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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 27 mars 2023

L'Art est le méconnu

L'Art est le méconnu

À propos de la série


Plus la connaissance s'étend, mieux l'on mesure l'étendue, non pas de l'ignorance, insondable, mais de la "méconnaissance". L'art, l'histoire de l'art, l'approche des œuvres d'art n'échappe pas à cette règle. Une série proposée par Bruno Nassim Aboudrar, professeur d'Histoire et théorie de l'art.


Jamais dans l'histoire de l'humanité, une telle quantité d'oeuvres d'art n'a été aussi aisément accessible à la plupart d'entre nous. Jamais il n'y a eu autant d'expositions, de livres d'art, d'ouvrages sur l'art et de reproductions visibles sur internet.


Regardé différemment, rapporté à de nouveaux contextes, confronté à des enjeux nouveaux, l'art est le méconnu.

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L'Épingle à nourrice : Un outil minuscule utilisé par les Indiennes pour lutter contre le harcèlement sexuel

  • Geeta Pandey  26 mars 2023

Presque toutes les femmes indiennes ont une histoire de harcèlement sexuel qui s'est déroulée dans des espaces publics bondés - lorsque quelqu'un leur a caressé les seins ou pincé les fesses, leur a donné un coup de coude dans la poitrine ou s'est frotté contre elles.

Pour riposter à leurs prédateurs, les femmes utilisaient tout ce qu'elles avaient. Par exemple, lorsqu'elles étaient étudiantes et qu'elles faisaient la navette dans les bus et les tramways bondés de la ville de Kolkata, à l'est du pays, il y a plusieurs décennies, mes amies et moi nous servions de nos parapluies. 

Beaucoup d'entre nous gardaient aussi leurs ongles longs et pointus pour griffer les mains égarées ; d'autres utilisaient les talons aiguilles pour riposter aux hommes qui profitaient de la foule pour nous enfoncer leur pénis dans le dos.

D'autres encore ont utilisé un outil bien plus efficace : l'omniprésente épingle à nourrice.

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Déconstruire les lieux communs sur l’habitat

 




par Eve Szeftel   publié le 26 mars 2023 
Avec «En finir avec les idées fausses sur l’habitat», l’ex-journaliste Catherine Sabbah démonte 70 idées reçues sur l’habitat, des bienfaits de la cuisine ouverte à la mauvaise réputation du logement social en passant par la rénovation thermique ou l’accessibilité de l’espace public.

Dans les trois priorités définies par Emmanuel Macron le 22 mars, le logement est absent malgré la gravité de la crise. Ici, vue sur la résidence Lorilleux, à Puteaux. (ERIC BERACASSAT/Hans Lucas via AFP)

Le logement est complexe au sens d’Edgar Morin : il ne peut être appréhendé que de façon globale tant il est multidimensionnel, touchant aussi bien à l’architecture qu’à la fiscalité, à l’intime qu’au collectif, à la ville qu’à la campagne, au public qu’au privé. Un sujet pris dans les faisceaux d’attentes et de politiques difficiles à concilier. Un sujet social, économique et écologique de premier plan, mais qui fait rarement l’objet de débat public.

La Cour réexamine l’accès aux champignons magiques pour la formation des professionnels

 LAPRESSE

Fakiha Baig - La Presse canadienne

29 mars 2023

Un vendeur met de la psilocybine (champignon magique) dans un sac, à Los Angeles, le 24 mai 2019.
Richard Vogel Associated Press Un vendeur met de la psilocybine (champignon magique) dans un sac, à Los Angeles, le 24 mai 2019.

Le Canada a violé les droits de centaines de patients en attente d’accès à une psychothérapie assistée par la psilocybine (champignon magique) en rejetant les demandes de professionnels de la santé de consommer cette drogue restreinte à des fins de formation, a déclaré mardi un avocat des professionnels devant la Cour fédérale.

Nicholas Pope a souligné qu’il n’y avait pas suffisamment de professionnels de la santé autorisés à fournir une psychothérapie assistée par la psilocybine et que la décision de Santé Canada signifie que les patients pourraient avoir de la difficulté à accéder aux thérapeutes offrant le traitement.

Me Pope a présenté les arguments dans le cadre d’une demande de contrôle judiciaire de la décision de Santé Canada de juin 2022 qui a rejeté les demandes de 96 professionnels de la santé de posséder et de consommer de la psilocybine — le composé psychédélique produit par les champignons magiques — dans le cadre d’une formation pour obtenir une licence pour prescrire le médicament.

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Comment se préparer à la première séance de psychothérapie ?

 



QUEBEC

Aussi utile et enrichissante que soit la psychothérapie, la première séance peut être éprouvante pour les nerfs, surtout si vous n’avez jamais suivi de thérapie auparavant. Se préparer à une séance est une habitude utile à prendre, même si vous êtes un professionnel chevronné. Voici donc comment se préparer à sa première séance de psychothérapie.

