« L’audit des évaluations de Seroplex (Lundbeck) et Cymbalta (Lilly) par la commission de la transparence à compter du 1er janvier 2005, date de création de la HAS et du rattachement de la commission à cette institution, ne révèle pas de dysfonctionnement procédural par rapport aux règles en vigueur au moment où ces évaluations ont été conduites ». Le rapport que vient de rendre le Pr Philippe Thibault, conseiller déontologique de la Haute Autorité de santé (HAS), se veut formel.
« Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune. » A l’entrée de l’unité « Ados 93 » de Montreuil, des proverbes, des dessins et des jeux de mots décorent tous les murs.
Cet établissement, qui prend en charge, depuis 14 ans, des adolescents de 12 à 18 ans souffrant de troubles psychologiques, a vu sa capacité d’accueil passer de 6 à 9 lits cette année.
Jeudi, l’établissement de Ville-Evrard a inauguré cette nouvelle unité d’hospitalisation à temps plein pour les adolescents, ainsi qu’une unité de pédopsychiatrie périnatale. Avec 3 lits de plus, l’unité, dédiée aux jeunes, pourra accueillir 70 adolescents, c’est 19 de plus qu’en 2014.
Un siècle plus tard, les textes passionnants qu'il a consacrés à cette pratique sont ici réunis et, pour certains, traduits et publiés pour la première fois. Comptes-rendus, articles, correspondances... ces écrits précoces apportent un éclairage inédit à la genèse de la psychanalyse.
C'est le constat du professeur Spira, qui organise ce mercredi à l'Académie le colloque «Santé, pauvreté, précarité».
Le professeur Alfred Spira a été un de ceux qui, ces trente dernières années, ont porté le plus les questions de santé publique. Pointant, de manière insistante, la question des inégalités et de la précarité. Ce mercredi matin, à l’Académie de médecine à Paris, il organise un colloque sur «Santé, pauvreté, précarité» avec le Secours populaire, dont il est devenu le conseiller médical.
Les données globales sont brutales: l’écart d’espérance de vie à 35 ans entre un cadre et un ouvrier est de 6,3 ans pour les hommes et de 3 ans pour les femmes. Avec ce constat: plus l’espérance de vie est courte, plus les années d’incapacité sont nombreuses.
Après l’échec commercial et critique d’After Earth (2013), M. Night Shyamalan s’est visiblement attelé à un projet dont la modestie apparaît autant comme un choix d’économie de production que comme la volonté d’aborder un type de représentation renvoyant à une forme familière.
Le film de famille amateur hante, en effet, The Visit, comme un modèle dont il faudrait dévoiler la nature profondément perverse et sombre. De quoi sont faites les familles ? Les admirateurs de l’auteur de Sixième sens (1999) y retrouveront sans doute un goût pour le coup de théâtre, le « twist », qui inverse in fine les situations, qui plonge dans la terreur un spectateur découvrant qu’il a été dupe des apparences tout autant que conditionné par ses propres réflexes.
« Au cours de recherches aux Archives nationales, nous avons mis la main sur un document de l’époque révolutionnaire qui est, pourrait-on dire, des plus suggestifs.
La Convention, dans le but d’exonérer les médecins d’origine étrangère des lois et règlements qui leur étaient applicables, recourut à un artifice : elle les considéra comme “ ouvriers de santé ”. Quelle bonne formule à reprendre, en un temps où Messieurs les travailleurs manuels, conscients et surtout organisés, accablent de leur pitié dédaigneuse les prolétaires intellectuels et, particulièrement, ceux qui exercent des professions libérales ! Ouvriers de santé, vous l’entendez bien, nous n’aspirons à rien d’autre. Ce sont les grands ancêtres de la plus grande Révolution qui l’ont proclamé. »
Alors que les urgences sont saturées depuis plus de quinze ans, de nouvelles méthodes de gestion sont appliquées à certains services. Si certains parlent de « management », d'autres préfèrent celui de « réorganisation », terme moins connoté. L’objectif de ces changements structurels est le même : une meilleure prise en charge du patient.
