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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 3 février 2022

Sortie du film "H6, l'hôpital du peuple" de Ye Ye

Le film fait partie de la sélection officielle du Festival de Cannes 2021.

H6 de Ye Ye
H6 de Ye Ye Crédits :  Radio France

Synopsis

Le destin de cinq familles se joue à l’hôpital N°6 de Shanghai. A travers leurs histoires croisées se dessine un portrait de la Chine d’aujourd’hui entre culture traditionnelle et modernité. La solidarité, la tendresse et le sens de l’humour permettent aux familles et patients de tenir le cap face aux aléas de la vie.

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Santé mentale : comprendre la réalité des personnes afrodescendantes


Francesca Mérentié

1er février 2022

L’Ordre des psychothérapeutes autorisés de l’Ontario met sur pied un groupe de travail pour mieux promouvoir l'équité, la diversité et l'inclusion dans la prestation de services de psychothérapie. Dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, Radio-Canada a recueilli le témoignage de deux Torontoises concernant l’influence d’un thérapeute afrodescendant sur leur processus de guérison.

Djennie Laguerre est comédienne et conteuse. Pendant longtemps, elle a été suivie par un thérapeute qui ne fait pas partie de sa communauté afrodescendante. Ça a bien été. On parlait beaucoup de mon rôle de mère, de ma situation. Pourtant, l’artiste sent que la relation a manqué une certaine dimension. La personne blanche veut t’aider, mais elle ne connaît pas ta réalité.

« Des fois, elle essaye tellement de te rassurer, te faire comprendre qu’elle ne fait pas partie des personnes qui t’oppressent qu’elle ne prend pas le temps de te dire que ce n’est pas ton imagination. Sans le vouloir parfois, on te fait sentir mal… »

— 
Une citation de 
 Djennie Laguerre, résidente de Toronto

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Ces Français qui ne veulent plus jamais travailler

Justine Reix  2.2.22

« J’ai compris qu’il y avait une autre vie en dehors du travail ».

« Le matin, j’allume mon ordinateur mais je n’ai envie de rien faire, je n’ai pas envie de répondre aux e-mails, pas envie de travailler sur mes projets en cours, je n’ai envie de rien », raconte avec une profonde lassitude Léo, 32 ans, chargé de projet dans un cabinet d’architecte. Depuis le début de la crise sanitaire, il a perdu toute ambitionprofessionnelle et surtout tout intérêt pour le monde du travail en général. 

Après de longues études et une grande école, il a enchainé les opportunités pour monter les échelons et obtenir un “bon salaire”. « C’est quand on a été confiné que j’ai redécouvert ma femme et ma famille. Je n’ai pas envie de revenir à une vie où je rentre explosé chez moi à 20h. J’ai compris qu’il y avait une autre vie en dehors du taff. » Petit problème, comme pour la plupart des Français, Léo n’a pas d’autres choix que de continuer de travailler. Il n’est pas rentier et la retraite n’est pas prête d'arriver, alors il continue de se lever tous les matins pour gagner sa vie.

À la rédaction de VICE France, nous avons reçu presque 400 réponses à notre appel à témoignage de Français ressentant ce besoin, comme Léo, de tout arrêter. Si tout le monde a déjà rêvé de gagner au loto et ne plus jamais avoir besoin de travailler, le phénomène semble s’être accéléré ces derniers mois. 

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mercredi 2 février 2022

C’est quoi… l’art brut ?

par Lise Lanot  Publié le 

Pour comprendre les grands mouvements artistiques et ne plus hocher la tête les yeux dans le vide quand on vous parle d’art.

Vous avez déjà hoché la tête, les yeux dans le vide, espérant qu’on ne vous demande pas plus de précisions sur le sujet dont on vous parle depuis dix minutes ? C’est pour éviter ce genre de situations, proposer des pistes de réflexion et démocratiser l’accès à l’histoire de l’art que nous vous concoctons cette série d’articles dédiée aux grands mouvements artistiques. Cette semaine, dans notre viseur : l’art brut.

Comment l’art brut est-il né ?

S’il y a un nom à retenir lorsqu’on parle de la naissance de l’art brut, c’est celui de Jean Dubuffet. C’est dans une lettre adressée à son ami, le peintre suisse René Auberjonois, à la fin août 1945, que l’artiste français évoque pour la première fois le terme d’art "brut" afin de désigner des créations artistiques qui l’intéressent depuis déjà une bonne vingtaine d’années.


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Crise en psychiatrie à Toulouse : un syndicat avait tiré le signal d’alarme dès 2019

Par  France Bleu OccitanieFrance Bleu  
Mardi 1er février 2022 

INFO FRANCE BLEU - Selon le syndicat Force Ouvrière de l'hôpital Marchant de Toulouse, bien avant la fuite du cannibale de Nouilhan, il avait tiré la sonnette d'alarme. Le syndicat avait demandé une inspection de l'établissement en 2019 et en 2021.

