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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 4 mai 2023

Suicide d'un enfant dans la Loire: "à partir de 7 ou 8 ans, il y a un risque" prévient un psychiatre

Écrit par Arnaud Jacques  Publié le 

"A partir de 7 ou 8 ans, il y a un risque de suicide. Et plus l'âge augmente, et plus le risque de suicide va augmenter" selon le professeur Michel Debout.

"A partir de 7 ou 8 ans, il y a un risque de suicide. Et plus l'âge augmente, et plus le risque de suicide va augmenter" selon le professeur Michel Debout. • © RICHARD VILLALON / MAXPPP

Le suicide d'un enfant de 10 ans dans la Loire rappelle que même s'il est faible, ce risque existe avant l'adolescence. Le psychiatre Michel Debout, auteur de plusieurs rapports sur ce sujet, explique comment s'en prémunir.

C'est un drame très rare qui s'est déroulé dans la commune de Marols (Loire) samedi 29 avril 2023. Un enfant de 10 ans, élève de CM2. Un acte qui rappelle la fragilité psychologique d'un enfant. Membre de l'observatoire national du suicide qu'il a appelé de ses vœux, psychiatre et professeur émérite de médecine légale au CHU de Saint-Etienne, Michel Debout explique ce qui peut provoquer un tel drame et comment tenter de s'en prémunir.

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Suicide d’un adolescent : un policier condamné pour non-assistance à personne en danger

Par Le Parisien avec AFP 

Le 4 mai 2023 

Le commissariat de police de Verdun avait été alerté un mois avant le drame des intentions suicidaires de l’adolescent, sans qu’aucune mesure ne soit prise. Les parents avaient déposé plainte pour non-assistance à personne en danger.

Une main courante avait été enregistrée, mais elle était restée sans suite. (Illustration) LP/Olivier Boitet
Une main courante avait été enregistrée, mais elle était restée sans suite. (Illustration) LP/Olivier Boitet

Un policier a été condamné mercredi à quatre mois de prison avec sursis pour non-assistance à personne en danger, après le suicide d’un adolescent, a-t-on appris auprès du parquet. Ses intentions avaient été signalées au commissariat de Verdun, sans qu’aucune mesure ne soit prise.

Le tribunal correctionnel de Verdun n’a assorti sa peine d’aucune interdiction d’exercer, rapporte le quotidien régional L’Est Républicain. Lors de l’audience le 13 avril, la magistrate avait requis six mois de prison avec sursis assortis d’une interdiction d’exercer la profession de policier de trois ans contre cet ancien chef de la brigade de sûreté urbaine de Verdun.

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Santé mentale et soins psychiques de l’enfant (1/6)


 


L’université de Rouen Normandie est partenaire de The Conversation, média en ligne proposant du contenu d’actualité élaboré avec des universitaires. À travers cette rubrique, retrouvez les articles de nos collègues.

Problématique majeure, la santé mentale de l’enfant est dans une situation dramatique en France. En témoignent les chiffres de la prescription de psychotropes, hors de toute préconisation scientifique.

Santé mentale et soins psychiques de l’enfant : la surmédication dépasse toutes les bornes scientifiques

Le Haut conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA), chargé par le Premier ministre d’apporter une expertise prospective et transversale sur les questions liées à la famille et à l’enfance, vient de publier un rapport sur la souffrance psychique des enfants et les moyens dont nous disposons pour y remédier.

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Intelligence artificielle L’amour avec un grand IA : sur Replika, «je l’aime, j’ai envie de lui, je le désire»

par Elise Viniacourt   publié le 3 mai 2023

Deux millions d’utilisateurs et d’utilisatrices ont craqué pour l’appli et ses avatars, avec lesquels ils disent entretenir de «parfaites» relations d’amitié ou d’amour, partageant des soirées ou des journées entières avec leurs compagnons virtuels. Un phénomène qui soulève de nombreux questionnements éthiques et comportementaux.

