Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.
samedi 29 juin 2019
Courrier des lecteurs Conversation entre le Dr Geek et le Dr Vieuxjeu
Conversation entre le Dr Geek et le Dr Vieuxjeu à la cafétéria où ils déjeunent :
- Dr Vieuxjeu : « Qu’est-ce que tu as fait, ce matin ? »
- Dr Geek : « J’ai fait de la consultation par télémédecine ! »
- Dr Vieuxjeu : « Ah oui ! Et comment ça se passe en réalité ? »
- Dr Geek : « J’avais bloqué ma matinée pour ne pas être dérangé. J’ai vérifié que tout était en ordre : connexion Internet, vidéotransmission, messagerie sécurisée (pas Apicrypt, l’autre), retrouver les mots de passe, ouvrir le dossier patient et y jeter un coup d’œil. Ensuite, j’ai établi la communication et j’ai continué le check-up : identité, localisation géographique (des fois qu’il soit allé passer son arrêt de travail en Guadeloupe), numéro de téléphone. Tu dois aussi prouver ton identité pour éviter que des pervers aillent se rincer l’œil en se faisant passer pour un médecin. Après, c’est comme sur un tournage cinématographique : il faut vérifier la netteté des images, pas trop claires, pas trop sombres ; la balance des couleurs parce qu’en cas de subictère conjonctival, un spectre des couleurs mal réglé, ce n’est pas évident. La vraie consultation a pu commencer. C’est comme une communication téléphonique, mais en plus tu as la tête de ton client. »
Une Américaine fait une fausse couche après avoir été blessée par balle, puis est arrêtée pour la mort de son fœtus
L’accident a eu lieu après une bagarre en décembre 2018 dans l’Alabama. Elle est inculpée d’homicide, la justice lui reprochant d’avoir causé la mort.
Le Monde avec AFP Publié le 28 juin 2019
Une Américaine, qui a fait une fausse couche après avoir été blessée par balle au ventre, a été arrêtée et inculpée d’homicide par la justice de l’Alabama, qui lui reproche d’avoir causé la mort du fœtus.
Khadija, victime d’un viol collectif au Maroc : « A l’issue du procès, j’espère revivre normalement »
Douze hommes âgés de 19 à 29 ans sont jugés pour « traite d’être humain, viol, constitution de bande organisée, enlèvement et séquestration ».
Par Théa Ollivier Publié le 26 juin 2019
« J’ai eu peur pendant cette audience », témoigne Khadija, qui a assisté au procès de ses bourreaux présumés, mardi 25 juin, assise au milieu de leurs mères et sœurs, tandis que son père était de l’autre côté de la salle d’audience du tribunal de Beni Mellal, dans le centre du Maroc. Agée de 17 ans au moment des faits, Khadija a porté plainte, en août 2018, contre une dizaine d’hommes de son village d’Oulad Ayad, au pied du Moyen-Atlas. Dans une vidéo devenue virale, elle a raconté avoir été kidnappée, séquestrée, violée et grossièrement tatouée sur tout son corps, contre son gré. Des violences qui ont duré deux mois.
Les douze prévenus, âgés de 19 à 29 ans, sont jugés pour « traite d’être humain, viol, constitution de bande organisée, enlèvement et séquestration ». Ils risquent jusqu’à trente ans de prison. Le treizième prévenu, mineur au moment des faits, est jugé séparément à huis clos, et un dernier suspect, qui était en fuite, a été arrêté plus récemment. La phase d’instruction de l’enquête vient d’être terminée, confie Ibrahim Hachane, l’un des avocats de Khadija, au Monde Afrique.
