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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 19 novembre 2018

Bébé ou carrière, il faut choisir ?

BLOG   
Autrefois, les femmes étaient assujetties au statut de mère. Jusqu’à ce que la pilule mette fin à leur esclavage… C’est ainsi qu’on nous apprend l’histoire. Comment se fait-il alors que certaines féministes dénoncent le «diktat» de la contraception ?
A l’âge de 30 ans, l’Américaine Emily Witt fait le point sur sa vie de jeune célibataire libérée, active et sexy. Mais pourquoi ce sentiment de vide ? «On a tendance à considérer que les technologies sont développées pour répondre à nos besoins, dit-elle, mais il arrive que nous adaptions nos attentes à la technologie dont nous héritons. Ceci est particulièrement vrai pour la contraception […]. Aujourd’hui, une Américaine sur cinq n’a pas d’enfants, contre une sur dix dans les années 1970. Les enfants sont de plus en plus considérés comme des choix. J’approche actuellement un âge où, si je ne fais pas de bébé, j’aurai choisi de ne pas en avoir. Je me pose la question : ai-je fait ce choix ?».
Ne pas tomber enceinte avant d’avoir un CDI
En France, grâce à la loi Neuwirth qui légalise fin 1967 les moyens contraceptifs (1), le contrôle des naissances est la norme que nous observerons pendant une grande partie de notre vie d’adulte. Nous n’arrêterons la pilule (les implants, les préservatifs, etc) que le temps d’avoir un enfant, ou deux. C’est-à-dire, idéalement, quand nous aurons trouvé un amoureux et un travail. Grâce à la technologie de la contraception, nous pouvons maintenant décider du bon moment. N’est-ce pas cela la liberté ? Pas forcément. Dans son essai sur les technologies –Future Sexe– Emily Witt dénonce les dérives : aux Etats-Unis, dit-elle, le piège se referme… Le fait que la contraception existe conduit les employeurs à fixer leurs conditions : je vous embauche, à condition que vous ne tombiez pas enceinte trop vite. Les femmes sont tenues de rester stériles, c’est-à-dire performantes et rentables. Les impératifs de rendement poussent un nombre croissant d’entre elles à retarder l’instant de tomber enceinte. Problème : plus une femme vieillit, moins elle est fertile.

Psychiatrie. Une place dans la ville

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Publié le 16 novembre 2018

Alain, un usager du centre thérapeutique de jour, a présenté le nouveau bâtiment et les équipes qui y travaillent.
Alain, un usager du centre thérapeutique de jour, a présenté le nouveau bâtiment et les équipes qui y travaillent.

En dehors des périodes de crises, il existe des solutions de prise en charge en ville pour les adultes malades psychiques. Un centre médico-psychologique du CHRU était inauguré vendredi matin à Recouvrance. Un second centre doit ouvrir à Bellevue en janvier.


Mais comment faisaient les patients en difficultés avant l’ouverture du centre médico-psychologique (CMP) dans le quartier de Recouvrance (*) ? C’est la question que l’on peut poser lorsque l’on découvre les chiffres de fréquentation de cette nouvelle structure ouverte depuis le 1er janvier dernier.


Le suicide des jeunes porté sur grand écran

Laurent Mauron|15 novembre 2018


Versailles, lundi 12 novembre. Andy Anison, ici avec un ami comédien Pierre Gribling, a tiré son film d’une histoire vraie. LP/L.M.
, lundi 12 novembre. Andy Anison, ici avec un ami comédien Pierre Gribling, a tiré son film d’une histoire vraie. LP/L.M.

Andy Anison a tourné un film sur ce sujet dans la cité royale. Elle le présente ce vendredi soir au cinéma Roxane.

Le sujet la taraudait depuis longtemps. Andy Anison, réalisatrice et comédienne, présentera, vendredi 16 novembre au cinéma Roxane, son dernier long-métrage, « Libre de vivre » dans le cadre du Mois du film documentaire. Il traite, entre autres, du suicide des jeunes. Andy, qui habite à Versailles depuis une trentaine d’années, a puisé dans son histoire personnelle pour écrire ce film. Il sera suivi d’un débat avec les comédiens du long-métrage.
« J’étais au lycée Lamartine à Paris dans les années 70. C’était un établissement dans lequel les profs nous laissaient beaucoup de liberté, ce qui nous rendait très heureux. Un jour, une nouvelle élève est arrivée. Elle souriait mais la fille ne s’adaptait pas trop puis a fini par se suicider. Cette histoire m’a poursuivi toute ma vie et j’en ai fait un film », raconte Andy.

dimanche 18 novembre 2018

Un projet de loi interdisant à des milliers de médecins turcs d’exercer suscite l’inquiétude

Univadis
  • Mary Corcoran
  •  
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Des organisations représentant les médecins ont vivement condamné un projet des autorités turques visant à restreindre la liberté de milliers de médecins turcs de pratiquer la médecine.