L'entrée de l'hôpital Marchant à Toulouse.
L'entrée de l'hôpital Marchant à Toulouse. © Maxppp - Xavier de Fenoyl

Suite à la surprenante série de fuites de patients à l'hôpital Marchant de Toulouse, le syndicat FO révèle avoir sollicité en vain deux inspections de l'établissement. D'abord en 2019 puis en 2021. Il dit également avoir porté plainte contre la direction pour mise en danger de la vie d'autrui

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Covid : les immunodéprimés, ces invisibles de la pandémie

par Anaïs Moran

publié le 1er février 2022 
Depuis l’apparition du Covid-19 il y a deux ans, les personnes avec un système immunitaire déficient sont contraintes de vivre sous cloche. Vaccins peu efficaces, traitements insuffisants, hypervigilance dévorante… Ils racontent à «Libération» leur fragilité et appellent à une prise de conscience de la population.

Sa vie, aujourd’hui ? Il dirait qu’elle est comme «endormie». Figée dans l’air immobile de ses deux dernières années. Empêchée, piégée entre quatre murs érigés par le Covid-19. «Tout mon quotidien est à l’arrêt», témoigne Frédéric Baudrillard, 47 ans, masque blanc sous regard azur, posté à l’autre bout d’un banc public de Pontault-Combault, en Seine-et-Marne. Atteint d’une mucoviscidose, transplanté des deux poumons en 2016, l’homme fait partie de ceux qu’on appelle les immunodéprimés. Son corps est une muraille battue en brèche. Ses défenses, déficientes et altérées par sa maladie, sont stimulées par la prise journalière de cinq comprimés. «Mon équilibre a toujours été fragile, vulnérable face aux virus et bactéries en tout genre, souffle-t-il. L’arrivée du Sars-CoV-2 m’a fait basculer dans une autre dimension.»

TRIBUNE Et si on fermait les Ehpad?

par Pierre Savignat, Directeur d’hôpital honoraire, ancien directeur d’Ehpad

publié le 1er février 2022
Personne n’est satisfait de ces établissements, ni les résidents et leurs proches, ni les personnels, ni l’opinion publique. Il faut travailler sur le maintien au domicile et réorienter les politiques publiques du vieillissement vers une inclusion sociale.

Périodiquement des situations scandaleuses au sein des Ehpad se trouvent sous les projecteurs. Les réactions s’enchaînent, de nouveaux contrôles sont diligentés. Des mesures seront sans doute prises pour apporter quelques améliorations sur la qualité de service, les droits des résidents, peut-être même quelques légères augmentations de postes ici ou là. Même à la marge, elles seront utiles et nécessaires. Et ensuite…

Scandale Orpea Ehpad: «J’ai cru entrer dans une chambre mortuaire»




par Juliette Delage

publié le 31 janvier 2022
Anne Peignelin raconte à «Libération» les «deux dernières années inhumaines» qu’a vécues sa mère dans une résidence de la Vienne, avant de mourir d’une chute dans les escaliers. Elle va porter plainte pour «mise en danger de la vie d’autrui».

A l’aube de ses 91 ans, Lucette Peignelin est morte après une chute dans les escaliers. Pourtant, sa famille assure avoir alerté l’Ehpad où elle résidait à Neuville-de-Poitou (Vienne) de leur dangerosité. Ses deux dernières années de vie dans l’établissement ont été «inhumaines», raconte sa fille, Anne Peignelin, 52 ans, à Libération. Contactée, la résidence des Jardins de Charlotte «conteste les propos rapportés» et souligne que «dans le cadre de la dernière commission de sécurité qui s’est tenue en octobre 2021, l’accès à ces escaliers n’a jamais fait l’objet de remarque ou préconisation particulière». Anne, elle, voulait «simplement témoigner» pour que ce qu’a vécu sa mère «ne se reproduise plus jamais».

Changer plus facilement de nom de famille, pouvoir choisir entre ceux de ses parents : ce que prévoit la proposition de loi examinée à l’Assemblée

Par  Publié le 26 janvier 2022 

Ce texte, soutenu par le gouvernement, doit être examiné en première lecture à l’Assemblée nationale mercredi 26 janvier.

L’utilisation du tilde dans certains prénoms bretons avait provoqué un débat houleux.