Les sénateurs ont adopté mardi 6 octobre, dans l'après-midi, le projet de loi de santé amputé de quelques-unes de ses mesures emblématiques, imprimant leur marque sur un texte dont ils ont toutefois validé un grand nombre de dispositions techniques en se rangeant à l'avis du gouvernement.
Hier à Blois se tenait la journée régionale des infirmiers Hier à Hier à Blois se tenait la journée régionale des infirmiers libéraux sur le thème du burn-out qui les menace.
La chose – fatigue envahissante et invalidante – a précédé le mot, apparu à la fin des années soixante. Ceux qui penseraient que les cordonniers sont les plus mal chaussés ne doivent pas se méprendre : cette affection a d'abord été repérée dans les professions d'entraide et de soins, physiquement et humainement confrontées à des situations de détresse. Les infirmiers ont donc bien raison de s'interroger sur le thème pour mieux s'en préserver.
Plusieurs intervenants, docteurs en divers domaines, l'ont disséqué devant 120 professionnels de la région Centre - Val de Loire réunis à Cap'Ciné.
Michel Nadot, auteur du Mythe infirmier et de l'Activité infirmière, bat en brèche les idées reçues. « Les soins infirmiers ne sont pas d'origine religieuse. A l'Antiquité, au Moyen Age et au-delà, on trouve des laïques, qui sont payés pour cela. Quant à l'origine du mot infirmier, il remonte à la Mésopotamie avec le terme " enfermier ", qui a trait à l'enfer. Car la maladie est une punition de Dieu. »
Le transfert de la psychiatrie de l’hôpital Beauregard à l’hôpital de Hayange a permis au CHR de redynamiser son service tout en profitant d’une opportunité immobilière. Mais il a créé un vide à Thionville. (Photo archives RL/ Julio Pelaez)
Un rapport remis à l’agence régionale de santé met en évidence « les incohérences » de l’organisation des soins psychiatriques dans le nord mosellan. Une structure privée d’environ 90 lits devrait voir le jour à Thionville.
Comme elle l’a fait l’an dernier en Meurthe-et-Moselle, l’agence régionale de santé (ARS) s’apprête à revoir l’organisation des soins psychiatriques dans le département de la Moselle. En janvier dernier, le directeur général de l’ARS, Claude d’Harcourt, avait nommé un comité des sages pour réaliser un diagnostic et faire des propositions.
Par Colette LANIER | Publié le 08/10/2015 La quasi-totalité des parlementaires de Haute-Savoie ont signé une lettre écrite par Bernard Accoyer, destinée à la directrice de l’Agence régionale de santé (ARS), Véronique Wallon. « Quel est donc le sujet capable de rassembler leurs paraphes dans une missive commune », se demanderont les mauvaises langues, plus habituées à leurs divergences de vues qu’à un élan collectif ? Un sujet sanitaire grave : les soins qui concernent la santé mentale. Lire la suite ...
Des cas de suicides ont été repérés chez des personnes qui prennent du Baclofène. Ce médicament peut être prescrit depuis le 14 mars 2014 pour soigner les personnes alcooliques. Pour cette indication, il est prescrit dans un cadre très particulier : celui d'une RTU, une Recommandation Temporaire d'Utilisation qui est très encadrée. Mais il ne doit pas être utilisé pour maigrir.
Les présidents de CME de CHS veulent un cadre règlementaire pour les unités pour malades difficiles
« Comment piloter l’offre de soins, les activités et les ressources sur le territoire en psychiatrie ? »
Organisées par l'Association des Etablissements participant au service public de Santé Mentale et la Conférence Nationale des Présidents de Commissions Médicales d'Etablissement des Centres Hospitaliers Spécialisés.
Menace majeure pour la santé, et notamment la fertilité, les agents hormonaux sont l’objet d’une âpre bataille à Bruxelles. Un livre décrit les méthodes des industriels qui ont obtenu de la Commission européenne qu’elle impose l’inaction.