XV de France : c’est dans la tête, docteur ?

« On n’a pas peur de perdre ni peur de gagner », assurent les joueurs de l’équipe de France à la veille de défier l’Argentine, malgré deux victoires seulement en neuf rencontres.
Par Adrien Pécout Publié le 16 novembre 2018 

Temps de
Lecture 3 min.

Le capitaine, Guilhem Guirado, après la défaite contre l’Afrique du Sud, samedi 10 novembre au Stade de France.
Le capitaine, Guilhem Guirado, après la défaite contre l’Afrique du Sud, samedi 10 novembre au Stade de France. FRANCK FIFE / AFP
On voit les jambes s’agiter. Les bras s’activer. Mais le cortex, alors… Que se passe-t-il dans la tête, quand on joue pour le XV de France ? Beaucoup de choses, sans doute. Pas toujours très plaisantes, sûrement. « Il y a toujours cette amertume qui anime le groupe, cette frustration », reconnaissait Yoann Huget, en début de semaine. L’ailier vivra avec au moment d’affronter l’Argentine, samedi 17 novembre, au stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d’Ascq (Nord).

Écouter le son L'amour de leur vie L'amour de leur vie Je parle d'amour et de sexe avec ma grand-mère

arte radio
Mise en ligne : 
15 novembre 201

Un documentaire d’ Inès Edel-Garcia
Depuis mes 17 ans, je couche avec le même garçon : Léo, mon amoureux du lycée. Ca peut paraître curieux en 2018, mais à bientôt 25 ans, je n’ai connu qu’un seul partenaire sexuel. Comme ma grand-mère Colette !


samedi 17 novembre 2018

Médecins «toxiques», manque d’empathie… un généraliste exhorte ses confrères à réagir

Stéphane Long
| 17.11.2018



Dr Philippe Baudon

« Comment se fait-il que ce qui fasse le plus défaut en médecine aujourd’hui soit l’humanité, la bienveillance et l’écoute ? En un mot l’empathie. » Ce n’est pas un patient mais un médecin qui pose la question.
Dans un livre intitulé « Médecin, lève-toi ! » paru le 8 novembre (*), le Dr Philippe Baudon lance un véritable cri d’alerte auprès de ses confrères et les invite à renouer avec les valeurs du serment d’Hippocrate qu’il estime « quotidiennement bafoué, voire ignoré, par des médecins qui se placent au-dessus des fondamentaux de la médecine ».

« Le Monde des lecteurs » - Ehpad : double langage des responsables politiques

Il est indispensable que les actes sur la politique des personnes âgées soient réalistes, efficaces et non de simples paroles.
LE MONDE 
Maison de retraite  à Nantes (Loire-Atlantique) accueillant personnes âgées dépendantes, EHPAD, collation dans la salle à manger.
Maison de retraite  à Nantes (Loire-Atlantique) accueillant personnes âgées dépendantes, EHPAD, collation dans la salle à manger. ALAIN LE BOT / PHOTONONSTOP
Sur le blog « Le Monde des lecteurs », les lectrices et lecteurs du « Monde » peuvent commenter l’actualité. Vous pouvez contacter la rédaction par courriel : courrier-des-lecteurs@lemonde.fr.
L’article relatif aux retraités « Je crois que M. Macron n’aime pas beaucoup les retraités » (Le Monde du 24 octobre) rapportait les paroles de la Marie Tamarelle-Verhaghe députée de La République en Marche, qui, lors d’une rencontre avec des administrés du troisième âge, s’étonnait de la grogne de ces derniers alors que « l’on remet des infirmières de nuit dans les EHPAD ». Quelques mois auparavant, nous avions entendu sur plusieurs antennes, la ministre de la santé Agnès Buzyn reconnaître que la présence d’infirmiers de nuit était nécessaire dans les Ehpad, et affirmer que chacun d’eux allait désormais en disposer.
Voici pour les paroles. Il en va tout autrement des actes, en tout cas dans l’EHPAD du Bariol, où résident nos parents, à Pamiers dans le département de l’Ariège. Dans cet établissement public qui disposait jusqu’à présent d’un infirmier de nuit, la suppression de ce poste a été annoncée en début d’année, au motif que son financement était « devenu insupportable pour les finances de l’hôpital », auquel l’Ehpad est rattaché. Aux dernières nouvelles, la suppression de l’infirmier de nuit de l’Ehpad du Bariol s’accompagnerait de la mise en place d’un infirmier de nuit sur astreintes à domicile, prenant en charge 450 résidents répartis dans cinq ou six établissements, et les résidents nécessitant une surveillance infirmière constante, y compris de manière temporaire, seraient déménagés dans une unité de soins de longue durée (USLD) sans assurance de pouvoir retrouver ensuite leur place dans leur EHPAD.
Un infirmier de nuit dans chaque Ehpad, ce n’est pas un seul pour autant d’établissements éloignés de 20 à 40 km. Avec une telle proposition, comment ne pas penser que l’on se moque de nous ! En dépit de nos lettres, de nos interventions, des envois d’une pétition massivement signée par les Appaméens indignés par ce projet de détérioration de la situation des résidents de l’EHPAD où la vie n’est déjà pas joyeuse, rien n’y fait. La suppression de l’infirmier de nuit reste programmée.

