par Sacha Nelken publié le 2 août 2021
«Vacciner», «vacciner», «vacciner», ne cesse-t-on de répéter au gouvernement. Très bien, quand on ne peut pas pour raison médicale, on fait comment ? D’après le ministre de la Santé, Olivier Véran, ils ne seraient que «quelques centaines» dans ce cas. Ils sont en réalité bien plus nombreux et souffrent de pathologies si diverses que leur nombre est difficile à quantifier. Le gouvernement a fixé trois contre-indications à la piqûre : les personnes allergiques à des composants du vaccin, les personnes ayant fait «une réaction type myocardite, péricardite et hépatite sévère ayant nécessité une hospitalisation» après leur première injection ou les jeunes ayant fait un «syndrome PIMS» (pour syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique), une complication «extrêmement rare» qui a touché certains enfants et adolescents à la suite d’une infection par le coronavirus.