blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 3 septembre 2018

Maud Mannoni, hier et aujourd'hui



Résultat de recherche d'images pour "espace analytique"
le Samedi 22 Septembre 2018, de 9h30 à 18h
Entrée libre

Résultat de recherche d'images pour "maud mannoni"

Maud Mannoni nous a quittés en 1998. À l’occasion du 20ème anniversaire de sa mort, Espace analytique, qu’elle a fondé en 1994, propose une journée d’hommage où nous parlerons de sa vie et de son œuvre. Membre de laSociété Belge de Psychanalyse, elle fut également membre de l’École Freudienne de Paris fondée par Jacques Lacan. Elle pensait que la psychanalyse, loin de définir une technique reproductible et standardisée, devait se « réinventer continuellement »..

[...] Avec la participation de Pierre Bruno, Laure Razon , Elisabeth Roudinesco, Catherine Saladin, Guy Seligmann, Catherine Vanier, Alain Vanier, l’équipe de Bonneuil, des extraits de films, etc. La journée sera suivie d’un cocktail au local.


Une association dénonce le manque de moyens pour les élèves handicapés

Dans une tribune publiée par le « JDD », l’Unapei, qui regroupe plus de 55 000 familles, évoque le « désarroi » de celles-ci et la « réalité cruelle » de milliers d’élèves handicapés sans solutions de scolarisation.
LE MONDE Tweeter
Un élève en classe, dans l’école primaire de Gavarnie-Gédre le 16 mars.Un élève en classe, dans l’école primaire de Gavarnie-Gédre le 16 mars. PASCAL PAVANI / AFP
Des « milliers » d’élèves handicapés « n’ont aucune solution de scolarisation » ou « bénéficient d’un temps faible d’école », dénonce dimanche, à la veille de la rentrée scolaire, une des principales associations de parents concernés, affichant ses « doutes » face aux propos rassurants du gouvernement.
« Comme chaque année », à l’occasion de la rentrée, « on passera sous silence le scandale de milliers de jeunes handicapés qui n’ont aucune solution de scolarisation, bénéficient d’un temps faible d’école ou doivent patienter sur les listes d’attente des établissements spécialisés », affirme, dans une tribune publiée parLe Journal du dimanche, l’Unapei, qui regroupe plus de 55 000 familles ayant un enfant porteur d’un handicap mental.

De quoi déprimer (ou pas) : les professeurs Debré et Even récidivent et tirent sur les antidépresseurs

Paris, le vendredi 31 août 2018 – Voilà qui ne va pas plaire au docteur Alain Choux, qui est déjà le héraut d’un de nos articles du jour (qui évoque son action contre le docteur Cahuzac). Les professeurs Philippe Even et Bernard Debré qui s’étaient illustrés en 2012 avec leur Guide des 4 000 médicaments, qui avait provoqué les foudres d’un grand nombre de leurs confrères (dont celles du docteur Choux), nullement échaudés par ce précédent, publient aujourd’hui un manuel dédié aux antidépresseurs selon le titre (Dépressions, antidépresseurs : le guide, Cherche Midi) et en réalité plus globalement à tous les psychotropes. 

Des médicaments pas très innovants, pas très efficaces et pas toujours nécessaires

Julie Dachez, autiste Asperger, auteure, docteure...

Diagnostiquée Asperger à 27 ans, la jeune femme est devenue une incarnation de l’autisme au féminin. Mais elle voudrait passer à autre chose, se débarrasser de cette étiquette.
LE MONDE  |  Par 

Julie Dachez, à Nantes en mai 2017.
Julie Dachez, à Nantes en mai 2017. THOMAS LOUAPRE / DIVERGENCE

Schizophrènes au XXe siècle - Des effets secondaires de l'histoire

Decitre, librairie en ligne, achat et vente livres

  • ALMA EDITEUR

  •  
  • PARU LE : 22/03/2018

Hervé Guillemain


Hervé Guillemain - Schizophrènes au XXe siècle - Des effets secondaires de l'histoire.

L'historien, Hervé Guillemain s'est plongé dans les dossiers de milliers de patients. Ecrire l'histoire du point de vue des cliniciens n'aurait apporté rien de neuf. La schizophrénie, cette maladie du siècle, a déjà une histoire.
C‘est bien celle des schizophrènes et de leur prise en charge médicale, politique et sociale qu'il convenait d'écrire avant que cette appellation, considérée par de nombreux médecins comme fragile, inopérante et stigmatisante, disparaisse des classifications mondiales. 
Il en ressort que l'un des premiers buts de cette " nouvelle maladie ", née sur les beaux restes de la mélancolie, fut de prévenir l'essor des psychoses juvéniles.


Les schizophrènes ne peuvent pas guérir mais peuvent avoir une vie quasi normale ?

