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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

vendredi 22 janvier 2016

Pas d'infirmières au Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie

Miroir Social 21-01-16

Par un décret publié au Journal Officiel du 6 janvier 2015, le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie est créé pour assurer le suivi des politiques publiques et à l’information de la population et des professionnels concernant les soins palliatifs et la fin de vie.

Nous trouvons très bien que les usagers ainsi que tous les types de médecins et de bureaucrates soient représentés au « conseil d’orientation stratégique » mais où sont les infirmières, pourtant en première ligne ? Le ministère parle de l’interdisciplinarité et de la coopération entre professions de santé mais semble avoir du mal à l’appliquer.

Nous trouvons curieux, stupide et scandaleux d’oublier une représentation de ces 500 000 « bons petits soldats du soin » qui assurent la permanence des soins, 24 heures sur 24, 7 jours sur 


Vous avez dit « aidant » ?

 
Le terme « aidant » est de plus en plus employé pour désigner les proches accompagnant une personne malade ou souffrant d'un handicap. Mais qu'implique vraiment l'utilisation de ce mot ?
sénior aidant soignant
Attention à ne pas confondre aidants et professionnels de santé...
Je suis surprise et en colère de lire et d’entendre dans les médias le terme d’aidant, désignant la famille de personnes vieillissantes, ou d’un de leur membre souffrant d’une maladie ou d’un handicap. Je vois se multiplier les manifestations, comme des « café des aidants », la « minute des aidants » sur France 5… Quand un membre du corps humain est malade, c’est tout le corps qui est souffrant. C’est la même chose pour une famille.

Le Conseil constitutionnel censure partiellement la généralisation du tiers payant !

Cyrille Dupuis| 21.01.2016  Mesure phare de la loi de santé, mais honnie par la profession, la généralisation du tiers payant a été partiellement retoquée jeudi soir par le Conseil constitutionnel qui l'a jugée « pas suffisamment encadrée » pour les complémentaires.

Plus de soixante députés et plus de soixante sénateurs, à l'initiative du groupe Les Républicains (LR), avaient saisi les « Sages » pour contester le texte à l'origine d'une forte mobilisation des professionnels de santé.

Le Conseil constitutionnel a en revanche validé la généralisation progressive à tous les patients du tiers payant d'ici 2017, mais pour la partie remboursée par l'assurance-maladie de base.

jeudi 21 janvier 2016

Pétition de médecins hospitaliers contre le "pouvoir sans partage" des directeurs

20.01.2016

Suite au suicide du Pr Jean-Louis Mégnien, la communauté hospitalière se mobilise pour lutter contre la souffrance au travail. À l’initiative du Mouvement de défense de l’hôpital public, une pétition vient d’être lancée ce mercredi pour « reconstruire les communautés médicales hospitalières mises à mal par la loi HPST, en les dotant de règles de fonctionnement collectif transparentes plus démocratiques ». Les signataires, parmi lesquels figurent André Grimaldi, le psychiatre Bernard Granger ou encore le généraliste Dominique Dupagne, entendent « rappeler un certain nombre de principes ».

La psychiatrie 2015 à la loupe

10/01/2016


Comme dans chaque livraison du numéro de décembre, les éditeurs de The American Journal of Psychiatry présentent leur sélection d’articles « particulièrement intéressants et importants » de l’année écoulée.

4 à 8 euros par coup de fil, DirectoDoc rémunère les médecins pour le temps passé au téléphone avec les patients

Stéphane Long
Des consultations téléphoniques rémunérées, c’est la proposition récemment émise par le SML « pour fluidifier le parcours de soins ». L’idée n’est pas nouvelle. Une petite société nantaise a franchi un premier pas depuis le 1er décembre 2015 en proposant une application pour téléphones mobiles (iOS, Android, Windows Phone). DirectoDoc permet à un patient d’alerter son médecin traitant et de se faire rappeler au téléphone par ce dernier, dans un délai raisonnable (dans la journée).
 23.01.2016  


Le service est payant pour le patient et donne lieu à une rémunération pour le médecin : entre 4 et 8 euros selon la spécialité, bien loin des tarifs de consultation habituels. Le paiement est déclenché lorsque l’échange téléphonique dure plus de 15 secondes (et jusqu’à 15 minutes). Patients et praticiens doivent préalablement s’inscrire sur la plateforme DirectoDoc.