« J’ai confiance dans la justice »
Dans le tribunal de Beni Mellal, « l’ambiance était tendue et électrique », témoigne Laila Slassi, fondatrice du collectif Masaktach (« je ne me tais pas », en dialecte marocain). Depuis l’année dernière, elle accompagne Khadija dans ses démarches juridiques et médicales. Elle regrette la configuration choisie. « C’était la première audience à laquelle assistait Khadija, elle a eu un courage incroyable. Elle était au milieu des familles des détenus, qui la regardaient avec des yeux noirs, mais il y avait un bon maintien de l’ordre », estime la militante casablancaise, qui se félicite que « les expertises du juge d’instruction aient confirmé la date des tatouages et son état psychologique ».
Le père de l’adolescente, Mohamed, se dit pour sa part « serein et rassuré par le travail d’instruction, dont les procédures ont été respectées avec beaucoup de sérieux ». Cette qualité du travail est confirmée par Me Hachane, pour qui « le juge d’instruction a fait un bon travail » et qui observe que « le dossier avance bien »,plaidant pour que soient appliquées les peines les plus sévères. Depuis l’ouverture du procès, en avril, aucun accusé n’a encore pris la parole ou été interrogé. La troisième audience a été reportée au 9 juillet, deux des prévenus n’ayant toujours pas d’avocat.
Khadija aussi veut croire dans l’issue du procès. « J’ai confiance dans la justice,explique-t-elle d’une voix posée. En déposant ma plainte, je savais que la procédure serait longue et difficile. J’ai décidé d’avoir la patience nécessaire pour affronter cette épreuve jusqu’au bout, sans regret. Je fais aussi cela pour montrer l’exemple et pour que ces choses ne se répètent pas. » Issue d’une famille défavorisée, la jeune fille espère pouvoir démarrer rapidement la phase de soin et effacer les tatouages qui couvrent ses bras, ses jambes et son cou.
Des juges « laxistes envers les criminels sexuels »
L’émoi suscité par cette affaire a abouti à la création d’un réseau de solidarité. « A Masaktach, nous avons contacté des médecins qui ont accepté de travailler gratuitement », se réjouit Laila Slassi, dont le collectif féministe s’est créé dans la foulée des révélations de Khadija. Très vite, les propos de la jeune fille ont été remis en question et le premier soutien, unanime à l’échelle du pays, s’est dissipé lorsque les familles des prévenus ont commencé à critiquer les « mauvaises mœurs » de Khadija, l’accusant de « boire, fumer et traîner avec les garçons ». Des raisons suffisantes, selon elles, pour la désigner comme responsable de son agression, alors même que ces allégations sont niées par l’adolescente et ses proches.
Preuve du « malaise social » qui règne au Maroc, pour reprendre les mots de Laila Slassi, plus de 90 % des personnes qui ont subi des actes de violence ne portent pas plainte contre leurs agresseurs, selon une récente enquête officielle citée par l’AFP. Et quand les femmes portent plainte, il n’y a pas toujours de suites. « La loi marocaine protège les femmes victimes de violences. Le problème, c’est l’application de la loi par les juges, qui sont laxistes envers les criminels sexuels, insiste la militante. Il ne faut pas attendre que ce soit grave à ce point pour réagir. »
Mohamed, le père de Khadija, est encore sous le choc. « L’ambiance reste très tendue et difficile dans le village, où beaucoup de gens nous en veulent », témoigne ce père de famille qui a dû arrêter de travailler et « reste inquiet pour la santé de Khadija ». La jeune fille avoue être incapable de se projeter dans l’avenir tant qu’elle a la tête dans le procès et qu’elle garde ses tatouages : « C’est un drame qui m’a bouleversée, moi et toute ma famille. A l’issue du procès, j’espère revivre normalement, quitter Oulad Ayad et refaire notre vie ailleurs, tranquillement. »
Ecoféminisme : sauvons les zones humides
Par Léa Mormin-Chauvac —
Ce mouvement des années 80, né sur fond de lutte contre l'armement entre Est et Ouest et teinté de spiritualisme, est alors désavoué par de nombreuses féministes françaises. Il renaît aujourd'hui par l'exigence politique de prendre soin de son environnement, de son biotope.
