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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mardi 6 octobre 2020

Expo : Arka met la terre du Ségala sur le devant de la scène au centre culturel

Expo : Arka met la terre du Ségala sur le devant de la scène au centre culturel

Publié le 

Arka expliquant son travail le soir du vernissage.

Vendredi 2 octobre, le centre culturel ouvrait ses portes au public pour amorcer la saison 2020-2021 avec une première exposition. Les personnes présentes – élus comme amateurs d’art et aficionados du centre culturel –, ont toutes exprimé leur plaisir à être là : ce qui paraissait banal avant le confinement prend tout à coup une dimension nouvelle. Chacun mesure pleinement cette chance offerte par le centre culturel de pourvoir accéder à la culture, de découvrir un artiste, de partager avec d’autres ses émotions face à une œuvre…

La présidente, Caroline Falipou, souligne l’énergie qu’il a fallu déployer pour aboutir à cette ouverture de la saison, en raison de la crise sanitaire ; Nathalie Bouillard pointe l’importance du rôle éducatif joué par le centre culturel ; Brigitte Mazars s’inquiète de la perte du rapport à l’autre avec les distanciations imposées par les gestes barrière, et se félicite de la mise en œuvre du lien social via la culture. Magali Crayssac, quant à elle, met en avant le choix judicieux de cette exposition d’art brut, qui propose avec ses masques une transition parfaite entre deux axes essentiels du centre culturel, espace d’exposition et théâtre : une exposition qui montre que Ségala ne rime pas seulement avec pomme de terre : sa terre peut aussi être le terreau d’un art nouveau. Jean-Michel Cavalli, qui a pris Arka comme nom d’artiste en référence à un art archaïque, donne à voir avec Remembrance son cri du cœur : un cri primitif, venu du fond des âges. L’expression de sa liberté retrouvée.

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Une vie assise : les riches heurts du bureau

Par Pauline Petit  06/10/2020 

Alors que syndicats et patronats négocient un accord sur le télétravail, l'avenir du bureau préoccupe. L'ethnologue Pascal Dibie s'est penché sur la longue histoire du bureau, à la fois meuble, pièce, institution et activité professionnelle et sociale.

"Playtime", de Jacques Tati, en 1967.
"Playtime", de Jacques Tati, en 1967. Crédits : Copyright Les Films de Mon Oncle.

Combien de temps de notre vie passons-nous assis ? Des bancs inconfortables de l'école au fauteuil à roulettes du bureau d'entreprise, le chiffre aurait sûrement de quoi donner le tournis. D'après une étude menée par l'institut Harris pour l'association Assurance Prévention et publiée en mai 2018, en moyenne, les Français déclarent passer 7h24 assis lors d'une journée normale de semaine. Au-delà de 7 heures passées assis par jour, nous sommes considérés comme sédentaires, selon l'Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité (Onaps). Voici donc venue l'ère des "sedentarius-sedentarius" ! Un peuple qu'a étudié l'ethnologue Pascal Dibie en s'intéressant plus spécifiquement à son milieu naturel : le bureau dans Ethnologie du bureau : brève histoire d'une humanité assise (Éditions Métailié, 2020). 

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L'enfant, l'animal, une relation pleine de ressources ? Réécouter L'enfant, l'animal, une relation pleine de ressources ?

À retrouver dans l'émission

ÊTRE ET SAVOIR

par Louise Tourret

LE 05/10/2020

C’était hier, le 4 octobre, la journée mondiale des animaux, l'occasion de parler de l’extraordinaire rôle de l’animal dans la vie des enfants.

