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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

dimanche 19 mars 2023

Interview Margot Déage : «Au collège, la réputation définit l’identité et la valeur d’un adolescent»

par Clémence Mary   publié le 17 mars 2023

Comment se forge une réputation quand on a 13 ans ? Par quels mécanismes devient-on un élève populaire ou bouc émissaire ? La sociologue décrypte la fabrique des rumeurs et des mauvaises images, dont le harcèlement scolaire peut-être une forme ultime.

par Clémence Mary

publié le 17 mars 2023 à 19h46

Fin décembre et début janvier, les suicides respectifs d’Ambre, 11 ans, puis de Lucas, 13 ans, tous deux victimes de harcèlement scolaire ou homophobe, ont remis en lumière l’impuissance publique à endiguer ce fléau. Si les passages à l’acte sont rares, entre 800 000 et 1 million d’enfants seraient victimes chaque année de harcèlement scolaire, selon un rapport du Sénat rendu en 2021. Pour sa thèse, publiée sous le titre A l’école des mauvaises réputations (PUF, 2023), Margot Déage, sociologue à l’université Jean-Jaurès de Toulouse, s’est plongée dans les relations entre collégiens au fil d’une enquête de terrain dans quatre établissements de Paris et d’Ile-de-France. Le collège correspond à un moment de la vie marqué par un grand conformisme et un contrôle social extrême, explique-t-elle. Dans l’entre-soi de l’établissement, les adolescents se jugent entre eux : «Donner son avis en permanence sur les autres alimente les conversations.»

Face à la phobie scolaire, l’éducation nationale désemparée : « Ces élèves ne se sont réellement jamais déconfinés »

Par   Publié le 19 mars 2023

Alors que le nombre d’élèves frappés par des troubles anxieux augmente, infirmières, conseillers d’éducation, enseignants et chefs d’établissement racontent leurs efforts pour mettre en place un accueil personnalisé et éviter la déscolarisation, et leurs difficultés.

Un adolescent suit un cours à l’unité Refus scolaire anxieux du centre hospitalier universitaire de Montpellier, le 31 janvier 2023.

« On bricole »« on patauge »« on bidouille ». Que faire quand un enfant ou un adolescent ne peut plus aller à l’école car l’angoisse est trop forte, quand les parents appellent pour dire qu’ils n’ont pas réussi à le faire sortir de sa chambre ou qu’ils sont arrivés devant le collège ou le lycée mais ont dû faire demi-tour, leur progéniture étant dans l’incapacité de franchir les grilles ? Les professionnels de l’éducation se posent la question régulièrement, avec désarroi.

Si aucune statistique n’est produite par l’éducation nationale, tous constatent une augmentation depuis quelques années du refus scolaire anxieux, autrefois appelé « phobie scolaire », chez leurs élèves de tous âges, tous milieux sociaux et niveaux scolaires. « Au moins un ou deux par classe », estiment des chefs d’établissements.

Fin de vie : 15 ans après le suicide de la Dijonnaise Chantal Sébire, "on en est toujours au même point"

Écrit par François Latour    Publié le 

Chantal Sébire était enseignante et atteinte d'une maladie incurable











Chantal Sébire était enseignante et atteinte d'une maladie incurable • © Archives / AFP


Le 19 mars 2008, Chantal Sébire, une enseignante à la retraite, se suicidait à son domicile de Plombières-lès-Dijon. À 52 ans, elle souffrait d'une forme rare et incurable de tumeur au visage et avait tenu à médiatiser son histoire. 15 ans plus tard, comment la législation sur la fin de vie a-t-elle évolué ?

Chantal Sébire avait tenu à témoigner de sa souffrance, sans espoir d'amélioration de sa santé, et du refus de sa demande d'euthanasie par le tribunal d'instance de Dijon. Puis elle avait décidé de s'éteindre à son domicile, entourée des siens et en toute conscience, en absorbant une dose mortelle de barbituriques, des médicaments sédatifs.

Cette ancienne enseignante qui résidait à Plombières-les-Dijon souffrait d'un cancer incurable des sinus et de la cavité nasale, qui lui déformait le visage et lui causait d'atroces douleurs. Elle témoignait dans ce reportage auprès de France 3 Bourgogne.