Où la justice canadienne statue sur la mort médicalement assistée

12/01/2016


Par un arrêt rendu en 2015[1], la Cour Suprême du Canada a statué sur le caractère « non conforme à la constitution » de ce pays de l’interdiction de « l’aide médicale à mourir », appelée aussi « suicide médicalement assisté » ou, parfois, «suicide rationnel » (bien qu’une telle expression semble tenir de l’oxymoron). Cette décision concerne un « adulte capable » (de discernement, par opposition à un « incapable majeur », au sens juridique) consentant explicitement à mettre fin à sa vie et souffrant de problèmes de santé « graves et irrémédiables », comme une maladie ou un handicap à l’origine de «souffrances persistantes, intolérables au regard de sa condition. »

L'association de handicap Geist21 teste ce qui pourrait constituer un nouveau modèle médico-social

En partant d'une idée évidente, soit l'accompagnement de personnes handicapées sans solution et de leur famille, l'association mayennaise Geist21 a posé les bases d'une nouvelle approche de la personne. Parcours et empowerment pour mots d'ordre, elle compte réajuster le positionnement médico-social pour ouvrir la voie à la désinstitutionnalisation.
Et si l'établissement pouvait ne devenir qu'un pôle de ressources temporaire ? Cette question, l'association Geist 21, pour groupe d'étude pour l'insertion sociale des personnes porteuses de trisomie 21, se la pose depuis un moment. Plus encore, elle entend bien en faire un simple constat. Notions d'empowerment et de parcours pour principaux piliers, la structure de Mayenne a ainsi réussi à convaincre l'ARS Pays de la Loire de tester un nouveau modèle d'accompagnement. Baptisé Prisme — pour palette ressources au service de l'inclusion socio-médicale et expérimentale des personnes en situation de handicap —, ce projet, s'il prévoit pour l'heure de restructurer les huit services de l'association, entend à terme proposer une alternative au modèle organisationnel et économique de rigueur sur le secteur médico-social.

L’ESSENCE DES LIVRES, L’IVRESSE DES SENS

Par Frédérique Roussel 20 janvier 2016

Professeure de littérature du XVIIe siècle, Hélène Merlin-Kajman plaide pour un retour à un enseignement plus empathique de la lecture.

Illustration d’André Pec pour «la Chèvre de Monsieur Seguin», en 1946.
Illustration d’André Pec pour «la Chèvre de Monsieur Seguin», en 1946. Photo Bridgeman
Un conte me traumatisait enfant et, à le relire, parvient encore à me faire frissonner : la Chèvre de Monsieur Seguin d’Alphonse Daudet. La mignonne Blanquette à laquelle on s’attache finit dans la gueule du loup après une journée de plaisir intense à gambader dans la montagne. «Alors le loup se jeta sur la petite chèvre et la mangea.» Ce sentiment de peur lié à une identification à la chèvre se trouve partagé (comme sans doute bien d’autres lecteurs) avec Hélène Merlin-Kajman qui l’analyse dans un chapitre du bien nommé essai Lire dans la gueule du loup.
De ce simple texte, cette professeure de littérature du XVIIe siècle à la Sorbonne Nouvelle Paris-III explique qu’elle saurait aujourd’hui comment le lire à un enfant : «En faisant ressortir les passages moqueurs sans rien leur retirer de leur tendresse ; et en exagérant, de façon un peu comique, l’attitude du loup afin de la théâtraliser, de transformer son personnage en rôle et de catalyser ainsi l’effroi qu’il cause.» Un habile commentaire pourrait ainsi atténuer l’épouvante d’une lecture de premier degré au profit d’une catharsis. C’est l’enseignante qui parle, qui ne renie pas l’affect, au contraire, comme nous allons le voir.