L'enfant, le meilleur ami de l'animal ?
L'enfant, le meilleur ami de l'animal ? Crédits : Flashpop - Getty

La ministre de l’environnement vient d’annoncer la fin progressive des spectacles incluant des animaux sauvages, et bien sûr nous parlerons de la faune sauvage et de la biodiversité, mais nous nous intéressons surtout aujourd’hui aux bêtes les plus proches de nous, à savoir les animaux domestiques. Nous en parlons avec le pédopsychiatre et professeur émérite de pédopsychiatrie Daniel Marcelli, qui a dirigé l’ouvrage à qui j’emprunte le titre de ce numéro d’Etre et savoir, L'enfant, l'animal, une relation pleine de ressources ? (Eres, 2017), ainsi qu’avec l’éthologue et maîtresse de conférence à l'université Rennes 1 Marine Grandgeorge, qui observe les enfants avec les lunettes de sa discipline, et le Professeur de psychiatrie Ludovic Gicquel, chef du pôle universitaire de psychiatrie de l’enfance et de l’adolescence au Centre Hospitalier Henri Laborit de Poitiers, qui nous expliquera comment les animaux peuvent concrètement aider les enfants et adolescents qui rencontrent des difficultés psychologiques.

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Un atelier populaire pour « une réappropriation collective du service public hospitalier »

Basta !

PAR 

Plusieurs collectifs, dont Inter-Urgences, le Printemps de la Psychiatrie ou les Économistes Atterrés organisent un atelier de réflexion ouvert à toutes et tous ce samedi 10 octobre, en Seine-Saint-Denis, pour refonder le service public hospitalier. Nous relayons leur programme.

Alors que le Ségur de la santé s’achevait sur une note amère laissant sans réponses des questions essentielles sur le devenir du service public hospitalier et au moment même où le premier épisode de la crise sanitaire liée au covid 19 laissait un personnel de santé encore plus exsangue, cinq collectifs – le Collectif Inter-Urgences, les Économistes Atterrés, le Collectif Inter-Hôpitaux, le Printemps de la Psychiatrie et les Ateliers Travail et Démocratie – s’associaient pour lancer un Appel à la tenue d’un Atelier de travail et de réflexion démocratique et populaire pour refonder le service public hospitalier et sa gouvernance en repartant du travail et des collectifs de soin.

Cet appel, paru le 7 juillet 2020 dans Mediapart, a été suivi par plusieurs collectifs de soignants et de patients, d’associations citoyennes ainsi que par des signataires individuels, chercheurs, acteurs de terrains, engagés dans la défense ou la refondation du service public en santé.

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UNE CHARTE POUR RENFORCER LES LIENS ENTRE PSYCHIATRIE ET MÉDICO-SOCIAL

Début 2018, l'Association des établissements participant au service public de santé mentale (Adesm), le Groupe national des établissements publics sociaux et médico-sociaux (Gepso), en partenariat avec l'Association nationale des psychiatres présidents de commissions médicales d'établissement des centres hospitaliers (ANPCME), lançaient une réflexion conjointe sur l’articulation entre la psychiatrie et le champ social et médico-social. L’objectif défini alors est de faire émerger ou de renforcer une culture commune.

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Le député de la Sarthe Jean-Carles Grelier met en garde contre les dégâts psychiatriques du coronavirus

 https://www.francebleu.fr/img/station/logo/logo_francebleu_maine.jpg

Par France Bleu Maine  

Le député LR de la Sarthe Jean-Carles Grelier assure que des millions de Français souffrent mentalement des conséquences de la crise sanitaire. Il appelle à davantage de moyens pour la psychiatrie en France.

Jean-Carles Grelier demande plus de moyens pour la psychiatrie.
Jean-Carles Grelier demande plus de moyens pour la psychiatrie. © Radio France - Elie Abergel

Est-ce l'angle mort de la réponse du gouvernement au coronavirus ? Le député apparenté LR de la Sarthe Jean-Carles Grelier signe sur le site Atlantico une tribune intitulée "Santé mentale : ces millions de Français que la pandémie fait chanceler ou s’écrouler en silence". 

Toutes les générations touchées

Pour lui, des millions de Français se laissent sombrer, "les personnes âgées, privées de visites et isolées pendant des mois, les jeunes, qui n'ont pas supporté d'être enfermés entre quatre murs pendant plusieurs mois, ce sont des adultes très inquiets pour leur avenir professionnel", détaille le député sarthois.