Les données sont connues, brutales : la qualité du sperme s’est effondrée de moitié en cinquante ans, ou encore le nombre de diabètes a doublé en vingt ans dans les pays riches, et certains cancers explosent. Les causes ? Variées sûrement. Il n’empêche, pour la communauté scientifique, il ne fait guère de doute que ces perturbateurs endocriniens (PE) jouent un rôle essentiel.
Il y a quelques semaines, nous vous faisions découvrir une chronique de Suzie Q., infirmière en psychiatrie. Auteure d'un blog dans lequel elle partage ses impressions et ses passions, elle nous livre sa vision de sa profession et de la « liberté ». Portrait.
Banquière autrefois, infirmière par choix
Comme beaucoup d'infirmiers, Suzie a décidé d'exercer ce métier afin de donner un autre sens à sa vie.
La jeune femme de 32 ans a opté pour une reconversion professionnelle alors qu'elle n'était plus en phase avec sa carrière commerciale. Je travaillais dans une grande banque française et pendant des années je n'étais pas à l'aise dans mon métier. Mes rapports avec les clients ne tournaient qu'autour de l'argent. Il fallait le leur prendre et vite, qu'importe la manière : des crédits à des jeunes qui s’enfonceraient à coup sûr dans le surendettement, des plans d'épargne logement (PEL) à des « petites vieilles » qui n'en ont aucune utilité, des assurance-vie à tout le monde... J'étais très mal à l'aise avec ça, en conflit permanent avec mes propres valeurs. Puis j'ai compris que plus les années passeraient, plus j'allais m'enfoncer. Quand chaque jour tu vas au boulot en ayant honte de ce que tu fais, il faut y mettre un terme ! C'est ce qu'elle a fait. Diplômée depuis 2012, elle se dit « fière d'être infirmière » désormais.
Elle considère ce virage professionnel comme une opportunité de se « racheter ». Mon nouveau quotidien est pour moi une tentative de rédemption pour toutes ces années passées dans le secteur bancaire. Et comme elle l'affirme sur son blog, aujourd'hui elle se sent « infirmière à 100% ». Que ce soit au travail ou en repos, je suis infirmière. Les dimanches ou les féries, je suis infirmière. A la maison ou en vacances, je suis infirmière. Je me lève infirmière, Je me couche infirmière. C'est ainsi tous les jours et ça recommence encore et encore...
« Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche » : en revendiquant l’appartenance des Européens à une race et en sous-entendant la détestation de ceux qui seraient censés appartenir à une autre, Nadine Morano [députée européenne, Les Républicains] a, comme beaucoup, fait preuve d’ignorance de l’histoire de notre humanité.
La paléoanthropologie, l’hématologie géographique et, plus récemment, l’analyse génomique comparée des populations humaines ont maintenant établi qu’Homo sapiens constitue notre humanité et qu’il a progressivement migré depuis l’Afrique de l’Est où il est né il y a 200 000 ans. Il est plus que probable qu’il ait reçu quelques contributions génétiques d’Homoneanderthalensis, entre 50 000 et 100 000 ans au Proche-Orient, avant qu’il ne se répande à travers l’Europe, l’Asie, puis l’Océanie et l’Amérique.
Le même patrimoine génétique
Au cours de notre longue préhistoire puis histoire, des groupes humains, ou populations, se sont ensuite constitués sur notre planète au hasard des migrations guidées par la géographie des lieux, les événements climatiques et plus tard les grands événements politiques et religieux.
Le séquençage du génome (6 milliards de paires de bases réparties sur nos 23 paires de chromosomes) de nombreux individus appartenant à différentes populations a permis de montrer définitivement que les 7 milliards d’humains que nous sommes aujourd’hui partagent essentiellement le même patrimoine génétique.
