Les psys sont-ils comme dans «Sopranos» ou «In Treatment»?
Les thérapies, qui prennent du temps, passent bien mieux sur petit écran qu'au cinéma.
Charlotte Pudlowski
Dans In Treatment et dans les Sopranos, les séances de psy sont inhabituelles. Les face-à-face remplacent les divans et les séances sont montrées plus longuement: on se rapproche de la réalité.
Les séries sont plus réalistes que les films
Le spectateur voit la thérapie avancer progressivement, à un rythme nettement plus réaliste que celui qu'on voit dans les films, ne serait-ce que parce que la temporalité des séries s'y prête mieux que celle des films.
Comme le note le Professeur Gabbard dans son livre La Psychiatrie et le Cinéma, dans la plupart des films, les thérapeutes finissent toujours par coucher avec leur patient (par exemple dans La Maison du Dr Edwards d'Alfred Hitchcock pour n'en citer qu'un). [...]
Les thérapies, qui prennent du temps, passent bien mieux sur petit écran qu'au cinéma.
Charlotte Pudlowski
Dans In Treatment et dans les Sopranos, les séances de psy sont inhabituelles. Les face-à-face remplacent les divans et les séances sont montrées plus longuement: on se rapproche de la réalité.
Les séries sont plus réalistes que les films
Le spectateur voit la thérapie avancer progressivement, à un rythme nettement plus réaliste que celui qu'on voit dans les films, ne serait-ce que parce que la temporalité des séries s'y prête mieux que celle des films.
Comme le note le Professeur Gabbard dans son livre La Psychiatrie et le Cinéma, dans la plupart des films, les thérapeutes finissent toujours par coucher avec leur patient (par exemple dans La Maison du Dr Edwards d'Alfred Hitchcock pour n'en citer qu'un). [...]
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