythologies individuelles, ni dans les approches suivies (la broderie, par exemple, n’est en rien une affaire de femmes exclusivement).
Aloïse Corbaz, Dans le riche manteau du Bon-Enfant, 1941-1951, Solothurn
Cette exposition est surtout l’occasion de voir un grand nombre d’oeuvres intéressantes, souvent peu connues, mais hélas organisées de manière assez absurde : les commissaires ont chosi d’agencer l’exposition essentiellement en fonction des collectionneurs et des collections d’où proviennent les oeuvres (Dubuffet / Lausanne, l’Aracine / Villeneuve d’Ascq, Navratil / Gugging, Morgenthaler / Berne, Prinzhorn / Heidelberg, …), mais elles n’ont pas fait pour autant une analyse critique des collectionneurs et curateurs (excepté, un peu, pour Navratil). Ce ne semble être qu’une facilité de présentation, à moins que ce ne fut une exigence des prêteurs. Seules quelques salles se déprennent de cette logique et ont un thème (l’Asie, les médiums, les « louves solitaires »), mais en général assez peu approfondi. C’est fort dommage, non seulement parce qu’on retrouve parfois la même artiste en différents lieux (c’est ainsi le cas d’Aloïse Corbaz, de Madge Gill, de Judith Scott), mais surtout parce qu’on aurait aimé une présentation moins paresseuse, selon des réflexions plus thématiques, que ce soit sur les sujets abordés (la sexualité, l’identité), sur les éventuelles pathologies ou sur les techniques utilisées.

Julia Krause-Harder, Nanotyrannus, 2013, Atelier Goldstein
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Santé mentale et toxicomanie : de plus en plus de patients se retrouvent en prison

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17 juillet 2019 

MONTREAL

Santé mentale et toxicomanie : de plus en plus de patients se retrouvent en prison

Getty Images/Thn Phl Pelng Phiw / EyeEm

Au micro de Dan Bigras mercredi, Benoit Côté, du Programme d’encadrement clinique et d’hébergement (PECH), a dénoncé le fait que de plus en plus de patients aux prises avec des problèmes de santé mentale et de toxicomanie se retrouvent en prison pour recevoir des soins adéquats.


Le pédopsychiatre, un apprenti sorcier ?

Publié le 19/07/2019



Depuis une dizaine d’années, les prescriptions de neuroleptiques en pédopsychiatrie ont « largement augmenté » dans plusieurs pays, et notamment pour « d’autres indications que les troubles schizophréniques », domaine initial des anti-psychotiques. Dans ce contexte où une étude confirme que les psychotropes constituent « la classe de médicaments la plus prescrite en pratique pédiatrique en Australie », des auteurs des universités d’Adélaïde et de Brisbane (Australie) s’inquiètent de cette banalisation, d’autant plus que des travaux de psychiatrie adulte et des recherches sur des « animaux juvéniles » (rats et singes) montrent que la prise d’anti-psychotiques peut être associée à une atrophie cérébrale. Par exemple, après 17 à 27 mois d’exposition à un neuroleptique de première ou de seconde génération, des macaques subissent une « perte significative de leur masse cérébrale » : environ -10 %, comparativement à des congénères sous placebo. Si « toutes les régions principales du cerveau » peuvent être affectées par cette réduction, « les changements les plus significatifs sont observés dans les lobes frontaux et pariétaux.»

Saint-Lizier. Psychiatrie : l'art est désormais au service de la thérapie

Publié le 
Le docteur Nicole Beydon dirige le pôle psychiatrique du centre hospitalier Ariège-Couserans. Elle concède que, «la maladie mentale a toujours fait peur». Raison pour laquelle, «avant, les asiles étaient placés à l'extérieur des villes car on pensait que la folie était contagieuse». Cependant, des décennies plus tard, et même si les hôpitaux psychiatriques se sont rapprochés des hypercentres, l'image que se fait la société n'a pas réellement évolué.
«Aujourd'hui encore, nous ne comprenons pas la maladie. La science peine à l'expliquer et l'humain a, par nature, peur de ce qu'il ne comprend pas», indique Nicole Beydon, assise à son bureau ayant vue sur l'immense parc arboré où les patients vont en promenade.
Des soignants et des associations ont décidé de réagir pour que la vie des patients, comme celle de leur famille, soit apaisée.
Une émission de radio a été créée. Dans «La Soupape enchantée», les soignants racontent leur vie en hôpital, les hauts comme les bas, ils détaillent leurs expériences. L'émission, enregistrée un mercredi par mois, est ensuite diffusée sur les ondes du département par le biais de radios associatives. Des malades témoignent, d'autres chantent, le but est clairement de «déstigmatiser la maladie».