L’année 2015 est censée être celle des premiers bilans des Objectifs du millénaire pour le développement. Lancé par l’ONU en 2000, ce plan pour éliminer la pauvreté, approuvé par tous les pays du monde, n’a pas réussi à s’imposer en tête de l’agenda international. Les résultats sont mitigés, voir mauvais dès qu’on se penche sur les régions les plus déshéritées. Le nombre de pauvres a ainsi doublé en Afrique en vingt ans (210 millions en 1981, 420 millions en 2011).
Dans son dernier ouvrage, Bertrand Badie, professeur de relations internationales à Sciences Po, explique pourquoi les Etats répugnent à promouvoir le développement social dans le monde : peur d’y perdre leur souveraineté, crainte de devoir cotiser, enracinement dans une vision politico-militaire des relations internationales. Les acteurs continuent d’envisager la mondialisation avec une mémoire et un savoir d’un autre temps, celui du congrès de Vienne (1815), de la domination du monde par un petit nombre d’Etats occidentaux et des guerres régies par les rapports de puissance.
Pour déstigmatiser sa profession et mieux répondre
aux besoins spécifiques du territoire, le pôle psychiatrie de l’hôpital de
Maubeuge entame un partenariat avec l’Agglo.
Loin des clichés d’une profession obscure, le service
de psychiatrie de l’hôpital de Maubeuge entame sa mue. Première étape de cette
transformation, le partenariat acté depuis quelques mois entre l’Agglo et le
service hospitalier. Un Conseil local de santé mentale (CLSM) qui réunit autour
d’une même table, élus et professionnels de la santé.
L’OMS a fait du développement des soins palliatifs une de ses priorités. Dans ce domaine on part avec une longueur d’avance Outre-Manche. D’après une étude menée par The Economist Intelligence Unit dans 80 pays et intitulée « l'index 2015 de la qualité de la mort, classement des soins palliatifs à travers le monde », le Royaume-Uni propose en effet les meilleurs soins palliatifs au monde. Le pays obtient une note de 93,9% du fait « d'une large intégration des soins palliatifs au sein du système de santé publique (NHS) et grâce à un secteur des hospices très développé ». On retrouve ensuite l'Australie (91,6%), la Nouvelle-Zélande (87,6%) et l'Irlande (85,8%), les Etats-Unis (80,8%) prenant la neuvième place devant la France (79,4%).
La Journée des aidants de ce 6 octobre est l’occasion de décrire la réalité des personnes qui prennent en charge leurs proches. Des témoignages recueillis lors d’un colloque, organisé à Marseille par le conseil départemental des Bouches-du-Rhône et animé par le Dr Pascal Maurel, directeur des publications Décision Santé, sont venus rappeler que la question interpelle la société dans son ensemble.
Véronique Page n’aime pas franchement le mot d’aidant. Toute sa vie a pourtant été bouleversée par la naissance de ses deux jumeaux handicapés mais, dit-elle, « si ma vie s’est arrêtée le jour de la naissance de mes enfants, je ne me suis jamais posé la question en tant qu’aidant, j’étais maman avant tout. » Madame Belhadj se définit, elle, comme la fille de son papa, qui souffre depuis plusieurs années de démence à corps de Léwy (DCL). Sa vie a été chamboulée par l’arrivée de la maladie dans la famille, « mais il a fallu 6 ans pour avoir un diagnostic fiable et quelqu’un qui nous dise qu’on ne pouvait pas le garder à domicile. Je regrette de ne pas avoir trouvé le petit guide du routard de l’aidant pour nous donner des clés de compréhension du système ».
La question des aidants est « une problématique qui concerne tout le monde, a souligné Serge Guérin, sociologue et professeur à l’INSEEC, car il s’agit de personnes qui accompagnent au quotidien d’autres personnes qui, sans elles, verraient leur vie se fragiliser encore plus ».
Promouvoir la marche ou le vélo comme mode de déplacement est-il réellement bénéfique pour la santé ? S’ils permettent de répondre aux défis actuels en santé publique, tels que la lutte contre la sédentarité, la réduction de la pollution atmosphérique et le changement climatique, ces modes de transport actifs n’exposent-ils pas l’individu à un risque accru d’accident de la circulation ou d’inhalation de polluants ?