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Etude Publicités : à la télé, plus de femmes mais toujours autant de sexualisation

par Sabrina Champenois  publié le 16 mars 2023 

Une étude de l’Arcom pointe des progrès par rapport à 2017 en matière de représentation : désormais, la part des femmes dans la publicité est très proche de la réalité. Pourtant, les stéréotypes et l’objectification persistent. 

Un jour, une publicité pour un parfum montrera un homme en string léopard alangui sur un lit, avec un regard de biche qui papillonne, et ce sera un grand progrès pour l’humanité. Notre prochain masculin expérimentera enfin un truc qui fait partie du quotidien des femmes depuis l’apparition de la réclame. Prenez ce spot pour des parfums Paco Rabanne : «Sur un fond de musique triomphante, un homme fait la course sur une moto à cornes, torse nu avec des tatouages, dans une posture de conquérant, contre d’autres véhicules dans le désert. Il fait exploser l’ensemble des véhicules concurrents. A la fin, une femme est installée derrière lui, en amazone. Elle porte une jupe à paillettes et elle lui caresse le torse de manière lascive». On n’invente rien, c’est l’Autorité publique de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) qui décrit cette caricature cheap de Mad Max, dans une très intéressante «étude sur la représentation des femmes dans les publicités télévisées» publiée le 6 mars.

CODÉTENU DE SOUTIEN, CES PRISONNIERS QUI AIDENT À PRÉVENIR LE SUICIDE EN PRISON

 RMC

CRIME

Le 18/03/2023

Ce mercredi après-midi, un homme âgé de 47 ans s'est suicidé dans sa cellule de la maison d'arrêt de Montbéliard, comme le rapporte L'Est Républicain. La veille, il avait été condamné à trois ans de réclusion criminelle après avoir été reconnu coupable de violences intrafamiliales. L'homme a déjà été condamné à 13 reprises pour des faits similaires, cette nouvelle condamnation aurait été celle de trop pour lui.

"L'interdiction de voir ses enfants et sa femme, c'était très dur à vivre pour lui", a confié son avocat.

En 2021, on dénombrait 122 suicides dans les prisons françaises, ce qui représente un mort tous les trois jours. En moyenne, le nombre de suicide depuis 25 ans reste stable et tourne autour des 110 à 120 suicides par an, comme le rapporte l'Observatoire des Disparités dans la Justice Pénale. Anxiété, addictions, dépression, plus de deux tiers des personnes incarcérées souffrent de troubles mentaux qui peuvent conduire au suicide, comme le révèle l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

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Patients handicapés : des formations en ligne gratuites pour les soignants

PUBLIÉ LE 17/03/2023

Pour accompagner les professionnels de santé amenés à prendre en charge des patients en situation de handicap, la plateforme de cours Handiconnect propose à présent des modules de cours à distance accessibles gratuitement. 

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50% des infirmiers et aides-soignants estiment ne pas pouvoir tenir jusqu'à la retraite

PAR 
PUBLIÉ LE 16/03/2023

Les infirmiers et les aides-soignants considèrent que leurs métiers, caractérisés par des risques physiques plus marqués que la moyenne et des exigences émotionnelles plus fortes, seront difficiles à exercer jusqu'au bout. C'est ce que pointe tout particulièrement une récente étude de la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) sur la pénibilité au travail.


Pourquoi rejoindre l’Association pour le Développement de la Recherche en Soins en Psychiatrie ?

Publié le 

Fin 2022, des professionnel·s engagés dans la promotion de la recherche en soin psychiatrique, mais plus largement, dans l’amélioration et la valorisation des pratiques soignantes, ont créé l’Association pour le Développement de la Recherche en soins en psychiatrie (ADRpsy). Adhérer au projet, pourquoi pas, mais au-delà, concrètement, qu’est-ce que cela va amener au professionnel de santé en psychiatrie ? Réponses à suivre.