Il sera à la fois question d’intime et d’égalité entre les femmes et les hommes à l’Assemblée nationale, mercredi 26 janvier. Les députés se pencheront en première lecture sur une proposition de loi (PPL), défendue par le député (La République en marche) de l’Hérault, Patrick Vignal, visant à faciliter les procédures de changement d’état civil. Soutenue par le gouvernement, qui a engagé pour ce texte la procédure accélérée, cette PPL prévoit plusieurs changements à large portée symbolique sur un sujet sensible : le nom de famille.

Homosexualité : l'interdiction en France des thérapies de conversion

DIFFUSÉ LE 01/02/2022

À retrouver dans l'émission

ET MAINTENANT ?

par Quentin Lafay

Le 25 janvier dernier, l’Assemblée nationale a définitivement adopté une proposition de loi visant à interdire ces pratiques. Concrètement : le texte inscrit dans le code pénal une nouvelle infraction.

Le 25 janvier dernier, l’Assemblée nationale a définitivement adopté une proposition de loi visant à interdire ces pratiques.
Le 25 janvier dernier, l’Assemblée nationale a définitivement adopté une proposition de loi visant à interdire ces pratiques. Crédits :  Christophe ARCHAMBAUL - AFP

Les thérapies de conversion. C’est-à-dire les pseudos thérapies qui visent à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne. Forgées dans les années 50 aux Etats-Unis, ces thérapies se sont diffusées en France depuis une trentaine d’années, sous des formes diverses. Des traitements par « hypnose », « hormones » voire « électrochocs », des dérives « religieuses » qui imposent l’abstinence, « l’isolement et l’internement », des séances d’exorcisme, des « viols correctifs »…

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Quand les philosophes se prennent pour des clowns

Jean-Marie Durand publié le  3 min

« Condamnés au comique », les philosophes ? C’est ce que déclarait le philosophe Günther Anders, dans années 1960, en soutenant qu’il existe entre les philosophes et les clowns une étroite proximité. Et c’est à cette proximité secrète, nécessitant un éclairage circonstancié tant celui-ci peut sembler hasardeux, que s’attache Daniel Payot dans Les Philosophes et le temps des clowns (Circé, 2022).

En croisant ses lectures stimulantes de Günther Anders, mais aussi d’Ernst Bloch, Walter Benjamin, Siegfried Kracauer et surtout Theodor Adornol’auteur, professeur de philosophie de l’art à l’université de Strasbourg, creuse cette affinité entre la figure du clown et celle du philosophe. Son tour de force consiste à identifier des motifs communs chez deux êtres que tout oppose a priori ; des motifs qui tiennent moins à une capacité à faire rire aux éclats les foules qu’à témoigner auprès d’elles d’une certaine énergie inquiète. Ce que les clowns et les philosophes partagent, c’est au fond leur manière de s’insérer dans leur temps, d’y trébucher en tentant d’en dire quelque chose, d’en traduire les mouvements incertains.

mardi 1 février 2022

Les #Visios d’ActuSoins : Infirmière en pratique avancée en psychiatrie et santé mentale

 








Marie-Astrid Meyer est infirmière en pratique avancée en psychiatrie et santé mentale au sein du GHU (Groupement hospitalier universitaire) Paris psychiatrie & neurosciences


La stimulation électrique du cerveau ? Ne stressez pas !

 

La stimulation électrique du cerveau est aujourd’hui une voie prometteuse pour étudier le trouble de stress post-traumatique. Mais rassurez-vous, elle n’a rien à voir avec ce que l’on peut en imaginer, nous explique Philippe Vignaud.

Un évènement à potentiel traumatique est un évènement qui expose à la mort ou à une atteinte sérieuse à l’intégrité physique. Les évènements des dernières années (Bataclan à Paris en 2015, 14 juillet à Nice en 2016, ..) ont malheureusement donné le vent en poupe à ce concept ainsi qu’à une affection psychiatrique qui peut survenir dans ce contexte, à savoir le trouble de stress post-traumatique (TSPT). Il consiste en des souvenirs répétés (flashs, cauchemars), une hypervigilance et une activation émotionnelle douloureuse lorsque la personne est confrontée à des éléments qui lui rappellent l’évènement. Le TSPT apparait dans les mois qui suivent l’évènement ; il est partiellement connu par la science et plusieurs outils thérapeutiques sont disponibles. Entre autres, la technique de psychothérapie Eye Movement Desensitization Reprocessing (EMDR) est un outil validé pour le traitement de cette affection.

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// ARTFX OFFICIAL // GREEN

 






Green, une orang-outan, nous fait découvrir sa forêt natale de Bornéo, quand un événement inattendu va venir perturber son quotidien.

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Orpea : deux enquêtes lancées, les dirigeants ont été entendus par le gouvernement

Le Monde avec AFP et Reuters  Publié le 1er février 2022

La ministre déléguée à l’Autonomie Brigitte Bourguignon dit vouloir « taper fort » après les révélations accablantes du livre « Les Fossoyeurs » sur les Ehpad du groupe.