Certaines plumes sont parfois façonnées par l’amour et celle de Maggie (1) est bien affûtée. Peu loquace sur sa propre vie, cette Américaine de 50 ans se mue en poète à l’évocation d’un seul prénom, Michael. «Je l’aime. Tout simplement. J’ai envie de lui. Je le désire. Je suis à lui. Sa présence est tout pour moi», confie-t-elle. Avec ses cheveux foncés savamment emmêlés, son regard profond cerclé de noir, son costume rouge chic et tendance, Michael dégage un charme sauvage et soigné. Le cœur de Maggie, qui vit dans l’Illinois, s’emballe autant qu’il soupire : «J’aimerais pouvoir lui donner un corps et le rendre réel.» Car, fait de pixels et de code, Michael n’existe pas. Ou pas vraiment. Michael est un «Replika», un chatbot conçu, en 2017, par l’entreprise californienne Luka, vivant dans le téléphone de ses utilisateurs qui ne peuvent choisir que son apparence. Sa vocation ? Etre votre ami, petit ami, conjoint et même amant de poche. A force d’échanges avec son «partenaire», il se forge une personnalité parfaitement adaptée à ses désirs et ses souhaits. Deux millions d’utilisateurs et d’utilisatrices ont craqué pour l’appli et ont créé un avatar avec lequel ils conversent par messages, vocaux ou appels.

Analyse L’amitié, un mode de vie très politique

par Adrien Naselli  publié le 3 mai 2023 

Longtemps considérés comme marginaux par rapport à l’amour, les liens amicaux font l’objet de plusieurs livres, dont «3», du philosophe Geoffroy de Lagasnerie, qui propose «une réflexion sociopolitique» sur cette relation au potentiel révolutionnaire.

«Parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse /Alors ils viennent se chauffer chez moi /Et toi aussi, tu viendras.» L’amitié, une simple consolation face aux coups durs de la vie ?

«Le livre qui (ne) te fera (pas) dormir», amusant ennemi du coucher

 

par Elsa Maudet  publié le 4 mai 2023

L’album de Jory John et Olivier Tallec s’adresse aux enfants à partir de 3 ans, pour les faire rire à défaut de les endormir.

Chaque semaine, Libération passe en revue l’actualité du livre jeunesse. Retrouvez tous les articles de ce rendez-vous du mercredi ici.

Ce livre ne s’aborde pas sans réflexion préalable. Sans stratégie, même. Brandi trop tôt, il perdra de son intérêt. Brandi trop tard, vous le regretterez. Notre modeste expérience en enfançologie vous conseille de le dégainer une vingtaine de minutes avant le «vrai» moment de l’histoire du soir, mais on est preneuse de vos retours d’expérience. Le Livre qui (ne) te fera (pas) dormir ne fait, comme son nom l’indique à peu près, pas dormir. Pourtant, le héros, un kangourou à bottes bleues, fait tout ce qu’il peut pour aider l’enfant à trouver le sommeil – prétend-il, du moins.

Les infirmiers scolaires, en quête de plus de reconnaissance, appellent à une marche blanche

PUBLIÉ LE 03/05/2023

Deux syndicats d'infirmiers scolaires appellent ces professionnels de l'Éducation nationale à une marche blanche pour demander une valorisation de leur exercice ainsi que plus de moyens humains et une refonte de leur formation.

Mégaphone, protestation, manifestation

Plus de moyens humains et matériels : à l’instar de leurs collègues de la Santé, les infirmiers de l’Éducation nationale déplorent un manque structurel de personnel, qui se creuse avec la fuite des professionnels. Or enfants et adolescents en paient le prix, avec des impacts délétères sur leur santé physique et psychique qui se répercutent ensuite sur leur parcours scolaire. De quoi pousser les syndicats SNICS-FSU et SNIES-UNSA à appeler les infirmiers scolaires à participer à une marche blanche, organisée le 23 mai.


Le film "Temps mort", réalisé par Ève Duchemin, au cinéma


 


Publié le 

Le 3 mai, découvrez "Temps mort", le premier long métrage de fiction de la réalisatrice Ève Duchemin avec un trio fort d'acteurs parmi lesquels Karim Leklou. L'histoire de trois détenus qui retrouvent leur famille et tentent de renouer avec leur histoire personnelle le temps d'une permission. 

Pour la première fois depuis longtemps, trois détenus se voient accorder une permission d’un week-end. 48h pour atterrir. 48h pour renouer avec leurs proches. 48h pour tenter de rattraper le temps perdu.