Justice des mineurs Six jours avec un juge des enfants : «Nous sommes le dernier rempart pour les protéger»

par Chloé Pilorget-Rezzouk  publié le 17 mars 2023

«Libération» a passé six journées à Niort, auprès d’un juge des enfants, pour observer sa double mission, entre impératif de protection et suivi des mineurs délinquants.

«Comment ça se passe à la maison ? Elle est dans quel état ?»

— Vachement plus propre qu’avant.

— Pourquoi elle n’ouvre jamais les volets, maman ?

— Je ne sais pas.

— Et les chats, vous en avez toujours ?

— Oui, trois sont décédés. On en a encore sept ou huit…»

En cette matinée d’automne, le juge accueille Lila (1), 14 ans, dans son bureau aux murs dépouillés, où figurent quelques dessins. L’adolescente à la bouille ronde et renfrognée s’est assise seule, sur la chaise de plastique noire face à lui. Elle a de petits yeux tristes, une mèche platine dans sa chevelure attachée, et triture ses doigts dépassant d’un sweat noir bouloché sur lequel est écrit en lettres orange «Courageous».

«On m’a alerté sur ta situation et celle de tes frères. Si on se voit aujourd’hui, c’est pour en parler», introduit doucement Cédric Bernardet. Le spectre d’un placement en famille d’accueil plane sur cette fratrie victime de négligence et de carences multiples. Vice-président chargé des fonctions de juge des enfants au tribunal judiciaire de Niort (Deux-Sèvres), le magistrat a été saisi après un signalement au procureur de la République de l’institut médico-éducatif où sont scolarisés ses deux petits frères, 10 et 7 ans, handicapés. Dans le rapport des services sociaux, leur domicile est décrit comme crasseux, sombre, malodorant…

vendredi 17 mars 2023

Interview «Le chemsex est une problématique complexe qui ne souffre pas les raccourcis»

par Adrien Naselli   publié le 17 mars 2023

Loin des débats sur l’affaire Palmade, le docteur Alexandre Aslan plaide pour une meilleure connaissance de la pratique afin d’améliorer la prise en charge des phénomènes d’addictions qui en découlent.

La propagation du chemsex – contraction des mots anglais chemical et sex  depuis une dizaine d’années a conduit des soignants à s’organiser pour proposer des parcours de soins dédiés. C’est le cas d’Alexandre Aslan, médecin sexologue à l’hôpital Saint-Louis (Paris) et psychothérapeute qui reçoit dans son cabinet des personnes qui associent sexe et drogues de synthèse. Lui et ses collègues partagent leurs initiatives avec d’autres centres de santé pour permettre d’accroître l’offre sur le plan national.

Choc L’Allemagne saisie d’effroi après le meurtre d’une fille de 12 ans par d’autres enfants

par Christophe Bourdoiseau, correspondant à Berlin  publié le 16 mars 2023

Deux adolescentes de 12 et 13 ans sont soupçonnées d’avoir poignardé mortellement une jeune fille de 12 ans, dont le corps a été retrouvé dimanche 12 mars, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie. La polémique n’a pas tardé, la droite réclamant une baisse de l’âge de la responsabilité pénale à 12 ans au lieu de 14.

A Freudenberg, tout le monde se connaît. Dans cette ville 18 000 habitants, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, les habitants savent non seulement qui est Luise, 12 ans, mais aussi qui sont ses deux meurtrières, âgées de 12 et 13 ans qui l’ont tuée de plusieurs coups de couteau sur un chemin forestier. La nouvelle a bouleversé la commune qui a fermé son école pendant plusieurs jours.

Mais en réalité, c’est toute l’Allemagne qui est sous le choc depuis dimanche et la découverte du cadavre de de la fillette. «Je n’ai jamais vu ça dans ma carrière. C’est inouï», confirme Sebastian Fiedler, député social-démocrate et ancien président du Syndicat des agents de la police criminelle.

"Cash Investigation" enquête sur le suicide d’une salariée Lidl

Cash Investigation
Édition du jeudi 16 mars 2023

Employée modèle chez Lidl durant vingt-sept ans, Catherine Lucas s’est suicidée en septembre 2021. Son frère, Michael Le Bellec, s’exprime pour la première fois dans "Cash Investigation" et interroge Lidl sur ses méthodes de management. Extrait de l'émission spéciale "Dix ans de révélations", à voir le 16 mars à 21h10 sur France 2.