«Pubis et forêts, arrêtons de tout raser», «A défaut de faire jouir les femmes, vous niquez bien la planète», «Ma planète, ma chatte, sauvons les zones humides»... Dans ces slogans qui ont fleuri aux marches pour le climat, la journaliste Dora Moutot voit une «nouvelle forme d’écoféminisme». Ce nouveau courant, à la croisée de l’écologie et du féminisme, dit «clicli», pour climat-clito, peut faire sourire. Mais il rappelle un postulat féministe de la fin des années 70. «La culture capitaliste patriarcale se rend coupable d’une double oppression, à la fois sur la nature et sur le corps des femmes», disaient les activistes qui occupaient la base militaire de Greenham Common. L’écoféminisme, mot-valise conceptuel dont on trouve la première occurrence chez l’intellectuelle féministe Françoise d’Eaubonne désigne le lien théorique entre oppression des femmes et destruction de la nature.
vendredi 28 juin 2019
Sur Instagram, une révolution sexuelle à coups de hashtags
@jemenbatsleclito, @tasjoui... ces comptes où l’on parle de sexualité féminine brisent encore des tabous dans une société pourtant hypersexualisée.
Par Noémie Leclercq Publié le 28 juin 2019
Sur les rives du canal de l’Ourcq, ce vendredi soir de printemps, des affiches « Dessine-moi un clitoris » font sourire les passants. Certains s’y essaient, d’autres, curieux, cherchent à savoir qui se cache derrière ces réclames d’un nouveau genre. Deux jeunes femmes, à peine majeures et tee-shirt « Girl Power » sur le dos, lèvent le mystère : « C’est pour la sortie du livre de Camille, je la suis sur Insta ! » Elles sont venues pour le lancement de Je m’en bats le clito ! Et si on arrêtait de se taire ? (Kiwi, 144 p.), livre inspiré du compte Instagram du même nom, paru le 13 juin.
Avec ses quelque 290 000 abonnés, Camille (qui préfère garder pour elle son nom de famille), 22 ans, parle sur ce compte plaisir sexuel, consentement et mycose – en vrac, « selon [son] inspiration ». Tout commence en octobre 2018. « J’étais avec trois copains, qui discutaient de comment faire jouir une fille. Ils disaient connerie sur connerie, il fallait faire quelque chose. » Elle décide de se lancer sur le réseau social pour parler de sexualité féminine et féministe. Ses posts, dans lesquels elle raconte ses réflexions du quotidien sur la question, trouvent très vite une audience. « Mais je suis la petite dernière », reconnaît-elle. Avant la création de son compte existaient déjà @jouissanceclub, @tasjoui, @mercibeaucul_, @gangduclito…
Travail, risque d’AVC et santé mentale : ces deux études vont vous donner envie de lever le pied
27 juin 2019
LE TRAVAIL, C'EST VRAIMENT LA SANTÉ ? - Alors que les Français travaillent en moyenne 36,3 heures par semaine, se classant au troisième rang des pays européens les plus travailleurs, deux études récemment publiées démontrent qu'il est inutile, voire dangereux pour la santé, de trop trimer.
Vous êtes du genre forcené du travail ? Vous feriez mieux de ralentir le rythme, et vite ! D'après une étude menée par des chercheurs français publiée dans le journal Stroke, travailler plus de dix heures par jour pendant au moins cinquante jours par an peut représenter un risque accru de survenue de maladies cardio-vasculaires ou d’accidents vasculaires cérébraux (AVC).
Pour leur étude, les scientifiques de l’hôpital Raymond-Poincaré AP-HP, de l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, de l’Université Paris-Saclay et de l’Inserm se sont appuyés sur les données de la cohorte française Constances. Pilotée par la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM), elle regroupe 200.000 Français âgés de 18 à 69 ans et permet de mener des études épidémiologiques sur une grande partie de la population.