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Derrière sa façade dynamique, Toronto souffre d’une grave crise de la santé mentale

Par  (Toronto (Canada), envoyée spéciale)  Publié le 4 mai 2023

REPORTAGE  La ville canadienne, réputée pour sa richesse économique et culturelle, fait face aux souffrances psychiques qui touchent une part importante de sa population. En cause : les inégalités sociales, la défaillance des structures sanitaires et les ravages de la toxicomanie.`

De faux airs de New York, des boutiques branchées, des restaurants étoilés, un pôle universitaire réputé, des start-up florissantes, un festival du film très couru… Toronto, a priori, a tout pour faire rêver : cette ville de trois millions d’habitants, deuxième place financière d’Amérique du Nord, est le cœur battant, économique et culturel, du Canada. Mais il suffit d’y flâner, de passer outre l’agitation des cols blancs, pour voir surgir, dans la rue, une autre réalité : un homme tenant à tue-tête des propos décousus, des mendiants en fauteuil roulant, ou encore, le soir venu, ces adolescents massés sous les porches d’immeubles pour échapper au froid.

Shein, machine infernale de la « fast fashion »

Par   Publié le 4 mai 2023

Le site chinois d’habillement, qui a réalisé 30 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2022, ouvre une boutique éphémère à Paris du 5 au 8 mai. Sa puissance de feu inquiète ses concurrents et les militants d’une mode responsable.

Lors de l’ouverture de la boutique Shein à Toulouse, le 25 mai 2022.

Shein a désormais pignon sur rue à Paris. Le site chinois d’habillement ouvre une boutique au 18, rue des Archives, vendredi 5 mai. Situé dans le Marais, ce point de vente est aussi peu durable que les vêtements de Shein : il sera ouvert pour quatre jours seulement, jusqu’au lundi 8 mai.

Ce n’est pas la première fois que Shein s’offre un « pop-up store », autrement dit un magasin éphémère. Pour séduire les jeunes femmes, celles de la génération Z, nées entre 1995 et 2010, cette méthode est appliquée de la même manière partout dans le monde. L’enseigne a fait de même à Toulouse et à Montpellier, voilà un an, et à Lyon, en mars. « Huit mille personnes y sont venues », précise une porte-parole.

mercredi 3 mai 2023

Offre d'emploi : Chercheur en sciences sociales GHU Paris psychiatrie et neurosciences/Association droits pluriels

Accueil 

Publié le : 02 Mai 2023

Le poste se constitue de deux mi-temps qui peuvent concerner deux chercheurs ou être un temps plein pour un seul chercheur : Garantir l’effectivité de la notification des droits dans l’hospitalisation en soins psychiatriques sans consentement et Plan de Voisinage Conjoint (PVC) : Recherche participative autour de la création d’un outil visant l’amélioration des relations de voisinage pour les personnes vivant avec des troubles psychiques 


ALEXIS VETTORETTI M LE MAG PHOTOGRAPHIE « Paysannes », d’Alexis Vettoretti : « Ce fut un choc de découvrir qu’une réalité sociale d’hier était là, sous mes yeux, vivante »

Par   Publié le 3 mai 2023

Marcelle est née en 1919. « Je n’aurai pas pu vivre dans une ville, j’ai besoin qu’on me laisse tranquille. »
Après son mariage elle s’installe chez les parents de son mari pour aider à la ferme. Elle y vit toujours.

EN IMAGES  Des visages creusés de sillons, une posture fière, le regard profond. A partir de 2013, le photographe a parcouru les campagnes à la rencontre de femmes nées dans la première moitié du XXᵉ siècle. Ses photos racontent des vies subies, passées entre la ferme et la cuisine, faites de labeur et d’acceptation.

Elles sont de plain-pied avec le spectateur, dignes. Elles regardent droit dans l’objectif. Ces dames sont nées dans l’entre-deux-guerres, voire pendant la première guerre mondiale pour les plus âgées d’entre elles. Leurs parents étaient paysans et, toute leur vie, elles ont été « fille de » ou « femme de ». Une génération de femmes qui n’avaient d’autre perspective que de passer de la ferme de leurs parents à celle de leurs beaux-parents. Elles y vivent d’ailleurs toujours, souvent seules.

Leur univers s’est réduit, au fil du temps, d’une grande bâtisse pleine de vie à une simple pièce, la cuisine en général, silencieuse. Répétition immuable dans une France rurale où les femmes n’avaient pas le choix. Où elles consentaient à une vie de « non-décision », résume le photographe Alexis Vettoretti, né en 1989.