Les psychologues se sentent discriminés, ils l'écrivent à Alain Berset

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Suisse 

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Stephan Wenger, co-président de la Fédération 
suisse des psychologues (vidéo) 

Les psychothérapeutes s'impatientent et demandent à leur ministre de tutelle, Alain Berset, de mettre fin à la discrimination qui les touche. Ils réclament la mise en oeuvre d'une réforme de leur statut depuis plusieurs années.


J'ai testé une conférence d'Henri Joyeux




Paris, le samedi 17 novembre 2018 – Pour offrir au grand public une information scientifique d’une meilleure qualité, il est parfois recommandé de s’en remettre aux experts. Cette préconisation doit cependant être suivie avec prudence, car la parole de certains de ceux qui se présentent comme des experts se révèle parfois totalement anti scientifique. Et, les discours de ces pseudo-experts, en raison de leur réputation, gage de légitimité, représentent un danger majeur. Le professeur Henri Joyeux en est un exemple type : depuis plusieurs années, le praticien véhicule un discours qui va totalement à l’encontre de la médecine basée sur la science et qui compte tenu de son "aura" n’est pas sans risque pour ceux qui l’écoutent.
Il convient en effet de rappeler que contrairement à ce qu’il avance régulièrement comme ligne de défense Henri Joyeux est farouchement hostile à la vaccination et ne se contente pas de discuter la pertinence de son caractère obligatoire. La lecture de différents passages de ses livres ou de son site internet permettait déjà de s’en convaincre.

vendredi 16 novembre 2018

Le « frottis-truck », un cabinet de gynécologie mobile pour les femmes les plus précaires

Elsa Bellanger
| 12.11.2018


Depuis le début de l’année, le « Frottis-truck », un camion aménagé en cabinet gynécologique pour les femmes en grande précarité, a rencontré plus de 900 femmes alors qu’elles n’étaient que 700 en 2017.
Lancé en mars 2014 par l’Association pour le développement de la santé des femmes (ADSF), l’utilitaire de 20 m3 sillonne les squats et les bidonvilles, les lieux fréquentés par les prostituées victimes de traite et les hôtels d’hébergement d’urgence pour répondre aux besoins spécifiques des femmes les plus précaires : évaluation gynécologique, frottis de dépistage du cancer du col de l’utérus, accompagnement vers le soin, accès à la contraception ou encore distribution de kit comprenant notamment des protections hygiéniques.

L’œil d’une pédiatre sur les bébés prématurés de son service

 

60 000. C’est le nombre de bébés prématurés qui naissent chaque année en France, soit environ 180 bébés par jour nés entre 5 et 8 mois de grossesse (avant 37 semaines d’aménorrhée). A la veille du 17 novembre 2018, Journée Mondiale de la prématurité, nous avons eu envie de vous présenter le livre de Frédérique Berne Audéoud, Histoires d’avant, qui vient de reparaître dans une toute nouvelle édition. Cette pédiatre-néonatologue au CHU de Grenoble a eu l’idée de photographier les bébés prématurés de son service pour, loin du sensationnalisme qui entoure souvent ces naissances, fixer le quotidien de ces nourrissons, de leur famille et du personnel soignant. Le résultat ? Des photos intimes et poignantes.
L’œil d’une pédiatre sur les bébés prématurés de son service
Les photos des nouveau-nés sont associées à des textes de parents, de professionnels de santé et de personnes que touche, de près ou de loin, la prématurité.
Votre bébé va être hospitalisé en réanimation néonatale. Réanimation… Un mot porteur de tant d’incertitudes, de tant d’angoisses ! Les parents n’arrivent pas à réaliser. Fini le rêve du séjour heureux à la maternité, ils débarquent dans un autre monde, un monde fait de codes sonores, lumineux, d’un vocabulaire incompréhensible, et là au centre, d’un tout petit bébé… Leur bébé. C’est ainsi qu’une puéricultrice, Fabienne Grillère, décrit la détresse des parents confrontés à la naissance prématurée de leur enfant. Car loin de l’image qu’ils se sont fait de l’arrivée de celui-ci, le monde de la réanimation néonatale est fait de couveuses, de tuyaux, de machines, d’examens, pas vraiment prévus au programme. Pour rendre hommage à ces bébés, à leurs familles et au personnel soignant, Frédérique Berne Audéoud a choisi la photographie. Son projet, dont elle a d’abord fait une exposition itinérante, puis un ouvrage paru en 2010, s’intitule : Histoires d’avant… L’apprivoisement du monde de la prématurité. Une nouvelle édition vient de voir le jour.