Portraits d’artistes. Un vernissage itinérant
Publié le 27 juin 2019
Les artistes en compagnie de Jocelyne Papassin, responsable des ateliers, et Tiphaine
Caledec, conseillère déléguée à la culture.
« Portraits d’artistes 2019 », 7e édition, est une manifestation festive et enjouée, basée sur l’art brut, « hors normalité ». Le vernissage itinérant, mardi, passait par l’Ehpad, la mairie, le restaurant Belagio, la crêperie Katherinette, le restaurant Le Mondello, pour se terminer par un pot de l’amitié offert par la municipalité à l’Arthémuse, en présence des artistes et du poète Christian Lethuault.
Santé mentale et exercice libéral : une fiche pour éviter les couacs
28 juin 2019 | Sandrine Lana
L’URPS Infirmière PACA a sondé ses infirmiers libéraux en 2018. De cette consultation est né un pense-bête pour ceux qui font face à un patient souffrant de troubles psychiques.
D’après le sondage, 88 % des idels prennent en charge des patients présentant des troubles liés à leur santé mentale et ils sont en moyenne quatre dans la file active de chaque infirmier. Malgré cette fréquence importante, les idels regrettent de ne pas avoir reçu de formation spécifique pour les prendre en charge et faire face aux réactions extraordinaires, parfois violentes. Près d’un infirmier sur deux vivrait régulièrement un sentiment d’insécurité lors d’une visite d’un patient vivant avec des troubles mentaux.
Pour éviter la situation actuelle où 20 % des idels (selon le sondage toujours) refuse la prise en charge de ces patients et pour les outiller, l’URPS PACA propose un document accessible en ligne sur les principales pathologies (dépressions, accès maniaques, phobies et obsessions, schizophrénie...), symptômes et traitements associés et les points de vigilance à observer.
Pour Nicolas Revel, les assistants permettront de réduire la charge mentale des médecins
Amandine Le Blanc
| 28.06.2019
Nicolas Revel, directeur général de l'Assurance maladie, le 20 juin 2019 | BURGER/PHANIE
Invité des Contrepoints de la Santé, jeudi 27 juin, le directeur général de l'Assurance Maladie, Nicolas Revel, est revenu sur la signature la semaine dernière des avenants conventionnels sur les CPTS et les assistants. Interrogé sur les attentes importantes des Français en matière de santé, le patron de la Cnam a affirmé que le dispositif des assistants médicaux apportait une solution concrète aux problématiques de désertification médicale remontées notamment pendant le grand débat national. « Selon moi c’est la réponse la plus directe et impactante aux difficultés d’accès aux soins », explique-t-il. Nicolas Revel en veut pour preuve les résultats dans les endroits où des assistants médicaux sont déjà en place. « J’ai vu des impacts absolument formidables. Cela permet en effet de suivre davantage de patients, c’est une réponse immédiate et extrêmement pragmatique à la question de l’accès aux soins », souligne-t-il.
Le patient (hyper)connecté réformateur du système de santé ?
20.06.19
Le patient hyperconnecté n’est pas un geek d’exception. C’est madame et monsieur tout le monde qui va sur le web pour s’informer et mieux comprendre comment gérer sa maladie ou bien pour échanger avec d’autres personnes souffrant des mêmes maux, ou encore pour se soigner à distance. Elle ou il utilise des applis comme des assistants santé de poche et partage ses données et ses résultats d’examens avec les professionnels. Réseau Hôpital & GHT a enquêté sur les habitudes de ce nouveau patient qui nous ressemble en tout point… Nous partageons avec plaisir cet excellent article !
La France compte plus de 53 millions d'internautes, soit 84,5% des Français de deux ans et plus (1). Parmi eux 40 millions possèdent un compte sur les réseaux sociaux (2). LA SANTE est une de leurs préoccupations majeures. Ainsi, 60% des Français, tous âges confondus, ont le réflexe de consulter d’abord le web dès lors qu’ils s’interrogent sur leur santé (3). Le patient prend en main sa santé et cet engagement s’accompagne d’une fréquentation assidue du web.
