Du rififi en psychiatrie
La CGT regrette l'intégration d'aides soignants dans trois unités de l'hôpital.
Avec le départ progressif à la retraite de 18 infirmiers depuis la mi-février, les représentants du syndicat CGT dénoncent la volonté de l'administration d'intégrer une quinzaine d'aides soignants au sein des équipes de soin de trois unités de l'hôpital Mariux-Lacroix ( Hermione-Rochefort-Rocher2).
La direction récuse « tout plan déguisé d'économie », et évoque une redéfinition des missions.
Pour le syndicat, il est inacceptable que « des aides soignants sortis d'école intègrent les soins en psychiatrie après cinq jours de formations ». Les responsables du centre hospitalier expliquent que les aides soignants seront en charge du « nursing » et travailleront aux côtés d'infirmiers auprès des malades chroniques.
La CGT dit ne pas être « hostile à ce que d'autres catégories professionnelles comme des aides soignants ou aide médico-psychologique (AMP) intègrent la pyschiatrie » mais insiste sur la mauvaise anticipation dans le recrutement pour combler les départs à la retraite. Pour l'hôpital, il s'agit d'un simple rédeploiement du système de soin comme cela s'est déjà fait à Poitiers.
La direction récuse « tout plan déguisé d'économie », et évoque une redéfinition des missions.
Pour le syndicat, il est inacceptable que « des aides soignants sortis d'école intègrent les soins en psychiatrie après cinq jours de formations ». Les responsables du centre hospitalier expliquent que les aides soignants seront en charge du « nursing » et travailleront aux côtés d'infirmiers auprès des malades chroniques.
La CGT dit ne pas être « hostile à ce que d'autres catégories professionnelles comme des aides soignants ou aide médico-psychologique (AMP) intègrent la pyschiatrie » mais insiste sur la mauvaise anticipation dans le recrutement pour combler les départs à la retraite. Pour l'hôpital, il s'agit d'un simple rédeploiement du système de soin comme cela s'est déjà fait à Poitiers.
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