L’étude publiée dans le « Bulletin épidémiologique hebdomadaire », entièrement consacré cette semaine aux bienfaits de l’activité physique, montre un rapport bénéfice/risque largement en faveur de la pratique de la marche et du vélo.
« Je vous demande par cohérence, par souci d’efficacité, et par respect du travail conduit, de ne pas bouleverser les équilibres de ce texte », a déclaré Marisol Touraine aux députés, à l’ouverture de la deuxième lecture de la proposition de loi de Jean Leonetti (Les Républicains) et Alain Claeys (socialiste) ouvrant de nouveaux droits aux malades et personnes en fin de vie, le 5 octobre.
Message reçu par les députés, qui ont adopté, au terme de deux jours de débats, le compromis qu’ils avaient déjà voté en mars dernier, avant que le Sénat ne détricote la loi.
Après sa création en mai et sa sélection remarquée au Festival d'Avignon, «81 avenue Victor Hugo», la troisième pièce d'actualité commandée par Marie-Josée Malis, est de retour au théâtre de la Commune.
Ils sont huit face à nous. Huit habitants d’Aubervilliers qui, tour à tour, prennent la parole, elle s’imbrique et se dissémine, tandis qu’ils jouent des fragments de leur vie et celle de leurs camarades, et évoquent leur épopée pour arriver jusqu’à cette belle adresse: 81 avenue Victor-Hugo. A Aubervilliers, le 81 correspond à une antenne désaffectée de Pôle Emploi, que les 80 sans papiers ni logis ont décidé d’occuper, après avoir été expulsés, entre autres, du passage de l’Avenir. «Mais le logement, ce n’est pas le problème. Le problème, ce sont les papiers. Une fois que tu as les papiers, tu peux prétendre à un logement.»
Sur scène, quelques chaises sont derrière eux. Le décor est minimaliste, il évoque n’importe quel bureau abandonné. Eux viennent de Libye, de Côte-d'Ivoire, du Bangladesh, ou d’ailleurs. Ils sont énergiques et drôles, alors que ce qu’ils racontent, par épisode à la fois choral et personnel, ne l’est pas: la traversée du désert et celle de la mer sans boussole, l’ami qui supplie qu’on le laisse mourir dans le sable et qui offre son passeport si chèrement acheté, et l’abandon du passeur à 200 kilomètres de la frontière, «à deux pas», ment-t-il.
Sur papier, les psychothérapeutes avaient des raisons d’être satisfaits. La loi Muylle et consorts, votée le 4 avril 2014, donne un cadre légal à la profession de psychothérapeute qui protège à la fois le public et les professionnels. Les exigences de formation qui ont été mises en place sont solides : minimum Bac + 3 dans le domaine médico-psycho-social plus une mise à niveau auprès d’une institution universitaire ou d’une haute école aux notions de base de la psychologie, ainsi que quatre ans de formation à la psychothérapie. Soit un minimum de 8 ans de formation.
Mais aujourd’hui, les psychothérapeutes, qui accompagnent les personnes souffrant de problèmes psychologiques, parfois en complément d’autres types d’interventions à visée thérapeutique (médicaments, etc.), sont inquiets. Depuis le vote d’avril 2014, rien n’a bougé, alertent un nombre important d’enseignants universitaires et tout ce qui compte comme associations (psychologues,psychothérapeutes analytiques, centrés sur la personne, familiaux, systémiques… ainsi que la Plate-forme des professions de la santé mentale).
Ils auront tout fait pour sauver l’hôpital de Nanterre, et son centre d’hébergement pour les SDF. Patrick Jarry et Jacqueline Fraysse, maire et députée (Gauche citoyenne) de Nanterre, ont encore une fois mis toute leur énergie pour élaborer avec les médecins et la direction de l’hôpital un projet de développement du Cash (Centre d’accueil et de soins hospitaliers) à l’horizon 2030, voire plus.