Par Auriane Guerithault Publié le
Au festival d’Avignon, l’écrivaine nigériane Chimamanda Ngozi Adichie revient sur son manifeste de 2017, année de début du mouvement #MeToo, dans lequel elle livrait ses préceptes d'une éducation féministe.
“Le plus important serait de lui dire qu'en tant que fille, elle a sa place dans le monde, n'est-ce pas ? Lui dire "Tu es importante, tu comptes.” Chimamanda Ngozi Adichie résume ainsi sa vision de l’éducation. Dans Chère Ijeawele, ou un manifeste pour une éducation féministe, paru en 2017, l’écrivaine nigériane conseille une amie qui veut donner à sa fille une éducation féministe. Six ans après sa publication et des traductions en plus de trente langues, ce texte manifeste résonne encore aujourd’hui.
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