Fixez-vous un objectif

Avant votre première séance de psychothérapie, vous devez définir des objectifs thérapeutiques clairs pour ce que vous espérez obtenir. Les raisons de chacun sont personnelles et il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises raisons de suivre une thérapie. Essayez de comprendre ce qui vous a amené à suivre une thérapie et comment vous espérez en sortir.

Ayez des attentes réalistes

La psychothérapie peut être extrêmement bénéfique, mais ce n’est pas une panacée magique. Si vous entrez dans votre première séance et que vous vous attendez à en sortir complètement guéri, vous serez déçu. Assurez-vous que vos objectifs sont gérables et que vous comprenez que la thérapie est un processus qui demande beaucoup de travail. Cela peut prendre quelques semaines voire quelques années pour atteindre votre objectif, et le premier thérapeute que vous rencontrez n’est peut-être pas celui avec qui vous terminerez votre parcours.

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dimanche 26 mars 2023

Les petits disciples de Platon



Disponible   

Du 13/03/2023 au 18/05/2023








À Ardoyne, un quartier défavorisé de Belfast, un directeur d’école dévoué convoque la sagesse des grands philosophes grecs pour apprendre à ses élèves la tolérance, l’écoute et la pensée critique. Un documentaire immersif et inspirant.  

Dans un quartier pauvre de Belfast, meurtri par le conflit nord-irlandais, la population est rongée depuis des générations par la propagation de la drogue et des armes à feu. Pour enseigner aux élèves les bienfaits de l’écoute, de la tolérance et de la pensée critique, Kevin McArevey, le directeur de l’école pour garçons Holy Cross, convoque la sagesse des grands philosophes grecs. Une manière de fournir aux enfants et à leurs parents des clés pour apprendre à penser par eux-mêmes et éviter le piège de la violence.  


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Comment nous parlons-nous ?

© Getty

À propos de la série

Comment nous parlons-nous ? Voilà qui mérite examen à l'heure où certains appellent à plus de contrôle de notre langage pour mieux respecter autrui, et où d'autres s'inquiètent d'un nouvel ordre moral dangereux pour la liberté d'expression. À propos de la parole, nous avons de quoi faire.

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Avec votre bébé, parlez-vous le parentais ?

Darons daronnes

Combien de langues parlez-vous ? Que vous me répondiez une ou cinq, que votre langue maternelle soit le cantonais, le français ou l’ourdou, il y a de fortes chances pour que vous en oubliiez une dans votre décompte. Une langue que vous parlez, mais que vous n’avez jamais apprise : le mamanais – ou plutôt, dans sa dénomination plus inclusive, le parentais.

Cette langue-là est parlée dans le monde entier, depuis des temps immémoriaux, et ne requiert rien d’autre que la présence d’un bébé dans la pièce pour être parfaitement maîtrisée. Je vais tenter de vous la faire entendre, même si, sans le son, c’est moins évident. « Coucou, mon petit chou, tu as bien dormi ? Tu as fait de jolis rêves ? Oh mais oui, tu gazouilles ! Viens, je t’emmène, on va aller chercher ton biberon. » Entendez-vous ces notes ascendantes-descendantes, ces ralentissements inhabituels, ces tempos accentués ? Hé bien voilà, bravo, vous parlez le parentais, une façon d’accentuer les sonorités chantantes de sa propre langue, en montant davantage dans les aigus, tout en structurant ses phrases plus simplement et en les énonçant plus clairement.

Attention : rien à voir avec le « parler-bébé », qui, lui, donnerait quelque chose comme : « Kikou le bébé, il a bien fait son dodo ? Il a tété sa totote ? Il veut son bibi ? Oh oui le bibi ! » Non, le parentais est une forme d’expression correcte, mais un peu caricaturée, comme une langue en version fluo.

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Près de Rouen, le Musée art et déchirure (MAD) rouvre ses portes à l’hôpital psychiatrique

Par Frédéric Durand   Le 24 mars 2023

Le musée d’art brut implanté au coeur de l’hôpital psychiatrique du Rouvray, à Sotteville-lès-Rouen, ouvre à nouveau après des mois d’ hibernation. Avec une exposition du fameux artiste André Robillard et une riche collection permanente dont les auteurs sont souvent des patients. 