"On meurt de dépression dans ce pays, en silence. Tous les soirs, on fait le bilan sanitaire économique et social, sans parler du bilan humain, qui est dramatique. Nous n'avons jamais eu autant de demandes de prises en charge en psychiatrie notamment", abonde Jean-Carles Grelier. 

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Arles : une refonte complète pour l'unité psychiatrie de l'hôpital

Fichier:La Provence (logo).svg — Wikipédia

Par Christophe Vial  

Image par défaut de la provence

La façade extérieure a été refaite, tout comme les chambres classiques. Deux chambres d'isolement ont été ajoutées.

Le pavillon datait de 1992, et était particulièrement vétuste. "Pour ceux qui l'ont connu, on peut dire que l'on a presque un bâtiment entièrement neuf aujourd'hui", glisse Alexia Eyssautier, directrice adjointe, référente du pôle psychiatrie. Après plus d'un an de travaux, réalisés en partie pendant la période de crise sanitaire donc, le centre hospitalier d'Arles dispose d'une unité d'hospitalisation à temps complet (UHTC) en psychiatrie entièrement rénovée et agrandie, riche de 24 lits, dont neuf maximum en unité sécurisée.

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Tenues au lycée : « Voilé ou dévoilé, le corps féminin est toujours coupable »

Après la polémique sur la « tenue républicaine » voulue par Jean-Michel Blanquer, l’historienne Christine Bard rappelle que l’émancipation des femmes s’est jouée sur la modification des dosages entre les trois fonctions traditionnelles du vêtement : parure, pudeur et protection.

Propos recueillis par  Publié le 6 octobre 2020


Spécialiste de l’histoire des femmes, Christine Bard a notamment écrit Ce que soulève la jupe. Identités, transgressions, résistances (Autrement, 2010) et Une histoire politique du pantalon (Le Seuil, 2010). Après la polémique suscitée par les propos du ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, sur la « tenue républicaine » demandée aux lycéennes, elle revient sur la récurrence historique des controverses à propos du vêtement féminin.

Dépasser le ressentiment pour sauver la démocratie avec Cynthia Fleury

À retrouver dans l'émission

L'INVITÉ(E) DES MATINS

par Guillaume Erner

Quel est ce ressentiment dont il est question ? Comment menace-t-il la démocratie ? Comment en guérir ?

Cynthia Fleury
Cynthia Fleury Crédits : Lionel Bonaventure - AFP

Les individus et le collectif, même combat. Pour Cynthia Fleury, ils souffrent tous deux du ressentiment, ce poison qui empêche d’avancer. Dans son livre Ci gît l’amer - guérir du ressentiment (Gallimard, 2020), la psychanalyste et philosophe propose comment, à l’échelle psychanalytique et politique, dépasser ce mécontentement qui ronge la société. Elle apporte des éléments de réponses en convoquant des philosophes, des psychanalystes, des historiens, des poètes, des écrivains mais aussi des expériences personnelles. 

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Ségur de la santé. À Rennes, les agents en psychiatrie réclament l’augmentation de 183 € promise

 Laurent LE GOFF  Publié le 

Des salariés du centre hospitalier psychiatrique Guillaume-Régnier ont organisé un barrage filtrant ce mardi 6 octobre, à Cesson-Sévigné, près de Rennes. Ils demandent, pour l’ensemble des salariés de l’hôpital, sans exclusion, le versement du complément de salaire de 183 € par mois, promis par le gouvernement.

Les personnels du Centre hospitalier Guillaume-Régnier (CHGR) ont distribué des tracts, ce mardi entre 8 h et 9 h, sur le rond-point de Vaux à Cesson-Sévigné.

