SM le Roi inaugure l’hôpital de la santé mentale et des maladies psychiatriques du CHU «Mohammed VI» d’Oujda
Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a procédé, mercredi, à l’inauguration de l’hôpital de la santé mentale et des maladies psychiatriques du Centre hospitalier universitaire «Mohammed VI» d’Oujda.
Réalisé pour un investissement global de 40 millions de dirhams, ce projet traduit l’intérêt particulier qu’accorde le Souverain au secteur de la Santé, à travers notamment le développement des infrastructures hospitalières, le renforcement des services de santé de base et leur rapprochement des citoyens.
D’une superficie globale de 7.500 m2, le nouvel établissement hospitalier, d’une capacité de 108 lits, comprend des services pour le traitement des maladies psychotiques, névrotiques, des services d’isolement, d’urgence et de consultation, un bloc administratif et une salle d’activité sociale et d’ergothérapie. Il comprend également des services de pédopsychiatrie, de géronto-psychiatrie et de psycho-physiologie, addictologie, ainsi qu’un pôle de formation des médecins et des infirmiers.
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Dans l'éternel débat sur les liens entre croissance, pauvreté et inégalités, il est particulièrement important d'entendre les avis provenant des pays en développement.
Le forum en ligne organisé par l'ONG internationale Consumer Unity & Trust Society (CUTS), basée à Jaipur (Inde), permet de sortir des sentiers battus.
En juillet 2011, Pradeep Mehta et Bipul Chatterjee, du CUTS, ont tiré un livre d'un premier forum (Growth and Poverty : The Great Debate). En mai 2013, un nouveau fil de discussions a été lancé en réaction à une simple remarque du Dr Rangarajan, conseiller économique en chef du premier ministre indien, Manmohan Singh : "La croissance ne saurait être recherchée au prix d'une détérioration de l'équité."
Doit-on s'offusquer, au nom de l'équité, demande l'un des protagonistes, que les 1% les plus riches connaissent une augmentation des revenus de 15%, si par ailleurs les autres 99% voient les leurs augmenter de 10% ?
En réponse, certains évoquent les risques de tension sociale, notant qu'au moment du "printemps arabe", la croissance économique était de l'ordre de 6 % à 7 % par an en Egypte, mais que les inégalités s'y étaient sensiblement accrues. De même, en Tunisie, la perception de l'injustice sociale a nourri la révolte.