Déremboursement de l’homéopathie : des billes et des bisbilles
Par Eric Favereau —
Les médicaments homéopathiques sont notamment critiqués pour leur absence de preuves d’efficacité thérapeutique. Photo Hugo Ribes. Item
Les médicaments homéopathiques sont notamment critiqués pour leur absence de preuves d’efficacité thérapeutique. Photo Hugo Ribes. Item
Si la Haute Autorité de santé s’est prononcée mercredi en faveur de la fin de la prise en charge des granules, le sujet divise toujours. «Libé» a fait débattre les professeurs Bernard Bégaud, perplexe devant cette décision, et Frédéric Lagarce, qui l’approuve.
Dérembourser ou pas l’homéopathie ? La commission de la transparence de la Haute Autorité de santé (HAS) a voté mercredi pour la fin de la prise en charge, comme nous l’annoncions le soir même sur Libération.fr. L’avis, qui sera officiellement rendu public ce vendredi matin par la présidente de l’HAS, n’a rien d’une surprise : le déremboursement a été adopté par un vote à la quasi-unanimité, un seul membre s’y étant opposé. La balle est donc dans le camp de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, seule habilitée à prendre cette décision. «Je me tiendrai à l’avis de la Haute Autorité de santé», a-t-elle encore répété cette semaine, précisant juste qu’elle prendrait quelques jours avant de rendre sa décision. De son côté, dès jeudi, le laboratoire Boiron, colosse du marché, a dû suspendre son cours en Bourse.
Doses d’antidépresseurs : quand le mieux est l’ennemi du bien
Par Agnès Lara 24 juin 2019
À retenir
Une méta-analyse a réalisé une évaluation de l’efficacité et de l’acceptabilité des principaux antidépresseurs utilisés dans la dépression majeure de l’adulte en fonction de la dose utilisée.
La probabilité de réponse aux ISRS est apparue dose dépendante, augmentant pour des doses équivalentes de fluoxétine allant de 20 à 40 mg. Celle de la venlafaxine augmente également pour des doses allant de 75 à 150 mg, et celle de la mirtazapine pour des doses allant jusqu’à environ 30 mg. Au-delà, l’efficacité n’augmente plus pour les ISRS et la mirtazapine, mais une légère progression est encore possible pour la venlafaxine. Cependant l’acceptabilité du traitement, évaluée à partir des arrêts de traitement, est apparue dépendante de la dose et liée aux effets indésirables quelle que soit la molécule considérée. Elle paraît optimum pour les plus faibles doses autorisées. Il est donc probable que pour la majorité des patients, la balance efficacité/effets indésirables soit optimum dans les plages les plus basses des doses autorisées.
AAN : Majiruana, canabidiol en neurologie
Dr Christian Geny 19 juin 2019
Le cannabis médical est une problématique qui fait couler beaucoup d'encre, notamment en France. Nous sommes souvent interpellés par nos patients sur ce sujet et nous manquons de données pour répondre précisément. Leur interrogation est légitime car les Neurosciences ont montré que ces dérivés agissaient sur des cibles cérébrales spécifiques suggérant des potentialités thérapeutiques. Il existe deux types de récepteurs au cannabis dans le cerveau : les récepteurs CB1 dans l'hippocampe, le cortex, les ganglions de la base et le cervelet, et les récepteurs CB2 plutôt dans la substance noire et la microglie. À Philadelphie, plus d'une dizaine de communications ont porté sur ce thème. En effet, le cannabis médical est très largement utilisé aux États-Unis puisqu'on estime que 2,1 millions d'Américains en consomment. Cette pratique varie beaucoup selon les États en fonction de la législation. Les communications ont porté sur l'intérêt du cannabis dans la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, l'épilepsie de l'enfant, les douleurs chroniques, la migraine chronique et la névralgie trigéminale.
Lire la suite ...
Inscription à :
Articles (Atom)