Catherine et Joël Delaunay  peaufinent les détails pour accueillir l'artiste André Robillard dans leur musée fondé à l'hôpital psychiatrique du Rouvray, à Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime). Fred.D/#Presse30
Catherine et Joël Delaunay peaufinent les détails pour accueillir l'artiste André Robillard dans leur musée fondé à l'hôpital psychiatrique du Rouvray, à Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime). Fred.D/#Presse30

« Ici, on ne parle pas de pathologie. Ici, l’artiste ne sera pas épluché. Il sera considéré par ses œuvres », demande d’entrée Joël Delaunay, le fondateur du Musée Art et Déchirure (MAD). Et pour cause, ici, on se trouve dans le pavillon pour femmes de l’Hôpital psychiatrique du Rouvray, à Sotteville-lès-Rouen, un bâtiment construit à la fin du XIXe siècle mais désaffecté depuis 1982. Plus de 400 peintures, sculptures et performances y sont présentées dans des salles restées dans leur état d’origine qui confèrent à ce temple de l’art brut une poésie bouleversante. Après des mois de fermeture, le Musée Art et Déchirure rouvre le 25 mars avec un maître du genre, André Robillard plébiscité dans le monde entier.

Joël Delaunay est un infirmier psychiatrique à la retraite, dans la mouvance de la médiation thérapeutique. En 1988, avec son collègue José Sagit, ils fondent le Festival Art et Déchirure : « Nous en avons organisé dix-sept éditions jusqu’en 2016 avec des expositions, des concerts, du théâtre, etc. Nous avons eu jusqu’à 12 000 visiteurs ». Les crises successives ont eu raison de leur motivation, « mais nous avions accumulé des œuvres offertes par les artistes. Sur une idée d’un établissement à Gand, en Belgique, j’ai eu l’idée de fonder ce musée ».

Le congé menstruel : un droit fondamental




par Karim Bouamrane, Maire de Saint-Ouen-sur-Seine, vice-président du conseil départemental délégué à la culture, président du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris (SGP)

publié le 25 mars 2023

Si l’Espagne est le premier pays européen à adopter la création d’un congé menstruel, la France n’a pas encore légiféré sur cette question de santé publique et de justice sociale, pointe le maire de Saint-Ouen qui a mis en place cette mesure dans sa commune.

Le 8 mars dernier, nous avons décidé de mettre en place le congé menstruel pour les agentes de Saint-Ouen, la ville dont je suis maire. Ce congé s’adresse aux femmes souffrant de règles douloureuses et incapacitantes ainsi que d’endométriose.

Menstruations : le nouveau tabou des Etats-Unis ?

Samedi 25 mars 2023

Ron de Santis, gouverneur de Floride ©AFP - CHANDAN KHANNA

En Floride, les républicains pourraient être tentés d'interdire l'éducation sur les cycles menstruels à l'école. Un pas de plus dans la direction d'un antiféminisme et d'une dangereuse instrumentalisation politique du corps des femmes. 


Avec

  • Marie-Cécile Naves Politologue, spécialiste des Etats-Unis. Directrice de recherche à l’IRIS (Institut des Relations Internationales et Stratégiques) où elle dirige l’Observatoire Genre et Géopolitique.


Une nouvelle structure de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent inaugurée à Douarnenez

samedi 25 mars 2023

Fin de vie : Emmanuel Macron en plein doute

Paris, le jeudi 16 mars 2023

Alors que les travaux de la convention citoyenne sur la fin de vie s’achèvent, l’exécutif hésite sur la suite à donner à ce débat philosophique majeur.

Une institution qui fait rayonner « l’esprit d’autocritique et la capacité de doutes », c’est ainsi que le Président de la République Emmanuel Macron a qualifié le Comité consultatif national d’éthique (CCNE), à l’occasion d’une réunion organisée jeudi dernier pour les 40 ans de cette institution qui conseille l’exécutif sur les questions éthiques. Une cérémonie publique qui a été immédiatement suivi d’un diner, beaucoup plus confidentiel, au cours duquel le chef de l’Etat a évoqué avec ses convives le « doute salvateur » qui l’assaille au moment d’évoquer une question particulièrement complexe philosophiquement : celle de la fin de vie.

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Newsletter «L» «We Are Coming» : et la jouissance des femmes, bordel ?

par Clémence Mary   publié le 22 mars 2023

Dans le documentaire en salles ce mercredi, des femmes parlent plaisir sexuel et corps féminin. Une conversation enthousiasmante et libératrice.

Cet article est issu de L, la newsletter féminisme et sexualités publiée le samedi. Pour recevoir L, inscrivez-vous ici !