«Essayez de fabriquer un grille-pain, et vous comprendrez !»

Par  — 20 janvier 2016 à 18:01
Le grille-pain utilisé par le designer Thomas Thwaites lors de son expérience «The Toaster Project».
Le grille-pain utilisé par le designer Thomas Thwaites lors de son expérience «The Toaster Project». Photo Daniel Alexander

A l’origine de tout succès, quelle est la part du mérite individuel, et quelle est celle de la société ? Patrick Turmel et David Robichaud, philosophes québécois, s’attaquent au mythe du «self-made-man», soulignant le travail invisible qui se cache derrière chaque génie, et vont jusqu’à tordre le cou au «bon sens» libéral.

Pour entrer au Forum économique mondial, qui se tient en ce moment à Davos, il faut débourser a minima 71 000 dollars, soit environ 65 000 euros. C’est donc une microsociété de responsables économiques et politiques qui peuvent débattre des grands défis de notre monde dans la petite station de ski suisse. En d’autres contrées, toutes aussi froides, deux philosophes québécois s’attaquent à l’idée que ces élites seraient rétribuées à hauteur de leur contribution à la société. Dans la Juste Part. Repenser les inégalités, la richesse et la fabrication des grille-pains, paru aux éditions Les liens qui libèrent, David Robichaud et Patrick Turmel rappellent, avec humour, ce que le discours libéral a tendance à oublier : toute richesse est un produit social. Il conviendrait donc de se mettre au partage.

Bulgarie : réforme à la schlague pour le pire système de santé d'Europe

17.01.2016

C'est un casse-tête pour le gouvernement bulgare : les dépenses de santé publique augmentent, le nombre d'hôpitaux aussi, mais le pays détient toujours le record européen de mortalité. Sofia espère inverser la tendance grâce à une vaste réforme de la santé.

Contre la lassivité et la morosité des Français, le bracelet anti-dépression débarque

Orange avec AFP 17-01-2016



Alors que le Journal du Dimanche publie aujourd'hui l'enquête annuelle du Cevipof qui révèle que les Français sont las et moroses, l'hôpital Saint-Antoine va lancer l'expérimentation en février d'un bracelet anti-dépression pour traiter cette maladie qui frappe environ 20% de la population française.
Les Français sont toujours las, moroses et demandeurs d'autorité selon l'enquête annuelle du Cevipof réalisée fin décembre et publiée par le Journal du Dimanche. L'institut de sondages OpinionWay, mandaté par le Cevipof, centre de recherches politiques de Science-Po, pour son enquête annuelle sur l'état du pays et la confiance, a interrogé quelque 2.000 personnes. Soumis à une liste de qualificatifs pour représenter leur état d'esprit, les Français désignent en premier lieu des mots négatifs : lassitude (31%, chiffre identique à celui de décembre 2014) devant morosité (29%, -1) et méfiance (28%, +2).
Et pour éviter de consommer en quantité Valium, Lexomil et autres Xanax, le professeur Philippe Nuss, psychiatre à l'hôpital Saint-Antoine, dans le 12e arrondissement de Paris, croit au projet de bracelet anti-dépression, dont il doit superviser l'expérimentation à partir de février. "Ce bracelet vise à donner l'alerte quand la santé psychique flanche", explique-t-il au Parisien.

mercredi 20 janvier 2016

L'Île-de-France va se doter de deux GHT psychiatriques non sans quelques anicroches


 

LE FAIT

Le 29 janvier, l'ARS Île-de-France dévoilera le périmètre des futurs GHT franciliens. D'ores et déjà s'annoncent deux groupements exclusivement psychiatriques. L'un d'eux, au sud de Paris, n'est pas sans susciter un certain agacement des EPS Érasme et Barthélemy-Durand qui tentent, par motions, d'influer encore sur les contours du futur ensemble.