  • 2 SEPT. 2018
  •  
  • PAR 
  •  

    3 % seulement des schizophrènes sont marié(e)s et souvenir de moi-même à mon travail pris par des crises de narcolepsie dues aux neuroleptiques. Il fallait alors que j'aille m'allonger une demi-journée à l'infirmerie de mon employeur. Cela explique pour partie pourquoi 15 % seulement des schizophrènes travaillent.


CET HÔPITAL NIÇOIS SE CLASSE PARMI LES 20 MEILLEURS DE FRANCE POUR SOIGNER LA DÉPRESSION ET LA SCHIZOPHRÉNIE

Le 28/08/2018

"Le CHSM Nice tient à féliciter ses équipes pluri-professionnelles pour leur investissement et le travail accompli au service de la qualité des soins pour ses patients."

Jeudi dernier, le magazine Le Point a publié le classement national des hôpitaux et cliniques par spécialités. Le CHU de Nice et le centre hospitalier Sainte-Marie sont arrivés dans le top 20 de ce palmarès.
Depuis cinq ans, le media se penche sur les établissements psychiatriques et plus particulièrement sur la prise en charge de la dépression et de la schizophrénie.

Dans le quotidien d'un hôpital psychiatrique

Résultat de recherche d'images pour "lci"
02 sept 2018

Les équipes de Sept à Huit Life se sont rendues à l'hôpital psychiatrique de Sevrey, près de Calon-sur-Saône, qui accueille des personnes atteintes de dépression profondes, de troubles de la personnalité ou de schizophrénie.

Résultat de recherche d'images pour "Dans le quotidien d'un hôpital psychiatrique"


dimanche 2 septembre 2018

« Conduire le changement en psychiatrie et santé mentale ».

Retour Accueil

L’ADESM organise chaque année des journées d’automne sur 2 ou 3 jours autour d’un thème d’actualité.
En 2018, les journées prendront la forme d’un congrès international, et auront lieu les
21, 22 et 23 novembre
à Marseille

Création d’un établissement d’accueil médicalisé en tout ou partie sur la Métropole de Lyon

Agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes
23 juillet 2018

Appel à projet

Cette structure d'une capacité de 60 places offrira un accompagnement à des adultes présentant des troubles du spectre autistique et à des adultes présentant un handicap psychique et ayant fait l’objet d’une orientation de la Maison départementale et métropolitaine des personnes handicapées.


Un partenariat inédit pour former les professionnels au psychotrauma

Primo Levi
Le 29 août 2018, les organisations non gouvernementales Dignity et le Centre Primo Levi ainsi que les universités de Copenhague et de Paris Descartes ont signé un accord de partenariat en vue de développer ensemble une offre de formation dans le domaine de la prise en charge des victimes de torture et de violences politiques.


Folie, jeu et liberté. Autour du travail de Franco Basaglia à l'Institut culturel italien


Par Roberta Spirito    1er septembre 2018 


Résultat de recherche d'images pour "Franca Basaglia"
Le lundi 10 septembre 2018 à 19h l'Institut culturel italien vous invite à une soirée consacrée à la psychiatrie. Franca Basaglia précurseur italien des plus modernes et efficaces techniques de Psychiatrie sera au centre d'une discussion et les protagoniste d'un documentaire projeté le soir même.
En 2017, Crazy for Football : le championnat le plus fou du monde Italie, 2016, 73’, vostf de Volfango De Biasi a obtenu le David di Donatello du meilleur documentaire de l’année. Le film retrace l’histoire de la création d’un championnat de football pour patients atteints de troubles psychiatriques. Cette œuvre engagée, portant sur la pratique du sport comme thérapie, ainsi que sur le championnat dont il est question, n’aurait pas pu exister sans la révolution menée par Franco Basaglia.

L'énigme du passage à l'acte meurtrier

MATIÈRES À PENSER par Antoine Garapon
30/08/2018
43 MIN

Que se passe-t-il dans la tête d’un criminel ? Tentative d'explication avec Michel Dubec, psychiatre et psychanalyste, devenu expert auprès des tribunaux. Pendant un quart de siècle, il a côtoyé les pires meurtriers, de Carlos à Guy Georges...
 Crédits : © Chayapon Bootboonneam / EyeEm - Getty
Pour comprendre ce qui se passe dans la tête d’un criminel, il faut partir du petit délinquant qualifié par la psychiatrie de psychopathe, puis lever les yeux vers le tueur en série, le plus souvent solitaire et vers la psychologie des membres d’un gang, pour tenter de percer l’énigme du tueur de masse. Que l’on ne comprendra jamais totalement.  
  • Michel Dubec, à propos de Michel Fourniret, le criminel le plus énigmatique, le plus "horrible", d'après lui  :
Il y a un moment donné où, un tueur en série, lorsqu'il est totalement pervers, tire à nouveau plaisir en vous racontant ses crimes ; et là, c'est insupportable. Après trois heures d'examen, je me suis arrêté, je n'en pouvais plus, je me suis levé, j'ai dit au revoir et je suis parti... 
 Le plaisir de tuer