Un professeur de lycée se suicide dans sa salle de classe à Orange

Écrit par Laure Bolmont   Publié le 

Le lycée d'Arc à Orange dans le Vaucluse, où un enseignant a été retrouvé sans vie dans sa salle de classe ce jeudi matin.

Le lycée d'Arc à Orange dans le Vaucluse, où un enseignant a été retrouvé sans vie dans sa salle de classe ce jeudi matin. • © Google

Un professeur de physique-chimie du lycée de l'Arc à Orange, dans le Vaucluse, a été découvert mort dans sa classe. Un dispositif de soutien psychologique a été mis en place. Le recteur s'est rendu sur place pour apporter son soutien aux personnels de l'établissement.

Un professeur de physique-chimie a été retrouvé sans vie dans sa salle de classe ce jeudi matin au lycée général et technologique de l'Arc à Orange, dans le Vaucluse. L'homme âgé de 58 ans, qui enseignait dans cet établissement depuis 2018, se serait donné la mort. C'est une personne chargée de l'entretien qui a fait la macabre découverte. 

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Le cerveau code numériquement les informations

Mardi, 14/03/2023 

Vous vous souvenez peut-être de cet anniversaire où vous vous étiez cassé le bras en sautant de la balançoire. Mais comment notre cerveau fait-il pour mémoriser de nouveaux événements aussi rapidement et se les rappeler tout aussi précisément des années après ? Cette question est devenue importante en intelligence artificielle et dans les réseaux de neurones artificiels actuels.

Une facette de la réponse réside dans le concept d'oubli catastrophique, popularisé par Robert French, directeur de recherche CNRS au Laboratoire d'Étude de l'Apprentissage et du Développement (LEAD – CNRS/Université de Bourgogne Franche-Comté). Il explique que, contrairement aux populations de neurones biologiques qui retiennent l'information passée sans grande perte lorsque de nouvelles sont apprises, les réseaux de neurones artificiels, eux, dégradent de façon abrupte leur performance en comparaison.

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Un médicament contre l'épilepsie diminuerait les symptômes de l’autisme

Mardi, 14/03/2023 

L'autisme se caractérise par des troubles de l'interaction sociale et de la communication ainsi que des anomalies comportementales comme une réticence au changement ou une tendance à la répétition des comportements. Les mécanismes de l'autisme restent encore assez mystérieux.

Toutefois, une équipe de l'Hector Institute for Translational Brain Research (HITBR) vient de faire une découverte prometteuse : la lamotrigine (Lamictal® et ses formes génériques), médicament anticonvulsif contre l’épilepsie, pourrait aider à réduire les symptômes.

Le scientifique Moritz Mall étudie depuis de nombreuses années le rôle de la protéine MYT1L dans diverses maladies neuronales. En effet, des mutations MYT1L ont été trouvées dans plusieurs troubles neurologiques comme la schizophrénie et l'épilepsie, mais aussi dans des malformations cérébrales. Le chercheur a cette fois-ci voulu vérifier le rôle de la protéine dans les troubles du spectre de l’autisme (TSA). Pour cela, son équipe a ainsi désactivé le gène à la fois chez les souris et dans les cellules nerveuses humaines en laboratoire.

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Un nouveau médicament contre la maladie d’Alzheimer


 




Jeudi, 16/03/2023 

Autorisé le 6 janvier dernier par la FDA américaine, le lecanemab sera bientôt en vente aux États-Unis sous le nom de Leqembi et pourra être administré à des patients présentant des troubles cognitifs légers ou atteints d’une maladie d’Alzheimer au stade léger et ayant passé un examen révélant des plaques amyloïdes cérébrales (la même population que celle concernée par l’essai clinique). Issu de près de 40 ans de recherche depuis la découverte de la protéine bêta-amyloïde en 1984, le lecanemab est le premier traitement anticorps qui se soit montré capable de "nettoyer" le cerveau des agrégats toxiques formés par les plaques amyloïdes et de montrer un ralentissement significatif du déclin cognitif chez les patients, après 18 mois de traitement. « Les traitements actuels ont surtout un effet sur les symptômes. C’est la première fois que de tels effets cliniques sont observés dans le cas d’un traitement contre la maladie d’Alzheimer » a confirmé le Docteur Maï Panchal, directrice scientifique de la Fondation Vaincre Alzheimer.