L'ANALYSE

L'ARS Île-de-France devrait mettre sur pied deux groupements hospitaliers de territoire (GHT) exclusivement psychiatriques. Ce que bon nombre d'acteurs de la santé mentale réclament depuis plusieurs mois à l'échelon national pour éviter d'être "noyés" dans le MCO (lire ci-contre). Mais tout n'est pas idyllique pour autant, comme l'attestent les récentes motions adoptées en commission médicale d'établissement (CME) par deux hôpitaux psychiatriques franciliens : le 17 décembre dernier par l'EPS Érasme d'Antony (Hauts-de-Seine) ; le 11 janvier par l'EPS Barthélemy-Durand d'Étampes (Essonne). Car si le GHT psychiatrie qui s'annonce autour de l'actuelle communauté hospitalière de territoire pour la psychiatrie parisienne (CH Sainte-Anne, EPS Maison-Blanche, GPS Perray-Vaucluse, Association santé mentale du 13e arrondissement de Paris (ASM 13) et hôpitaux de Saint-Maurice) ne souffre guère de contestation, il en va tout autrement pour celui en préfiguration au sud de la capitale. Pour faire simple, ce dernier GHT devrait englober le GH Paul-Guiraud de Villejuif et le CH Fondation Vallée de Gentilly (Val-de-Marne), ainsi que l'EPS Érasme. Mais l'établissement d'Antony aimerait bien que le groupement s'élargissent à Barthélemy-Durand, tout comme celui-ci d'ailleurs.

Atelier de criminologie – “La vérité menteuse” – 17ème soirée clinique : L’aveu de culpabilité, leurre de la vérité.

APCOF Association de Psychologues Cliniciens d'Orientation Freudienne

aveu-culpabilite-mailCe qui se présente comme affect, à savoir le sentiment de culpabilité est un « leurre inconscient » qui tend à vérifier que de simplement sanctionner la faute que le sujet lui propose, l’Autre judiciaire ne sait rien de sa « vraie » culpabilité qui passe pour ainsi en contrebande et ne peut, de ce fait que légiférer à côté. Le sujet propose à l’Autre une faute dont il se sait parfois coupable, pour continuer à méconnaître la cause de (sa jouissance) de sa culpabilité

“Le savoir symptôme”. L’enfant précoce – 48ème soirée clinique

APCOF Association de Psychologues Cliniciens d'Orientation Freudienne

image précoce 10.02.16 48SC
Ce qui caractérise l’enfant précoce, surdoué, hyper-intelligent, souvent taxé également d’être hyperactif, est la présence du « plus », cet excès qui ferait symptôme provoquant justement la consultation. Ce qui définit l’enfant surdoué est son intelligence, ses compétences et performances, mais cela entraîne paradoxalement des difficultés qui viennent opacifier ce tableau quasiment [...]

mardi 19 janvier 2016

Saint-André, Marquette : de la rigueur et de l'espoir, des drames et de l'humour à l'EPSM

18/01/2016




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Quelque 200 personnes ont assisté à la cérémonie des vœux de l’EPSM de l’agglomération lilloise, vendredi après-midi. La rigueur budgétaire demeure de mise, mais la psychiatrie est confortée dans ses spécificités. 2016 sera marquée par plusieurs améliorations (dispositif ambulatoire, PATIO, ados…).
De la douleur, des efforts et de l’espoir. Le directeur général de l’ESPM de l’agglomération lilloise, Jean-Marie Maillard, a abordé ces trois registres. Il a cité les attentats terroristes, leur empreinte, mais aussi le comportement «  exemplaire  » des services de santé dans ces circonstances tragiques. Il a évoqué «  l’environnement budgétaire extrêmement contraint  » de l’établissement en 2015, les efforts salariaux et un déficit finalement réduit grâce à l’engagement de tous, pour arriver à l’équilibre.

