L’agence de sécurité sanitaire des États-Unis (Food and Drug Administration) exige des études de carcinogénicité pour les médicaments, en particulier les psychotropes. Ces études, rappelle une équipe de plusieurs pays (Colombie, États-Unis, Italie), sont « conduites systématiquement et fournissent une base de données pour l’évaluation du risque biologique potentiel de carcinogénicité chez l’homme ». Dans un contexte où l’usage des psychotropes a « considérablement augmenté depuis une vingtaine d’années » (les auteurs évoquant ainsi le nombre de « 27 millions de sujets sous antidépresseurs aux États-Unis en 2005, contre 13,3 millions en 1996 », soit un doublement en moins de dix ans), le risque de carcinogénicité chez l’animal a notamment été évalué pour plusieurs classes de médicaments : les antidépresseurs, les neuroleptiques, les benzodiazépines, les hypnotiques, les amphétamines et les anticonvulsivants.
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