Tarbes. La dépression n'épargne pas les personnes âgées

Publié le 




Lors de sa 4e soirée de rencontres interdisciplinaires à destination des professionnels de santé, le CODTS (Collectif pour l'Organisation et la Défense Du Territoire de Santé Psychiatre) des Hautes Pyrénées a abordé la dépression et les troubles cognitifs chez la personne âgée. Un thème qui a suscité un bel intérêt puisqu'une quarantaine de médecins ont répondu à l'invitation d'assister à l'intervention du Professeur Christophe Arbus (chef du pôle psychiatrie au CHU de Toulouse) et du Dr Monika Patacq (CH de Lourdes).
Médecins généralistes, psychiatres, psychologues, gériatres ou encore neurologues ont pu ainsi échanger autour du diagnostic différentiel des troubles de l'humeur de la personne âgée, de la maladie neurodégénérative, du pronostic, des traitements, etc. Un vaste sujet mais surtout un enjeu de santé publique quand on sait que «la dépression touche 3 millions de personnes en France (121M dans le monde) dont seuls 50 % sont diagnostiquées alors même que la mort par suicide, première complication de la dépression, augmente avec l'âge», a pointé le Pr. Arbus, avec une nuance tout de même.

Troubles de l’humeur, troubles de la personnalité : ne les confondez plus

Psychologies

16 Juillet 2019 

Le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux a sorti sa  cinquième itération. Le constat est là: le nombre de troubles mentaux a augmenté. Mais comment les différencier quand certaines maladies ont les mêmes caractéristiques comme c'est le cas de la dépression et de l’anxiété ? 
par Kathryn Fletcher, Postdoctoral Research Fellow, Swinburne University of Technology et Kristi-Ann Villagonzalo, Postdoctoral Research Fellow, Swinburne University of Technology. 
Troubles de l’humeur, troubles de la personnalité : ne les confondez plus
© iStock

Sommaire

La dernière version du manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, le célèbre et très utilisé DSM, inventorie environ 300 troubles mentaux, en augmentation par rapport à la version précédente. 
Ce manuel constitue un guide très utile pour les médecins et les chercheurs, mais il ne permet pas de faire de l’art du diagnostic une science exacte. Et étant donné que les experts eux-mêmes débattent encore de la catégorisation des troubles mentaux, il n’est pas surprenant que des idées fausses au sujet de certaines de ces affections se propagent dans la population.

Marché Mondial 2019 Thérapeutique de la schizophrénie – AstraZeneca, Eli Lilly, GlaxoSmithKline, Johnson Johnson, Alkermes

MANTICORE
NEWS
glamresearch  16 juillet 2019


Notre société fournit une analyse détaillée du marché et des orientations futures du Marché thérapeutique de la schizophrénie. Il se focalise sur des données significatives et déterminantes, ce qui fait de la recherche un outil très important pour les experts, analystes et responsables afin qu’ils aient une analyse prête à l’emploi. Le rapport fournit une analyse extensive sur le développement prévisionnel de la taille du Marché thérapeutique de la schizophrénie entre 2018 et 2025.
Le rapport contient des informations complètes sur les acteurs clés du Marché thérapeutique de la schizophrénie à travers le monde. En outre, il fournit les parts de marché par région, avec le nom de la société, la présentation du produit et leur position sur le Marché thérapeutique de la schizophrénie.De plus, le rapport prend en compte leurs stratégies marketing, les développements clés récents ainsi que la vue d’ensemble des activités. Par ailleurs, le rapport intègre les éléments moteurs de la croissance du marché et les limites de ce marché.