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Les hôpitaux publics vers un déficit de plus d'un milliard d'euros en 2022


 

PUBLIÉ LE 15/03/2023

Pris en tenaille entre une activité plombée par le Covid et des dépenses dopées par l'inflation, les hôpitaux publics devraient afficher plus d'un milliard d'euros de pertes en 2022, a estimé mardi 14 mars la Fédération hospitalière de France (FHF). Et l'année 2023 ne devrait pas être meilleure. 

Ce n'est pas une bonne nouvelle. «Il y a un risque de dégradation assez forte de la situation financière des hôpitaux», a déclaré la responsable du pôle finances de la FHF, Cécile Chevance, lors d'une conférence de presse. Pour l'ensemble des établissements publics, «notre prévision de déficit se situe entre 1 et 1,3 milliard d'euros» pour l'année écoulée, a-t-elle ajouté, soit deux fois plus qu'avant la crise sanitaire du Covid-19.

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Dérives sectaires dans la santé : le nouveau plan d'action interministériel

PUBLIÉ LE 15/03/2023

Prévue "avant l'été", la prochaine feuille de route interministérielle de lutte contre les dérives sectaires inclura plusieurs mesures visant spécifiquement les dérives en santé.

Sonia Backes secrétaire d'Etat chargée de la citoyenneté

La prévention sera un axe majeur de la lutte contre les dérives sectaires qui touchent aussi le domaine de la santé. Celle-ci se déclinera en une campagne nationale mais fera aussi l'objet d'un gros travail sur les réseaux sociaux. «Il y a vingt ans, on était sur du porte à porte, aujourd'hui, clairement, les réseaux sociaux sont devenus le principal outil de recrutement de ces phénomènes, de ces organisations voire de ces nouveaux gourous», rappelle Sonia Backès, secrétaire d'État chargée de la Citoyenneté, à l’occasion des toutes premières Assises Nationales de la lutte contre les dérives sectaires, qui se sont tenues les 9 et 10 mars à paris. 


« On a lu » – La sélection de mars d’ActuSoins


 



15 mars 2023

Dans cette rubrique, Actusoins présente des ouvrages en lien avec la vie professionnelle des soignants, l’hôpital ou la santé.  

Essais, récits infirmiers ou même polars médicaux : il y en a pour tous les goûts. À vos livres ! 


La pudeur des soignants

Sous la direction de Catherine Deliot et Christine Matherat,Éditions Érès

La première toilette constitue un rite initiatique à l’issue duquel on devient soignant. Si le respect de la pudeur des patients représente un enjeu majeur de l’enseignement du soin, qu’en est-il de la pudeur des soignants ?

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Comment nous parlons-nous ?


 


Provenant de l'émission


Avec philosophie, du lundi au vendredi de 10h00 à 11h00 sur France Culture

Géraldine Muhlmann présente la nouvelle émission quotidienne de France Culture dédiée à la philosophie.


© Getty


À propos de la série


Comment nous parlons-nous ? Voilà qui mérite examen à l'heure où certains appellent à plus de contrôle de notre langage pour mieux respecter autrui, et où d'autres s'inquiètent d'un nouvel ordre moral dangereux pour la liberté d'expression. À propos de la parole, nous avons de quoi faire.


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jeudi 16 mars 2023

Consommation de psychotropes chez les 6-17 ans : un nouveau rapport jugé « trop alarmiste »

Par   Publié le16 mars 2023

Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge a alerté, lundi, sur l’augmentation des prescriptions aux enfants et aux adolescents d’antidépresseurs et d’antipsychotiques notamment. Plusieurs pédopsychiatres s’offusquent d’une « diabolisation » des médicaments.