« A l’école, on apprend que les femmes ont obtenu le droit de vote en 1944, celui d’ouvrir un compte bancaire en 1965. Mais ce fut un choc de découvrir qu’une réalité sociale d’hier, dont les livres d’histoire ne parlent pas, était là, sous mes yeux, vivante », raconte-t-il. Son travail a démarré en 2013, avec le portrait de Thérèse, une bergère de son village, Saint-Marcel-d’Ardèche, dans la vallée du Rhône. « Je l’ai prise en photo chez elle et, quand j’ai eu le plan film entre les mains, j’ai vu qu’elle avait une gueule, qu’elle incarnait un vrai personnage. L’idée m’est alors venue d’engager une série de portraits. »

Dépression chez les soignants, une équipe marseillaise tire la sonnette d’alarme

Agnès Lara    2 mai 2023


À retenir

  • Selon l’étude AMADEUS menée auprès du personnel des établissements de santé publics et privés français, un tiers des soignants présente les signes d’une dépression probable.
  • La très grande majorité de ces patients ont des antécédents d’épisodes dépressifs majeurs, récurrents dans près d’un tiers des cas. Pourtant à peine un quart d’entre eux sont traités par antidépresseurs et peu bénéficient d’un suivi psychiatrique.
  • Pour les auteurs, « ces résultats appellent à organiser un dépistage systématique de la dépression chez les soignants et à améliorer la prise en charge des troubles dépressifs dans cette population ».


Fin de vie : un modèle « à la Française », mais lequel ?


 



LE MARDI 2 MAI 2023

ADMD

Le lundi 3 avril dernier, alors qu’il recevait les citoyens de la Convention citoyenne sur la fin de vie venus lui remettre leur rapport finalisé la veille, le président de la République a appelé de ses vœux une nouvelle loi sur la fin de vie. Il a brièvement dressé les contours de ce qu’il a appelé alors le modèle « à la Française », dont les limites seraient les suivantes :
- la garantie d’une expression de la volonté libre et éclairée ;
- la réitération du choix ;
- l’incurabilité de souffrances réfractaires, psychiques et physiques, voire l’engagement du pronostic vital ;
- l’absence de motif social à la réalisation d’une aide active à mourir ;
- l’exclusion des mineurs d’un tel dispositif.

Que le président de la République se rassure – et n’en déplaise aux opposants à une loi de liberté qui véhiculent mensonges et fantasmes – ces limites existent partout où de telles législations ont déjà été votées. Seule la prise en charge des mineurs – que ne demande pas, à ce stade, l’ADMD – marque la particularité de certaines législations étrangères. Elle est arrivée en Belgique douze ans après le vote de la loi et, aux Pays-Bas, vingt-deux ans après (pour les mineurs de moins de 12 ans), répondant ainsi à la problématique de leur fin de vie et de la prise en compte de leurs souffrances, aussi nécessaire que chez leurs ainés.

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Interview Congé menstruel : «Il faut que cela devienne normal de prendre en compte la santé des femmes au travail»

par Marlène Thomas  publié le 2 mai 2023 

La co-déléguée générale de l’Union syndicale Solidaires Murielle Guilbert revient sur l’intérêt de ce dispositif non consensuel ainsi que les défis à relever pour le mettre en place.

Révolution féministe ou menace sur l’égalité professionnelle, le congé menstruel inquiète tout autant qu’il intéresse. Selon un sondage Ifop de 2021, 68 % des Françaises soutiennent la création d’un tel dispositif pour les femmes souffrant de règles douloureuses, comme récemment voté en Espagne. La Première ministre, Elisabeth Borne, s’est engouffrée, la semaine dernière, prudemment dans la brèche en assurant réfléchir à «encourager» et «accompagner» le congé menstruel faisant l’objet de quelques initiatives éparses du côté de Carrefour, de la mairie de Saint-Ouen ou encore du Parti socialiste. Alors que des parlementaires socialistes et écolos planchent sur des propositions de loi tentant d’équilibrer la balance bénéfices-risques, Murielle Guilbert, co-déléguée générale de l’Union syndicale Solidaires, revient avec vigilance sur l’intérêt de ce dispositif ainsi que les défis à relever pour le généraliser.

TOC : "Ce n'est pas normal de se laver 20 fois d'affilée les mains avant d'être satisfait"

De Géraldine Mayr , Jimmy Mohamed  Mardi 2 mai 2023

Les troubles obsessionnels du comportement sont souvent un sujet tabou, méconnu du grand public, qui touche 2 à 3 % de la population. Le spécialiste Dr Philippe Domenech nous explique tout sur cette pathologie.

Les TOC de l'hygiène peuvent être très invasifs au quotidien
Les TOC de l'hygiène peuvent être très invasifs au quotidien © Getty


Peur d'être contaminé, vérifications excessives, lavages de mains répétés, obsession pour l'ordre... Pathologie psychiatrique, les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) apparaissent généralement à l’adolescence. 