«La première fois, j’avais 5 ou 6 ans. En grimpant à la corde à nœuds, en cours de sport. Je croyais être la seule, mais si ça se trouve on était la moitié de la classe !» Au début de We Are Coming, documentaire bricolé et cousu main de Nina Faure, en salles le 22 mars, une femme, sourire aux lèvres et la quarantaine bouclée, raconte son premier souvenir d’orgasme. Des années avant la vague MeToo, c’est en bavardant entre copines que la réalisatrice montpelliéraine s’en est rendu compte : pourquoi connaît-on si mal le corps féminin, et a fortiori son épicentre vaginal et clitoridien, à la forme florale caractéristique ? D’émissions en manuels de biologie, le refrain est asséné tel un mantra : le plaisir féminin serait plus mystérieux, passif, psychique, circonscrit à quelques zones et plus rare que son homologue masculin. D’après une vaste étude américaine de 2017, les moins bien loties en matière de jouissance seraient les femmes hétérosexuelles, loin derrière les lesbiennes ou bisexuelles et les hommes. Pourquoi continuer alors à réduire la sexualité à la pénétration et à des «préliminaires» bien mal nommés ?

Interview Féminicides : «Toutes les femmes peuvent être victimes, quel que soit leur milieu»

par Virginie Ballet   publié le 23 mars 2023 

Après le meurtre de la professeure Cécile Hussherr-Poisson, la doctorante en science politique et spécialiste des féminicides Margot Giacinti, rappelle que ces meurtres surviennent après une tentative d’émancipation, sans lien avec la classe sociale.

Mathilda, 33 ans, policière municipale à Ronquerolles (Val-d’Oise), tuée le 16 mars. Nadège, 48 ans, employée dans la grande distribution, tuée le 9 mars à Béthune (Pas-de-Calais). Cécile Hussherr-Poisson, 48 ans, enseignante-chercheuse à l’université Gustave-Eiffel, tuée à coups de couteau, lundi à Paris… Dans chacun de ces cas, le conjoint ou l’ex de la victime a été mis en examen, illustration de cette statistique pratiquement immuable : en 2021 en France, 122 femmes ont été tuées par un partenaire intime, selon les dernières données publiées en août par le ministère de l’Intérieur. Pour Margot Giacinti, doctorante en science politique à l’ENS de Lyon, et autrice d’une thèse (1) sur le féminicide, pour laquelle elle a passé au crible les archives judiciaires françaises depuis la Révolution, la variété des profils des auteurs comme des victimes illustre une réalité : «Toutes les femmes peuvent être victimes.»

En Iran, les hommes enfin solidaires des femmes qui refusent de porter le voile

Par    Publié le 24 mars 2023

Depuis le début du soulèvement qui secoue le pays, le regard masculin sur les femmes qui osent sortir la tête découverte a changé, racontent plusieurs Iraniennes contactées par « Le Monde ».

Dans le nord de Téhéran, le 17 mars 2023.

Pendant des années, Mahnaz (un pseudonyme, comme pour toutes les autres personnes citées dans cet article), une graphiste iranienne de 35 ans, a essayé de s’habituer aux regards réprobateurs des hommes dans la rue, du fait de son foulard, perçu comme pas suffisamment couvrant. Elle s’était résignée à l’idée qu’il n’y avait rien à attendre de ses compatriotes masculins. Mais depuis le début du soulèvement qui secoue l’Iran à la suite de la mort de Mahsa (Jina) Amini, en septembre 2022, pour un voile« mal ajusté », quelque chose de profond a changé dans l’attitude des hommes, affirment Mahnaz et d’autres Iraniennes consultées par Le Monde.

vendredi 24 mars 2023

Mineurs isolés

Jeudi 23 mars 2023

Provenant du podcast

Les Pieds sur terre

Manifestation pour les droits des mineurs isolés (MNA). ©AFP - Gérard Julien

Pendant 4 mois, des mineurs non accompagnés ont vécu sous les ponts d'Ivry-sur-Seine, en attendant d'obtenir un statut de mineur isolé, tandis que les institutions concernées se renvoyaient la balle. Récit d'un parcours d'hébergement semé d'obstacles, par Émilie Chaudet.

Sous les ponts d'Ivry-sur-Seine dans le Val-de-Marne, des réfugiés mineurs dorment sous des tentes en plein hiver. Retour sur la situation des mineurs isolés en région parisienne, qui tentent aujourd'hui d'obtenir leur statut de mineurs sur le sol français, mais surtout de survivre sans abris.

L'association Utopia 56 a rassemblé à Ivry-sur-Seine, tous les mineurs isolés essayant tant bien que mal d'obtenir le statut de réfugié mineur. Il s'agit donc d'un campement sous le pont d'Ivry, au sein duquel des jeunes tentent de survivre. Jean-Charles, riverain des alentours témoigne de la dureté des conditions de vie de ces jeunes gens. "Ils sont à trois dans les tentes, il y a beaucoup d'hypothermie. Il y a eu à peu près dix hospitalisations. C'est l'association Utopia 56 qui a rassemblé à Ivry-sur-Seine tous les jeunes qui sont en recours de demande de minorité. Ils attendent tous que les duplicatas de leurs papiers de pays d'origine leur reviennent pour pouvoir prouver qu'ils sont mineurs." Jean-Charles

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