Une faible estime de soi avant la psychose même

Publié le 05/11/2018

La notion d’une faible estime de soi chez les patients présentant des troubles psychotiques est « bien documentée», rappellent des psychiatres de New-York (États-Unis). Mais comme dans la célèbre aporie sur « la poule et l’œuf », il est ardu de préciser l’antériorité respective de chaque phénomène : une faible estime de soi est-elle la conséquence d’une problématique psychotique, ou appartient-elle au contraire au contexte préalable, susceptible de favoriser justement l’émergence d’une psychose ?

Nouveau suicide à Fleury-Mérogis, le treizième en 2018

Par LEXPRESS.fr avec AFP publié le 
Vue sur la prison de Fleury-Mérogis, près de Paris, le 14 décembre 2017
Vue sur la prison de Fleury-Mérogis, près de Paris, le 14 décembre 2017

afp.com/Philippe LOPEZ

La plus grande prison d'Europe, située dans l'Essonne, est confrontée à une vague de suicides inhabituelle.

Un détenu s'est donné la mort à la prison de Fleury-Mérogis samedi, dans l'Essonne. Il s'agit du treizième cas cette année dans la plus grande prison d'Europe, confrontée à une vague de suicides inhabituelle, a-t-on appris ce mardi auprès du parquet d'Evry. Le détenu, un homme de 47 ans, s'est pendu avec ses lacets. "Il avait été identifié comme suicidaire et faisait l'objet d'un contrôle particulier", a expliqué le parquet. 

Effondrement, le début de la fin

Par Thibaut Sardier — 
Image issue de la série «Limbs» (2014) de Kyle Thompson, Etats-Unis.
Image issue de la série «Limbs» (2014) de Kyle Thompson, Etats-Unis. Photo Kyle Thompson. Agence VU

Pour les «collapsologues», la fin de notre civilisation thermo-industrielle est inéluctable. Pour s’y préparer, il est urgent de redéfinir notre rapport individuel et collectif au monde.

Arrêts maladie : premières interrogations sur les pistes de l’exécutif

La mission lancée par Matignon en septembre, qui s’est réunie mardi, a exposé des propositions pour maîtriser la hausse des dépenses d’indemnités journalières.
Par Bertrand Bissuel et Raphaëlle Besse Desmoulières Publié le 14 novembre 2018

Temps deLecture 4 min.
Edouard Philippe semble avoir retenu la leçon. Après avoir comparé, fin août, l’augmentation du nombre d’arrêts maladie à « un jour de congé supplémentaire », le premier ministre avance désormais beaucoup plus prudemment sur ce sujet sensible. Interrogé mercredi 14 novembre, sur RTL, à propos de la possibilité d’avoir recours au télétravail pour éviter un arrêt maladie, le chef du gouvernement s’y est déclaré ouvert, mais sous conditions. Pour lui, il s’agit d’« une piste intéressante » pour « voir comment est-ce qu’on peut reprendre progressivement le travail »« C’est une question délicate, a-t-il déclaré.Favoriser le télétravail, oui, mais ne pas mélanger l’arrêt de travail et le travail. Ce n’est jamais sain. » Cette proposition a été avancée, mardi, lors d’une réunion de la mission lancée en septembre par Matignon pour réfléchir à la maîtrise des arrêts maladie, une source de dépenses très dynamique.

Malade et artiste, André Robillard, figure majeure de l'art brut, se confie à Henri-François Imbert

LE RÉVEIL CULTUREL par Tewfik Hakem
14/11/2018
26 MIN

Entretien avec le réalisateur Henri-François Imbert qui suit André Robillard depuis une trentaine d'années. Son troisième film consacré à l'artiste qui vit dans un hôpital psychiatrique depuis huit décennies sort au cinéma : "André Robillard, en compagnie".
André Robillard, en compagnie
André Robillard, en compagnie Crédits : Henri-François Imbert

Mercredi-film

avec le réalisateur Henri-François Imbert pour la sortie de son film
J'ai rencontré André Robillard au début des années 1990. Après ce premier film que j'avais fait sur lui, en 1993, "André Robillard, à coups de fusils ! ", on ne s'est jamais quittés, puisqu'on s'est revus régulièrement, et comme on avait initié ce travail de faire du cinéma ensemble, on a continué, dans un rapport amical, on conversait, je déjeunais chez lui, et en même temps, je le filmais. En 2013, cela a donné "André Robillard, en chemin ", et aujourd'hui : "André Robillard, en compagnie". 
Lire la suite et écouter le podcast ...