Environ 70 salariés du centre hospitalier Guillaume-Régnier (CHGR) de Rennes ont distribué des tracts et filtré la circulation, ce mardi 6 octobre, à l’heure de pointe, sur le rond-point de Vaux à Cesson-Sévigné. « Nous n’avons pas choisi ce rond-point par hasard, il est situé entre les maisons d’accueil spécialisées (MAS) de Thorigné-Fouillard et Betton, deux services du CHGR dont les personnels sont exclus du complément de salaire prévu par le ministère » , explique Rodolphe Verger, de la CGT

Exclus de l’augmentation de salaire

Depuis le 21 septembre, un mouvement de grève a été lancé par la CGT et Sud santé, dans les structures annexes du centre hospitalier psychiatrique, pour exiger le versement de ce complément de salaire. Les personnels de ces établissements sociaux et médico-sociaux (MAS, services de soin à domicile, établissements d’aide par le travail…) sont à ce jour exclus du « complément de traitement indiciaire », accordé par le ministre de la Santé Olivier Véran.

Environ 300 personnels (soignants, agents administratifs et techniques…) sont concernés, en plus des 2 000 salariés de l’établissement principal du CHGR, qui aux yeux du ministère sont les seuls éligibles à ce complément de traitement accordé à la fonction publique hospitalière. « Sauf que ces derniers attendent eux aussi de toucher cette augmentation », expliquent les syndicats CGT et Sud de Guillaume-Régnier.

Les personnels du CHGR rassemblés ce mardi matin pour réclamer le versement du complément de salaire de 183 € pour tous les personnels du centre hospitalier Guillaume-Régnier. | DR
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Covid-19 : la crise sanitaire a fait basculer un million de Françaises et de Français dans la pauvreté

Ils sont étudiants, intérimaires, artisans. Selon les associations caritatives, une nouvelle population a basculé dans la précarité depuis le début de la pandémie.

Par  et  Publié le 6 octobre 2020


Distribution de produits alimentaires dans une antenne des Restos du cœur, en juin à Paris.

Etudiants, intérimaires, chômeurs, mais aussi autoentrepreneurs et artisans. Selon les associations caritatives, la crise sanitaire a fait basculer dans la pauvreté un million de Français, qui s’ajoutent ainsi aux 9,3 millions de personnes vivant déjà au-dessous du seuil de pauvreté monétaire – à 1 063 euros par mois et par unité de consommation, il concernait 14,8 % des ménages en 2018, selon l’Insee.

Dix représentants d’associations (Fondation Abbé Pierre, Médecins du monde, Secours catholique, ATD Quart Monde, Emmaüs…) ont été reçus pour la première fois, vendredi 2 octobre, par Jean Castex, pour demander une hausse des principaux minima sociaux, ainsi que l’ouverture du RSA dès 18 ans. « Nous avons eu une écoute attentive de la part du premier ministre, qui est sensible au sujet de la précarité. Mais nous restons déçus, impatients, faute de réponses immédiates, a résumé Christophe Devys, président du collectif Alerte. Nous avons repris rendez-vous pour le 17 octobre. » Cette date symbolique, celle de la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté, verra, espère-t-il, l’annonce de nouvelles mesures. 

« Il doit y avoir un peu de masochisme là-dedans » : l’étonnant attrait pour les études d’infirmiers

Mal payé, en sous-effectif, avec peu d’évolution de carrière… pourtant, le métier d’infirmier reste une des formations les plus demandées.

Par  Publié le 6 octobre 2020

L’odeur de la bétadine, le toucher d’une compresse, sa poupée dans une pharmacie imaginaire… Lorsqu’elle parle de son envie de devenir infirmière, Noémie Buronfosse convoque « des sensations très particulières » liées à l’enfance. « Quand les autres jouaient à la marchande, moi, c’était les pansements et les médicaments », se souvient la jeune femme de 20 ans. Aujourd’hui étudiante en deuxième année à l’institut de formation en soins infirmiers (IFSI) du centre hospitalier universitaire (CHU) de Rennes, elle raconte son choix de filière comme s’il s’agissait d’une rencontre amoureuse. Ce genre de passion qui vous tombe dessus et ne s’explique pas. « C’était une évidence », assume l’étudiante.