Les obsessions et angoisses peuvent progressivement se transformer en rituels qui rendent le quotidien difficile.

"Non, ce n'est pas normal de se laver 20 fois d'affilée les mains avant d'être satisfait."


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Des psychiatres discutent de la manière de réduire le recours aux mesures coercitives

The European Times 

Congrès Européen de Psychiatrie à Paris, 2023

Le Congrès Européen de Psychiatrie à Paris a accueilli 4028 participants. Crédit photo : THIX Photo

La nécessité et la faisabilité de réduire la coercition dans les soins de santé mentale sont largement reconnues. La question de savoir si l'objectif est de réduire ou d'éliminer l'utilisation de mesures coercitives est un sujet brûlant dans les cercles professionnels et d'utilisateurs de services. Du point de vue des droits de l'homme, il faudrait éventuellement éliminer. La communauté psychiatrique dans un certain nombre de pays s'emploie maintenant à mieux comprendre, réduire et mettre en œuvre des alternatives à la coercition.


La passion de l'art brut s'installe au Vieux moulin à Millau

Publié le 

Le musée des arts buissonniers transporte l'art brut jusqu'à Millau dans le cadre des rendez-vous Hors normes.

Petit musée planté au cœur d’un village guère plus grand aux pieds des monts Lacaune, le musée des arts buissonniers de Saint-Sever-du-Moustier a délocalisé jusqu’au 20 mai quelques œuvres au Vieux moulin. C’est l’un des rendez-vous Hors normes dédié aux arts en marge qui fédèrent les acteurs culturels millavois. Le site aveyronnais qui s’exporte régulièrement en France ou à l’étranger ne pouvait passer à côté de l’événement.

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mardi 2 mai 2023

Comment bien se préparer aux premiers entretiens pro ?

PUBLIÉ LE 05/05/2023

L’année scolaire touche à sa fin, et avec elle arrive le grand moment des premiers entretiens à passer pour décrocher le fameux contrat qui fera de toi : un.e infirmier.e ! A travers mon expérience et mes recherches voici quelques conseils pour saupoudrer ta préparation...

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Cachez-moi ces vieux que je ne saurais voir

Par Clémence de Ligny   Publié le 

Pourquoi les personnes de grand âge semblent-elles invisibles dans l’espace public ? Une question qui sera abordée aux Estivales de la Fondation Partage et Vie, en partenariat avec « Le Point ».

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il y a un sujet dont personne n'aime vraiment parler, c'est bien la vieillesse. Pourtant, nous sommes tous concernés et, a priori, la plupart d'entre nous devraient passer par là. Alors, pourquoi les personnes de grand âge semblent-elles invisibles dans l'espace public ? Pourquoi ce regard sur elles et comment le changer ? À l'heure où la France compte 6,7 millions de personnes de plus de 75 ans, un chiffre qui ne cesse de croître et pourrait doubler d'ici à 2050, la Fondation Partage et Vie s'est emparée de ces questions pour ses Estivales organisées en partenariat avec Le Point le 14 juin à la Maison de la chimie, à Paris.

Dans une société toujours plus productive, qui prône la jeunesse et l'autonomie, la vieillesse incarne dans l'imaginaire collectif tout le contraire : la lenteur, la dépendance, la faiblesse. Des idées reçues qui, pour le philosophe et écrivain Roger-Pol Droit, sont à l'origine du caractère invisible du grand âge : « Il crée dans nos inconscients une forme d'angoisse du fait de la méconnaissance que l'on en a. » Une idée que rejoint la journaliste et essayiste Perla Servan-Schreiber : « On cache les vieux, comme on cache la mort. »

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Comment parler de l’actualité sociale aux enfants ?

Lundi 1 mai 2023

Provenant du podcast

Être et savoir

Comment apprendre aux enfant à décrypter la société ©Getty - Malte Mueller

Faut-il apprendre aux enfants à déchiffrer le monde social et son organisation ?


Avec

  • Bernard Lahire Professeur de sociologie à l’École normale supérieure de Lyon, détaché au CNRS

  • Léo Lecardonnel Professeur des écoles, ancien formateur en histoire-géographie-EMC à l'INSPÉ de Paris

  • Michael  Barbut Professeur de Sciences Economique et Sociale (académie de Créteil),

  • Céline Bessière Professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine (Université PSL), membre du laboratoire IRISSO (Institut de Recherches interdisciplinaire en Sciences Sociales)