La France atteint un nombre de décès en 2015 jamais vu depuis l'après-guerre

En 2015, les taux de mortalité se sont accrus en France, note l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) dans sonbilan démographique. Et ceci "particulièrement aux âges élevés". En effet, l'année passée, 600 000 personnes sont décédées, soit 41 000 de plus (+7,3%) qu'en 2014. Après deux années de recul, il s'agit du "niveau le plus élevé depuis l'après-guerre". Les années passées, explique l'institut, la hausse du nombre de décès de personnes de 65 ans ou plus "était atténuée et parfois plus que compensée par la baisse de la mortalité". Ce qui n'a pas été le cas en 2015. La hausse de la mortalité est liée à des conditions épidémiologiques et météorologiques qui se sont avérés "peu favorables". De fait, "chaque mois, plus de personnes sont décédées en 2015 qu'en 2014, avec trois épisodes de surmortalité".

Violences. Les féministes se mobilisent aussi à Paris

MINA KACI  20 JANVIER, 2016


À paris, lundi soir. Les Militantes féministes ont rappelé que lutter contre le sexisme et le racisme allaient de pair.
Photo : Bruno Lévesque/IP3/Maxppp
Le Collectif national pour les droits des femmes a organisé lundi soir un rassemblement à Paris en solidarité avec les victimes d’agressions sexuelles et sexistes qui ont eu lieu à Cologne, en Allemagne.
La somme des phrases inscrites sur les pancartes brandies par des mains essentiellement féminines résume la pensée de la petite foule rassemblée lundi soir sur une place parisienne : la banalisation des violences à l’encontre de 500 femmes doit cesser, tout comme l’instrumentalisation qui est faite de ces graves exactions commises dans la nuit du 31 décembre 2015 à Cologne, en Allemagne. Quelques jours après leur révélation (elles ont été passées un temps sous silence par les autorités), le Collectif national pour les droits des femmes (CNDF) tenait à organiser cette manifestation unitaire, à laquelle participaient des féministes membres d’associations ou de partis politiques de gauche.

Suicide et maltraitance

  • 19 JANV. 2016
  •  
  • PAR AGNÈS PIERNIKARCH
  •   praticien hospitalier, service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent

    Le douloureux épilogue d'une longue suite de maltraitances de provenances diverses au Centre Hospitalier Georges Pompidou nécessite une remise à plat de l'ensemble du dispositif de gouvernance des Hôpitaux. En effet, il y lieu de se poser la question d'une dérive inhérente à la gouvernance des Hôpitaux, qui dépasse le cadre de l'AP-HP.
    Dans les années 90, j'étais intervenue en tant que secrétaire syndicale de l'Union syndicale de la Psychiatrie lors du suicide d'une collègue, psychiatre et praticien hospitalier, qui avait été victime de l'acharnement de son chef de service et du Directeur de l'E.P.S Barthélemy Durand à Etampes. Les courriers qu"elle avait reçu étaient clairs de ce point de vue. Les lois évoquant le harcèlement n'étaient pas aussi abouties qu'aujourd'hui. Il reste cependant la très grande difficulté d'apporter la preuve du harcèlement, car celui-ci s'exerce avec plus de facilité lorsque la personne ne trouve plus de moyens de sortir de cette situation.
    Lors de cet évenement, nous avions fait le constat que les appels à l'aide de la victime étaient restés inaudibles, appel à l'aide dans l'hôpital et à l'extérieur. Les courriers accusateurs  sont parvenus au syndicat trop tard. La diffusion de ces courriers avait  permis une  prise de conscience institutionnelle nécessaire à la survie de l'établissement.

Deux fois plus de suicides parmi les « jeunes » orphelins

18/01/2016

Le suicide de l’un des parents durant l’enfance est considéré comme un facteur de risque de suicide à la génération suivante, mais peu d’informations étaient disponibles sur l’incidence des autres causes de mortalité parentale dans l’enfance sur ce même risque de suicide ultérieur chez leur progéniture.