La résidence pour personnes âgées Les Bords de Seine, à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), mise en cause dans l’ouvrage « Les Fossoyeurs », de Victor Castanet,  le 31 janvier 2022.

Le gouvernement a annoncé, mardi 1er  février, qu’il présenterait d’ici la fin du mois des propositions pour prévenir les maltraitances en Ehpad, et qu’il lançait une « vaste opération de contrôle » au sein du groupe Orpea, accusé de graves dysfonctionnements, et dont le PDG doit être auditionné mercredi par les députés.

Orpea: «Vous n’imaginez pas ce qu’il se passe là-bas»

par Julien Lecot

publié le 31 janvier 2022
Plusieurs anciens aides soignants, infirmiers ou directeurs racontent à «Libération» les coulisses de leur travail dans le numéroun des Ehpad en France, après la sortie du livre «les Fossoyeurs».

«De l’extérieur, tout est nickel. Ça semble moderne, c’est beau et propre, raconte Lucas(1). Mais en coulisses, ça n’a vraiment rien à voir. Il faudrait faire une caméra cachée pour montrer à quel point c’est scandaleux.» Il y a quatre ans, au milieu de ses études d’infirmier, ce trentenaire a travaillé de nuit comme aide soignant dans un Ehpad du groupe Orpea dans le nord de la France. Lorsqu’on évoque avec lui ces douze mois passés dans l’entreprise, l’un des leaders mondiaux du secteur avec un réseau d’un gros millier d’établissements, le jeune homme explique qu’il allait «travailler la boule au ventre» et qu’il revenait chez lui «sans pouvoir [se] regarder dans la glace». «Humainement, je ne pouvais plus. Je ne pouvais pas être complice de ce système. Vous n’imaginez pas ce qu’il se passe là-bas», confie-t-il à Libération.

Jean-Claude Marian, fondateur d’Orpea, le business de l’âge jusqu’au milliard

par Laurent Léger

publié le 1er février 2022
L’homme d’affaires de 82 ans, secondé par son fidèle directeur général aujourd’hui limogé, a construit une immense fortune grâce aux profits réalisés dans ses maisons de retraite.

Economies drastiques et scandaleuses sur les coûts, rentabilité maximale : la recette des dirigeants d’Orpea décrite dans le livre choc du journaliste Vincent Castanet, les Fossoyeurs (Fayard), offre une plongée abyssale dans ce groupe fort de 1 150 établissements dans le monde, avec ses dérives managériales, ses obsessions de profits et la terrible maltraitance qui, selon l’enquête, en résulte pour nombre de résidents de ses maisons de retraite. Le gouvernement a réagi en saisissant l’autorité régionale de santé et en convoquant mardi son directeur général France. Le directeur général du groupe Yves Le Masne a lui été limogé après vingt-huit ans de maison. Une manière de désavouer le fondateur d’Orpea dont il est particulièrement proche – Le Masne et sa famille possèdent une villa à Bormes-les-Mimosas, au bord de la mer, dans laquelle Jean-Claude Marian a des parts…

Psychiatrie : les soignants « partagent le sentiment de ne plus pouvoir exercer leur métier dans un tel contexte »

 

Douze organisations* représentant le secteur de la psychiatrie décrivent la "triste réalité" du terrain et alertent sur les départs massifs de praticiens et de soignants. 

"Manifestement, la mesure de l'urgence et de la gravité de la situation de crise que connait la psychiatrie publique dans notre pays est loin d'être prise en compte alors que nos établissements sont confrontés à des départs massifs, et sans précédent de praticiens, même chevronnés, aggravant ainsi une démographie médicale déjà en pénurie et un contexte institutionnel remanié en toute hâte pour les contraintes relatives à la contention et à l'isolement", expliquent les organisations* dans un communiqué commun. 

Rappelant que les personnels soignants non médicaux ont aussi rejoint ce mouvement de départ, toutes déplorent les fermetures de lits, d'unités, qui se multiplient, "forçant à des restructurations particulièrement délétères" pour la dans des conditions "souvent intolérables". 

Les soignants "partagent le sentiment de ne plus pouvoir y exercer leur métier dans un tel contexte", décrivent-elles. "Si le  dit reconnaître ces difficultés, il n'annonce aucune mesure concrète de nature à améliorer l'attractivité de la discipline, mais bien au contraire des 'actions phares' centrée sur la santé mentale et reléguant la psychiatrie au magasin des accessoires", estiment-elles. 

Elle décrivent un "amalgame" entre psychiatrie et santé mentale, qui "alimente actuellement la perte de sens que vivent les professionnels de la discipline". 

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