Des aidants à bout de souffl

Plus que d’ordinaire encore, celles et ceux qui s’occupent de personnes en situation de dépendance se sont épuisés durant le confinement.

Par  Publié le 04 octobre 2020


Il y aurait huit à dix millions d’aidants en France, selon le gouvernement. Autant de personnes qui soutiennent régulièrement un proche dont l’autonomie est diminuée par une maladie, un handicap ou l’âge. Un père malade d’Alzheimer, une épouse diagnostiquée Parkinson, un enfant paraplégique, une sœur souffrant de troubles bipolaires, une voisine ayant un cancer du sein. Déjà important, leur nombre est amené à croître au gré d’un vieillissement de la population qui dope la fréquence des pathologies neurodégénératives.

« Nous sommes tous des aidants ou aidés en puissance », résume le docteur Hélène Rossinot dans son livre Aidants, ces invisibles (Editions de l’observatoire, 2019).

L’aidance recouvre une grande diversité de situations et vécus. Des ados redoublent d’efforts pour soulager une mère malade au détriment de leurs révisions, tandis qu’à l’autre bout de l’échelle des âges, des octogénaires ont « repris » chez eux un fils handicapé par un accident. Pour les uns, l’aide est continue, surtout quand ils soutiennent plusieurs proches (quatre salariés aidants sur dix s’occupent en effet d’au moins deux personnes dépendantes, selon le baromètre « Aider et travailler » 2020).

lundi 5 octobre 2020

Millau. « Avatars – L’Abri » : la culture comme lien social

 millavois.  

4 octobre 2020

Les acteurs du projet « Avatars - l’Abri » ont présenté les différentes étapes de sa naissance à l'exposition finale. ©Millavois.com

Une dizaine de patients du centre de santé mentale de l’hôpital de Millau vont participer à un projet culturel « Avatars – L’Abri » co construit avec l’association Aveyron Culture et orchestré par Aurélie Fourrier plasticienne et Sylvain Corentin, sculpteur.

« Avatars – L’Abri » est né d’une collaboration entre Noëlle Valgalier ergothérapeute du service de psychiatrie et Nicoles Théron, éducatrice spécialisée sur les ateliers polyvalents la Chrysalide. Porté par les deux artistes et « un coup de cœur » entre les professionnels du centre de santé mentale et l’association Aveyron culture, il s’inscrit dans le cadre du dispositif « culture et lien social » et il est au programme « Culture Santé et Dépendance » de la DRAC Occitanie.

Son objectif est de permettre l’accès à la culture aux personnes qui en sont les plus éloignées, que ce soit en raison de freins sociaux, géographiques ou culturels.

Jean-Dominique Gonzalès médecin-chef du pôle psychiatrie, en précise l’importance.

« Par définition, l’aliénation mentale entraine une coupure entre le sujet et la société. Au traitement pharmacologique il est important d’ajouter un traitement social pour réintégrer le sujet dans la société : le lien social par la culture est essentiel »

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1981 : La vie aux Canibouts à Nanterre | Archive INA

Institut national de l'audiovisuel — Wikipédia

1981 : La vie aux Canibouts à Nanterre | Archive INA - YouTube

Les mercredis de l'information | TF1 | 07/10/1981

Après les violences survenues à Vénissieux durant l'été 1981, reportage sur les jeunes d'une cité de la banlieue parisienne : les Canibouts à Nanterre. Jeunes pour la plupart sans travail, sans occupations ni loisirs faute d'argent. D'où racisme anti-jeunes de la part des locataires qui pratiquent l'autodéfense pour prévenir les vols de cave de mobylettes etc... Les jeunes racontent leur vie, leurs plaisirs (s'éclater au volant d'une BMW, la voiture la + chouette). L'herbe, ou les drogues cocaïne ou héroïne, qui les font s'évader), leurs angoisses (manque de travail, inefficacité de l'ANPE, les contrôles de police ou séjour en prison etc...)

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