Claudine Cohen, une femme dans la préhistoire

LA MÉTHODE SCIENTIFIQUE par Nicolas Martin
30/08/2018
58 MIN

Que connaît-on aujourd’hui du rôle de la femme préhistorique ? Que nous apporte aujourd’hui l’ethno-archéologie sur la connaissance que l’on a des peuples chasseurs-cueilleurs ?
Dame de Brassempouy
Dame de Brassempouy Crédits : CC
De la même façon que le récit mythologique de nos ancêtres les gaulois réfractaires, le récit préhistorique a été construit sur un modèle quasi exclusivement masculin : Homme de Cro-Magnon, Homme de Neandertal, pas beaucoup de place pour les femmes dans les lignées humaines. Si la découverte de Lucy a tenté de corriger le tir, la question du rôle social, de la place de la femme dans les sociétés préhistoriques reste très largement conditionnée aux stéréotypes sociaux contemporains : l’homme à la chasse, la femme à la caverne. Comment étudier la place réelle des femmes dans ces proto-sociétés ? C’est un long et très complexe travail de déconstruction.

Pauline Kergomard, l’inspiratrice de l’école maternelle

Résultat de recherche d'images pour "books revue"

publié le 30 mars 2018


Pauline Kergomard/ Musée national de l’Éducation

Emmanuel Macron a annoncé cette semaine l’abaissement à 3 ans de l’âge de l’instruction obligatoire. Si aujourd’hui 97% des petits Français en âge de fréquenter la maternelle y vont c’est un peu à cause de Pauline Kergomard, « la grande ouvrière » de l’école des petits. Institutrice républicaine, elle est nommée déléguée générale à l’inspection des salles d’asile en 1879. Frédéric Dajez, maître de conférence en sciences de l’éducation, dans Les origines de l’école maternelle, rappelle qu’elle est l’inspiratrice de la grande réforme de 1881 qui transformera ces « asiles » où les parents déposaient leurs enfants de deux à six ans pendant les heures de travail en « écoles maternelles ».


En France, la difficile reconnaissance de la précarité menstruelle

Deux ans après les débats sur la « taxe tampon », la difficulté d’accès aux protections hygiéniques reste importante pour les associations, qui souhaitent plus de prévention.
LE MONDE  |  Par 

L’Ecosse est devenu, vendredi 24 août, le premier pays à mettre à disposition gratuitement des tampons et des serviettes hygiéniques à ses étudiantes. Tous les mois à partir de la rentrée, 395 000 jeunes écossaises pourront se procurer, dans leur établissement scolaire, l’essentiel de leurs protections hygiéniques.

Régis Debray et Edgar Morin : « On n’arrive pas encore à regarder la mort en face »

A l’occasion de la sortie de son livre «  L’Angle mort », l’écrivain Régis Debray débat avec le sociologue Edgar Morin de la façon dont l’Occident occulte la mort.
LE MONDE  |   Propos recueillis par 

DUSAULT

Pourquoi les ados passent leur temps au lit

Ils ont 15, 17, 18 ans, vont au lycée. Et séjournent des heures durant dans leur lit, où ils dorment, mangent, font leurs devoirs tout en restant connectés. Au grand dam de leurs parents. Témoignages et tentative d’explication.
LE MONDE |  |   Par 

Adolescente dans sa chambre et sur son lit avec son appareil photo et ses peluches. Extrait de la  série « L’Antre de la jeunesse » (2015-2017).
Adolescente dans sa chambre et sur son lit avec son appareil photo et ses peluches. Extrait de la  série « L’Antre de la jeunesse » (2015-2017). ODILE GINE / HANS LUCAS
Ce n’est pas encore la nuit et plus vraiment le jour. La chambre est noyée dans la pénombre et sous un désordre adolescent. Au fond du lit, Camille, 17 ans, fait le nem, roulée bien serrée dans sa couette, telle la farce d’un pâté impérial vietnamien dans sa galette de riz.
Elle ne dort pas, puisqu’elle regarde une vidéo YouTube sur l’écran de son maxi-téléphone portable dont la lumière crée un halo bleuté. Il est 19 heures passées de quelques minutes. Camille ne quittera pas sa couche avant demain 13 heures, sauf le temps d’un raid sur la cuisine où elle remplira un bol Ikea ­Vardagen de céréales molles inondées de lait entier bio mais tiède. Et se recouchera vers 16 h 30 après une escale au bistrot avec ses amis.
Vive les vacances ! Quoique… A la rentrée, ce sera pareil, mis à part un séjour quotidien et parfaitement studieux dans les salles de classe d’un lycée de Châtellerault (Vienne), où elle vit avec sa famille.